Gilles Durand

undefined
Durand s1Jean-Pierre Laviano : Gilles Durand, secrétaire du <a href="/org/eu/fr/asso/sceau">SCEAU</a>.

Durand naît en .

Il s'intéresse dès en aux ovnis, qu'il considère alors comme d'origine extra-terrestre. Il consacre ses loisirs à cette passion, se concentrant plus particulièrement sur l'étude des cas "pré-Arnoldiens" ou "anciens" et collecte des coupures de presse. Dès en il crée avec quelques amis (dont Josiane Séris, Patrick Gourdy) un groupe informel.

GEPA

en , Durand réalise avec un autre acolyte une interview de René Fouéré. Ce dernier lui fait visiter les archives du GEPA, réparties dans l'ensemble de l'appartement de la Rue de la Tombe-Issoire. À l'issue de cette rencontre Durand participe, avec Gourdy, aux réunions publiques de l'association où ils rencontrent Michel Coste et diverses autres personnalités du monde ufologique du moment.

CEPI

Courant en , incités par Henri Chaloupek et François Couten, Durand et Gourdy participent au CEPI, une des associations créées au sein du réseau LDLN. Ils y côtoieront plus ou moins régulièrement et jusqu'en en des gens comme Pierrette Keller (pionnière de l'ufologie), François Toulet (Mad-OVNI -- Madagascar OVNI), Jean-Marc Bonay (FUNO et GREU), Patrice Seray (Frontières de la Science), Roland Comte (correspondant LDLN ayant fréquenté la CE Ouranos), Gilbert Cornu (LDLN), Cyrille Fourcade ainsi que des invités prestigieux comme Alfred Nahon (AMI-Courrier Interplanétaire), Michel MonnerieMichel Monnerie (RESUFO-LDLN), Michel Piccin (Control) ou Jimmy GuieuHenri-René Guieu (IMSA).

AIHPI

en , il fonde avec Coste l'AIHPI.

CIGU

en , à l'issue d'une réunion de la FFU à Troyes, et pour se démarquer de cette entité, il co-fonde le CIGU. Il devient coéditeur de l'Annuaire du CIGU au sein duquel est publié, en encart, Des Siècles de lumières, la revue de l'AIHPI.

CNEGU

A partir de cette période, il participe assez régulièrement aux cessions de travail du CNEGU en qualité d'intervenant extérieur.

OPS

en , dans le cadre des activiés de l'AIHPI, il s'investit dans l'édition d'un service de presse : OPS et publie jusqu'en 1990 des séries de coupures de presse à l'attention des ufologues. Ce sont près de 800 coupures qui sont ainsi éditées. Aguerri à l'informatique et la saisie de données depuis 1982, il travaille avec le CIRU pour informatiser le catalogue OPS.

en , suite à la cessation de la parution de la Circulaire du CNEGU, il entame, toujours avec l'AIHPI et sous l'égide du CIGU, la publication d'une circulaire pluridisciplinaire, la CCIGU, compilant de nombreuses informations couvrant des domaines variés : ufologie, paranormal, insolite, céréalogie, exobiologie, astronautique, etc. La parution cesse après 11 numéros. Ce travail sera repris par Thierry RocherThierry Rocher et en sous le titre La Circulaire puis Le Répertoire. Cette même année il est l'un des représentants du CIGU sur le stand de la BIDU-Banque OVNI lors du salon PARAPSY 88.

SCEAU

en , après 2 ans de gestation, il participe à la création du "SCEAU/Archives OVNI", dont il devient secrétaire général.

Cette même année, ainsi que en , il participe aux VECA.

Depuis lors, il consacre son temps à promouvoir le SCEAU, dont il est corédacteur du Bulletin Annuel du SCEAU/Archives OVNI. Il est aussi l'un des promoteurs du système d'inventaire détaillé appliqué aux archives sauvegardées par l'association. Il poursuit également, l'enrichissement du catalogue HISTOCAT et la compilation de coupures de presse (+ de 5000 en , s'étalant de en à nos jours), dont il prépare des versions informatisées s2Durand, G.: "Motif du discrédit de certains rapports d'observations anciennes", Congrès de la FFU des 7 et 8 mai 1983, Lyon. Publié dans OVNI, vers une anthropologie d'un mythe contemporain, collectif sous la houlette de Thierry PinvidicThierry Pinvidic (Heimdal, Paris 1993).. Son intérêt pour le phénomène des crop circles ne s'est pas démenti s3Durand, G.: "L'énigme circulaire". Publié dans OVNI, vers une anthropologie d'un mythe contemporain, collectif sous la houlette de Pinvidic (Heimdal, Paris 1993).

en il organise une cession du CNEGU à Villars-Santenoge (52).

en , puis en il représente le SCEAU à la Journée de l'Ufologie de Châlons-en-Champagne, organisée par OVNI-Marne et Alain Blanchard, et y présente l'exposition concoctée par le SCEAU à partir des fonds de ses sociétaires, "l'ExpOVNI". Cette année-là il est de retour après quelques années aux Repas Ufologiques Parisiens. En il y présente le SCEAU, et en l'enquête qu'il a menée, fort de son expérience VECA, avec Mathieu ("MCo", responsable du site Signes), sur le crop-circle de Boussy-St-Antoine (91).

Après avoir quitté le monde de la banque pour faire un passage par celui de la brocante, il a suivi une formation de bibliothécaire et depuis l'an en il s'est spécialisé dans le catalogage et la numérisation des fonds bibliographiques.

Aujourd'hui, l'attitude de Durand vis-à-vis de l'origine des ovnis est très réservée. Il se considère comme un sceptique pragmatique, conservant une large ouverture d'esprit face aux différents courants ufologiques du début ce de 21ème siècle, ainsi reste-t-il ouvert à toutes les explications, logiques, positives, constructives et rationnelles.

en il participe au CAIPAN 2 à Toulouse.