Plateau "Ovnis, ET et contactés"

Dechavanne, ChristopheArditti, PierreGuieu, JimmyGuieu, JimmyVorilhon, Claude: Ciel Mon Mardi, TF1, mardi 27 septembre 1988

+ Claudia Guieu & Marie-Josèphe.

En regardant le ciel on a du mal à imaginer qu'on est les seuls êtres vivants dans tout l'univers. Qui n'a jamais eu envie de crier "Y'a quelqu'un ?" Certains l'ont fait et ils auraient obtenu des réponses. Ce qui prouverait que non seulement les extraterrestres existent, mais encore que ce sont des être tout à fait polis et communicatifs. Quant à savoir s'ils sont méchants ou gentils, çà, c'est une autre histoire. Des terriens qui les ont rencontrés sont là ce soir pour nous le dire. Mais sont-ce vraiment des terriens ?

Le sujet sur les ovnis (1/4)

Effectivement, c'est une question qu'on peut se poser. Je pense moi parti... précisément que ce sont des terriens - ils sont à côté de vous Pierre. Je voudrais tout de suite commencer par vous, Jimmy GuieuGuieu, Jimmy. Vous êtes quelqu'un qui dès 1947 avez pris conscience que les extraterrestres existaient.

Guieu : Absolument. Lorsque la presse s'est fait l'écho de la 1ère observation qui a reçu le nom de soucoupe volante, je me suis dis Cet homme - le 1er témoin - s'il a dit vrai, d'autres témoins vont se manifester, auquel cas ce sera pour moi la certitude qu'il s'agit d'engins venus d'ailleurs. Et évidemment des milliers et des milliers de témoignages se sont succédés de par le monde.

C'est-à-dire que depuis 1947 vous allez de par le monde comme vous venez de le dire, et vous rencontrez des gens qui, non pas croient pas avoir vu, mais qui ont vu des extraterrestres.

C'est ça. Alors évidemment il y a des gens qui se trompent de bonne foi. Il y a aussi quelques canulars, ça existe aussi.

Comme vous arrivez à définir un canular ou quelqu'un qui se trompe...

Vous savez, une enquête se fait sur plusieurs plans, et demande des fois plusieurs années. Alors nous adoptons un vieux proverbe arabe qui dit : Laisse le menteur oublier son mensonge et interroge-le de nouveau. Alors s'il a parlé d'un bonhomme qui a votre taille - je sais pas, 1,80 m à peu près...

Oui non ça non. Hé hé. Oui non mais oh je vous en prie... Facile !

...Facile. Et si 6 mois après il nous parle d'un bonhomme qui a la mienne, c'est-à-dire péniblement 1,70 m, 1,71 m... vous direz "Oh il y a quelque chose qui..."

"Bonjour confrère"...

Voilà.

Très bien. Est-ce que vous pouvez nous dire... alors vous avez écrit beaucoup de bouquins...

Oui.

Qu'est-ce que vous pensez de l'incrédilité des gens ? Parce que j'imagine que...

De la crédulité ou de l'in... ?

De l'incrédulité.

L'incrédulité ? Et bien on peut pas leur reprocher. Quand on sait que toutes les nations, toutes les communautés scientifiques, dès le départ, se sont mises d'accord pour nous tromper, pour vous tromper, pour me tromper.

C'est-à-dire que vous dites clairement que tous les états du monde...

Sans exception.

...connaissent l'existence des extraterrestres, mais la cachent au grand public ?

Absolument.

Mais pourquoi ?

