Rocher naît le à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine).
Dans les années 1970s, après la lecture d'ouvrages et articles de presse sur les ovnis, il commence à s'intéresser au sujet, et s'abonne à LDLN en . en il entre au lycée Elisa Lemmonier (Paris 12ᵉ) d'où il obtient en un Brevet Technique (équivalence Baccalauréat) en Arts Appliqués, option cartographie et géographie.
en il entre chez Michelin comme cartographe.
en , il rejoint le GEPO dont il devient le vice-président, et co-édite la revue de l'association GEPO-Informations, puis OVNI et Compagnie. Il rencontre en les responsables des groupes Control et AIHPI. Il publie l'interview de Didier Serres sur l'opération Uranus en , année qui va se révéler charnière.
en , pour se démarquer de la FFU, il participe avec Control et AIHPI à la création du CIGU, puis la publication de l'Annuaire du CIGU.
En 1987, il effectue plusieurs dessins et enquêtes pour LDLN s2Rocher, T.: "Sonder Buro... c'était trop gros !", (Ovni et compagnie n° 29, Mars 1983.
Dès en , il participe à la fondation du SCEAU, dont il devient membre et plus tard secrétaire adjoint. Cette même année il fait partie du groupe VECA.
en , il prend la direction de la délégation Ile-de-France de SOS OVNI. Il participe à sa revue Phénomèna, sur le plan illustratif et parfois rédactionnel, jusqu'à la mise en sommeil de l'association en .
Il participe ponctuellement à l'élaboration d'OVNI Présence, la revue de l'AESV, en effectuant plusieurs dessins de couverture (1983-1984).
en , il reprend avec Jean-Claude Leroy La Circulaire du CNEGU, un bulletin mensuel d'informations ufologiques, qui devient La Circulaire en puis Le Répertoire, un bulletin semestriel, en .
en , il entre à la SERPAN et y restera jusqu'à la dissolution de l'association, après le décès de son président Michel Figuet en . Il participe -- modestement -- à l'élaboration du dossier Hors Série de la SERPAN sur l'affaire de Trans-en-Provence.
en il co-fonde les RUP, repris en par Jean-Luc Rivera et en par Gérard Lebat. A partir de en , Rocher aide Lebat en effectuant les compte-rendus des Repas.
en , il devient officiellement membre du CNEGU, après y avoir effectué de nombreux passages et travaux depuis en .
Il habite successivement à Maison Alfort puis, après sa retraite de chez Michelin en , déménage à Saujon.