Exemples de cas de traces associés à des ovnis
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Les traces, présentées comme ayant été laissées par le phénomène rapporté, sont postulées comme autant d'indices physiques témoignant d'une interaction quelconque lors de RR2.
On distingue les cas de :
- traces environnementales, issues d'actions (volontairement ou involontairement) exercées sur
l'environnement du phénomène prétendu, non trouvées dans un ou plusieurs échantillons de contrôle (à quelques m de
la zone typiquement), et supposées ne pas avoir été là avant son occurrence, telles que :
- Compression (végétation, empreintes au sol)
- Déshydratation (végétation)
- Rupture (branches d'arbre)
- Chauffage (sol)
- Rayonnement (radioactivité)
- traces résiduelles, éléments matériels supposés non présents
avant l'occurence du phénomène
- effets secondaires sur des acteurs de l'observation (témoins, animaux)
- physiologique
- psychologiques
Un spécialiste des cas de traces est Ted Philips s1Philips, Ted, Physical traces associated with UFO sightings (CUFOS, Evanston, Illinois 1975, 160 pages) - Etude de 831 cas d'atterrissages d'ovnis dans 39 pays.
s2Philips, Ted: Catalogue de traces physiques de Ted Phillips (version commentée par Paul Fuller)
s3Philips, Ted: Top Physical Trace Cases - Cases of High Strangeness - A Preliminary List
Les cas avec traces sont souvent avancés pour exclure l'HSP. Il existe
cependant de cas de traces où c'est justement leur mauvaise interprétation ("ronds de fées", frappes de foudre, voire "gelée stellaire")
qui les a rendus étranges.