Alors si c'était que ça ce serait pas bien grave, parce qu'après tout, des secrets, toutes les nations en ont. Mais ce qui est grave c'est que on a découvert... car il existe des documents, des documents écrits, accablants. Il existe une sorte de mafia - "mafia" entre guillemets, ce ne sont pas des malfaiteurs, ce sont des gens très bien - au plus haut niveau aux Etats-Unis, qui compose le groupe Majestic twelve. Majestic n° 12. Il y a 12 individus. Lorsque l'un meurt un autre vient prendre la place du mourant par cooptation. C'est un truc Above Top Secret, c'est-à-dire au-delà du secret, hein. Et parmi eux aujourd'hui on pense, on a de fortes raisons de penser que George Bush, le vice-président des Etats-Unis, fait partie de cet organisme ultra-secret qui a pour vocation d'étouffer la vérité. Pourquoi étouffer la vérité ? C'est pas une question d'opinion. Ne dites pas : vous y croyez, vous y croyez pas, c'est pas ça du tout. Ils sont réels comme vous et moi. Ce sont des êtres, ils sont nés ailleurs.

Vous les avez vus ?

Non ; ça change rien. De toute façon ma parole ne vaut pas plus que celle du brave paysan du fin-fond de la creuse ou du Texas. Hein, moi je suis un terrien, j'ai des yeux comme tout le monde. Mais ce qui est grave ce n'est pas tant le secret, c'est la raison pour laquelle le secret est établi. On le sait maintenant, on le sait depuis pas tellement longtemps...

Allez-y alors.

Eh bien, c'est l'existence de ce groupe qui veut dissimuler la vérité, parce que 4 bases militaires américaines ont été cédées aux little greys - en anglais ça veut dire les petits gris - qui sont des êtres extrêmement inquiétants. Vous avez... la régie a les diapositives...

Attendez, ben attendez, il faut que vous me laissiez le temps d'y arriver. Je voulais qu'on discute un petit peu avant tout çà, mais vous aviez des scoops à nous délivrer... euh... on... Là ça va très vite, on peut dire que ce sont des scoops volants - c'est amusant -

(rires)

Ah ben oui, excusez-moi. Excusez-moi. Vous parliez des petits gris ; je voudrais Christian Vidali que vous nous montrez tout de suite l'image de ce petit gris, car vous avez réussi à dresser le portrait-robot de l'extraterrestre méchant, parce qu'ils ne sont pas tous gentils.

C'est ça.

Celui-là est méchant.

C'est çà. J'ai demandé à un illustrateur du nom de Silvio Usaï de faire ce portrait-robot d'après de multiples indications. Nous étions la semaine dernière ma femme et moi à un congrès international à Rio, au Brésil. Nous avons discuté de cela. C'est une certitude absolue. Sauf évidemment les officiels qui vont continuer à nier. Alors, imaginez les Américains qui sont...

C'est-à-dire que cet être existe ?

Hélas !

Arditti (à Dechavanne) : Il a quelque chose de vous, hein, vous savez.

(rires)

Guieu : Mal rasé alors !

Oh ben je vous en prie !

Voilà, c'est ça...

Non non mais... Bien Pierre, puisque vous parlez, parlez donc de çà. Est-ce que vous avez le sentiment de... est-ce que vous êtes incrédule, crédule... ? Est-ce que...

Je connais les petits gris de Bourgogne, qui sont très très bons d'ailleurs, mais ceux-là je les connais pas ; ben ils me foutent la trouille... mais je sais pas...

... Voilà, face à une réaction comme celle-là, qui est la réaction-type de quelqu'un qui...

Je suis pas complètement incrédule. Je me dis quand même que l'univers est si immense qu'il serait tout de même un petit peu probable qu'il y ait pas une forme d'existence quelque part. Maintenant, est-ce que ça se présente forcément de cette manière-là, comme des êtres humains même un peu diformes...

Non, ça que ça peut se présenter de différentes manières, sauf le petit gris, qui lui est bien particulier, que nous venons de voir là.

Guieu : Il y a 18 espèces différentes qui sont bien connues. On a fait des portraits-robots, depuis 20 ans, etc. Bon, parmi celles-ci il y a une espèce qui est dangereuse, c'est celle là.

Elle est dangereuse. Donc çà si on en voit un au bord de la route...

Arditti : (rires)

Guieu : Attendez... Mais oui je sais, je sais, rigolons-en aujourd'hui, et espérons que demain nous n'aurons pas à grincer les dents.

Dechavanne : Vous êtes inquiet ?

Guieu : Pardon ?

Dechavanne : Vous êtes inquiet ?

Guieu : Ben avec tout ce que nous savons, je vous garantis qu'il y a des raisons de l'être, hein ! Parce que les américains... les américains...

(rires)

Guieu : Eh oui ça c'est dramatique... les américains ont passé un marché de dupes. Ils leur ont dit : Ok, vous restez là, dans les bases, c'est à vous, mais en retour il faut donner quelque chose. Alors ils ont dit aux américains : Ok, nous allons vous donner de nouvelles technologies. Ca coïncide cette... ce magouillage avec la sortie des transistors et autres. Bon. C'est peut-être une... un marchandage ; mais ils y sont ils y restent ! Alors çà c'est dramatique, parce qu'ils ne veulent plus partir. Et le grand secret, c'est pas leur présence, c'est de savoir que les américains se sont fait - soyons polis - ils se sont fait avoir par ce troc qui n'a pas marché. Et c'est dramatique parce que d'innombrables enlèvements - vous avez entendu parler des mutati... mutilations animales, bon...

Dechavanne : Euh moui...

Guieu : et bien il y a aussi des mutilations humaines, et moi je pense que dans les semaines ou les mois qui viennent, des événements vont se produire qui forceront les autorités...

Dechavanne : Dans les semaines à venir ?

Guieu : ...semaines, ou les mois qui viennent, vont forcer les autorités, soit à tirer sur moi à boulets rouges. Peut-être sur mon ami et confrère Jean SiderSider, Jean qui est le 1er en Europe à avoir divulgué les secrets du groupe Majestic 12... ou alors mon ami américain George Andrews avec qui j'étais il y a quelques mois, qui lui aussi est inquiet. Il n'y a que les gens qui rigolent.

Dechavanne : Alors vous vous êtes inquiet, mais vous ne les avez pas vu. Vous n'êtes certain que par oui-dire, puisque vous avez récolté des témoignages. En revanche je voudrais donner la parole un petit peu aux gens qui sont à côté de vous - bon la personne qui est à côté de vous, vous la connaissez bien - On va revenir à vous, madame...

Le sujet sur les ovnis (2/4)

Dechavanne : Je voudrais parler du jeune homme tout en blanc. Vous vous appelez Claude Vorilhon, Claude "Raël" - c'est votre 2ᵉ nom. Alors expliquez-nous un petit peu qui vous êtes parce que vous vous avez fait des rencontres alors, carrément.

Vorilhon : Ben je suis très heureux d'être avec vous parce que la télévision française me donne pas souvent la parole. Ca fait 15 ans à peu près je qu'étais passé au Grand Echiquier, avec Jacques Chancel qui avait été enthousiasmé par le message que j'avais reçu de ces extraterrestres...

Dechavanne : Oui d'ailleurs il s'en est pas remis...

(rires)

Vorilhon : Tout à fait car c'est un message tellement révolutionnaire, tellement fantastique puisque les extraterrestres y'a très longtemps qu'on en parle, c'est pas la 1ère fois, ça fait depuis que l'Humanité existe puisque la Bible ne fait que parler d'extraterrestres. Si vous lisez les livres en hébreu, il n'y est pas marqué "Dieu", il y a marqué "Elohim". Et "Elohim" en hébreu ça veut dire "ceux qui sont venus du ciel", et c'est au pluriel. Alors, traduire çà par "Dieu" au singulier, c'est la plus belle escroquerie de tous les temps ! Mais évidemment les hommes ne pouvaient pas comprendre. Alors, les témoignages sont multiples ; si vous relisez l'Ancien Testament, vous voyez que Ezéchiel, Moïse, lorsqu'il a été sur le mont Sinaï, parlait avec des êtres... pas avec des êtres immatériels, surnaturels, mais humains. Et ces êtres ont créé la vie sur Terre. Ils ont fait l'homme à son image, par une technologie qu'on commence à comprendre puisqu'on redécouvre la génétique et l'acide désoxyribonucléique. Moi j'étais journaliste à Clermont-Ferrand voilà maintenant une quinzaine d'années et un matin j'ai pris ma voiture pour aller à mon bureau, et je suis arrivé dans un volcan...

Dechavanne : En 1973 hein ?

Vorilhon : En 1973, le 13 décembre, je suis arrivé un volcan qui s'appelle le Puy de Lassolas, sans savoir pourquoi j'avais quitté la route de mon bureau, et arrivé dans ce volcan j'ai continué à progresser jusqu'au centre du cratère... et là j'ai vu une lumière blanche très violente, une lumière clignotante très puissante. Un engin est descendu qui avait la forme d'un cloche applatie, très... d'un métal très argenté, très brillant. Ca c'est arrêté environ à 30 m de moi, une trappe s'est ouverte, un être est venu vers moi... il s'est arrêté à environ 30 m de moi...

Dechavanne : Alors, attendez... Comment ? Comment il était...

Vorilhon : Il était petit...

Dechavanne : Encore !

Vorilhon : ...(j'avais pas un centimètre avec moi), environ 1,40 m, ressemblant très fortement aux hommes, simplement des yeux très en amande, très étirés sur les tempes. Et cet être s'est donc approché de moi ; il avait les cheveux noirs, la peau entre les asiatiques et les européens. Pas comme nous, pas non plus comme les asiatiques, un petit peu entre les 2...

Dechavanne : Il vous a parlé ?

Vorilhon : Il m'a parlé, en français, parce que c'était la seule langue que je parlais à cette époque.

Dechavanne : Qu'est-ce qu'il vous a dit ?

Vorilhon : Et il m'a dit mon nom, il savait mon nom, ma situation familiale, il savait tout de moi, de ma profession, et il m'a demandé de le suivre pour me donner ce message extraordinaire que je diffuse maintenant depuis 15 ans...

Dechavanne : Alors, attendez : il vous a demandé de le suivre où ?

Vorilhon : Dans l'engin. Dans l'engin qui était stationné juste à côté. Je suis monté par le petit escalier, je me suis assis sur le... 1 des 2 fauteuils qui étaient à l'intérieur et là il m'a parlé de ce message qui change tellement de choses !

Dechavanne : Et vous êtes resté combien de temps dans l'engin ?

Vorilhon : Je suis resté 6 fois 1 h.

Dechavanne : Dans la journée ?

Vorilhon : 1 h chaque jour. 6 jours de suite, 6 fois 1 h.

Dechavanne : Ah mais vous n'êtes pas parti ?

Vorilhon : Non. Pas le 1er contact.

Dechavane : Après oui ?

Vorilhon : Il y a eu un autre contact en 1975. Le 7 octobre 1975, Et là je suis parti dans l'engin avec lui.

Dechavanne : Où ?

Vorilhon : Sur la planète où ils vivent.

(Oh !)

Vorilhon : Et qui est une planète qui est... absolument on a pas envie de revenir. Si j'avais eu le choix je ne serais jamais revenu sur Terre.

Dechavanne : Alors ça veut dire quoi, ça veut dire que vous avez été choisi par eux ?

Vorilhon : Tout à fait.

Dechavanne : On arrive pas à les définir, on dit pas... ils ont pas de nom...

Vorilhon : Les Elohims. Ce sont les Elohims.

Dechavanne : Ah les Elohims.

Vorilhon : E-l-o-h-i-m.

Dechavanne : Ils vont ont emené sur leur planète, mais alors, vous y avez vécu combien de temps ?

Vorilhon : Je suis resté 1 journée seulement.

Dechavanne : 1 journée.

Vorilhon : Oui.

Dechavanne : Ah remarquez c'est pas mal, y'a des gens qui aimeraient bien...

Vorilhon : Mais j'aurais souhaité ne jamais revenir encore une fois.

Dechavanne : Alors vous avez vécu comment ... Vous avez mangé avec eux ? Vous êtes allé aux... ? Alors les meubles, la nourriture... qu'est-ce que c'est ?

Vorilhon : Il faudrait des heures pour en parler, je veux dire, c'est... j'en parle un petit peu dans mon "livre...

Dechavanne : Oui oui passez-le moi je vais le montrer.

Vorilhon : "...qui dit la vérité", merci, qui vient de dépasser les 100 000 exemplaires, traduit en 14 langues et diffusé dans 22 pays. Nous avons maintenant plus de 20 000 membres. Des scientifiques, des religieux, des gens qui m'aident à diffuser ce message...

Dechavanne : Des scientifiques ?

Vorilhon : Oui, le président de notre mouvement en France c'est Marcel Serus, qui est un scientifique, un chimiste, un ingénieur chimiste, et euh... qui vraiment s'occupe très très... remarquablement bien de ce mouvement... nous avons un objectif, c'est pas...

Dechavanne : Vous vous avez un mouvement, hein, qui s'appelle le Mouvement Raélien...

Vorilhon : Tout à fait.

Dechavanne : Vous avez combien d'adeptes ?

Vorilhon : Nous avons 20 000 membres dans le monde...

Dechavanne : Membres.

Vorilhon : ...environ 4000 en France, et nous avons un objectif plus fantastique. L'objectif est de faire connaître ce message, mais nous avons un objectif encore plus fantastique, la mission qu'ils m'ont donnée : construire une ambassade où ils viendront, et où la presse mondiale sera invitée - j'espère que vous serez là - et où également les gouvernement mondiaux seront là.

Dechavanne : Moi je voudrais qu'on revienne un petit peu à votre séjour sur cette planète, parce que çà c'est quand même quelque chose d'assez étonnant. Je parlais du mobilier, de la nourriture... mais le... Peut-être... enfin pardonnez-moi de cette question, mais peut-être avez-vous eu envie de faire pipi dans la journée... Est-ce qu'ils ont des choses différentes de nous ? Enfin des choses, des toilettes ou des choses comme çà... ?

p>

Vorilhon : Le plus impressionnant c'est pas çà. Le plus impressionnant - ce qui m'a moi le plus impressionné - c'est leur capacité à maîtriser la génétique. C'est-à-dire : ils ont prélevé 1 cellule de mon corps - au milieu de mon front - ils l'ont mise dans une machine et en quelques minutes ils ont fait une copie. Un autre être qui me ressemblait. Cà c'est quelque chose d'impress... de très impressionnant.

(applaudissements)

Dechavanne : Mais alors est-ce que vous êtes sûr que c'est vous qui êtes là et non pas votre copie ?

(rires)

Vorilhon : Je vous laisse... le doute !

Dechavanne : ...qui plane.

Vorilhon : Je laisser planer le doute. Peu importe. C'est la même chose.

Dechavanne : Alors, Jimmy Guieu, vous vous connaissez tous les 2 ?

Guieu : J'ai enquêté sur le cas Raël en 72, 73 - je me rappelle plus. Quelques semaines...

Vorilhon : 74.

Guieu : ...ou 1 mois ou 2 après son aventure, et je lui ai dit "Tu n'es pas le 1er, tu n'es pas le dernier". Je l'ai mis en garde contre une dérive possible. Hein euh...

Dechavanne : Est-ce que vous n'êtes pas jaloux ? Pardon de vous interrompre mais il y est allé ! Il y est allé !

(rires)

Guieu : Vous savez, nous étions au Brésil la semaine dernière...

Dechavanne : Oui mais lui il est allé plus loin quand même !

(rires)

Guieu : C'était plus loin... c'était plus loin, oui. Mais pourquoi être jaloux, euh...

Dechavanne : Est-ce que vous ne vous demandez pas pourquoi vous vous n'êtes pas contacté ? Puisque c'est le terme hein, c'est "contacté" je crois ?

Vorilhon : C'est çà.

Guieu : Vous savez, c'est toujours embarassant ce genre de question, parce que ça implique une réponse. Une réponse implique un jugement de valeur, on va dire "Il se prend pour Jésus-Christ". Ben non. Ni pour lui ni pour d'autres. Moi je crois qu'avec tout ce que j'ai fait depuis 40 ans dans ce domaine, si j'avais été plus ou moins téléguidé dans certains domaines, je ne l'aurais pas fait. Donc jusqu'à quel point on peut parler de libre-arbitre total, je ne le pense pas. Donc il y a des téléguidages.

Dechavanne : Vous dites que vous avez rencontré Raël pendant... à ce moment-là. Comment on travaille sur un contacté ? Quel est... ?

Guieu : Ben on lui pose toutes sortes de questions.

Dechavanne : Quelle est... sous calmants, sous hypnose ou normal ?

Guieu : Non, là c'était pas sous hypose. Moi j'ai travaillé pendant 17 ans à la RTF, à l'ORTF et FR3. Hein, aussi bien en radio qu'en télévision...

Dechavanne : Alors vous êtes un confrère ?

Guieu : Voilà. Et j'ai posé des questions à Raël, je lui ai demandé de nous décrire.. j'étais avec un ami... Alain de Kern, qui est un géomancien, analyste... Je me souviens que nous avons parlé d'un détail qui peut paraître insignifiant, mais qui était quand même important : je lui ai dit "quand tu as monté sur cette sorte de petite passerelle - parce que les êtres dont nous a parlé Raël tout à l'heure n'avaient pas notre taille, ils étaient plus petits - donc l'escalier était plus petit, donc la force musculaire que nous utilisons nous pour monter un escalier normal. Et il avait remarqué cette chose-là. Je peux pas vous répéter les mots qu'il avait dit, mais je me suis dit tiens, c'est quand même un détail... Moi je ne dit pas que ce qu'à vécu Raël... Bon il y a des choses...

Dechavanne : Raël vous dites des trucs quand même un tout petit peu étonnants - pardon de vous interrompre - vous dites que Jésus serait d'un extraterrestre et d'une terrienne quand même.

Vorilhon : Tout à fait, car le message qu'il avait donné à l'humanité, le message qui a été donné à l'origine par les Elohims... Un jour les êtres humains sur Terre vont avoir acquis suffisamment de connaissances pour découvrir la génétique, pour découvrir la technologie qui leur permet d'aller sur d'autres planètes. Nous devenons nous-mêmes des extraterrestres, puisque nous quittons la Terre. Donc il n'y a rien de farfelu dans tout çà ; nous sommes en train d'échapper à notre planète. Eh bien, lorsque l'humain pourra faire cela, il faudra qu'il y ait une trace de ce qu'ils ont accompli sur Terre. C'est pour ça qu'ils ont fait l'Ancient Testament, qui prouve ce qu'ils ont fait. Et ensuite l'Ancien Testament n'était conservé que par le peuple juif, jalousement. Il a fallu qu'ils envoient quelqu'un pour le diffuser très largement sur la Terre.

Dechavanne : C'était vous.

Vorilhon : C'était Jésus.

Dechavanne : Ah pardon excusez-moi.

(rires)

Vorilhon : C'était Jésus. C'était le fils d'un extraterrestres et d'une terrienne. C'était pour çà qu'il disait Mon père est dans les cieux.

Dechavanne : Vous vous avez été ... comme messager par les élohims sur la Terre. Vous dites qu'en même qu'ils cherchaient un être intelligent, libre penseur... donc bien.

Arditti : Excusez-moi, je peux vous poser une question, moi ? Je vois sur votre livre et sur votre pull-over une croix qui est une espèce de mélange pervers entre ce que j'appelerais une croix gammée et étoile croix de David. Vous pouvez m'expliquer la signification ?

Vorilhon : Bien sûr ce symbole est le symbole des Elohims, qu'on retrouve également dans le livre des morts du Tibet qu'on peut trouver dans toutes les librairies, que je n'ai pas écrit donc au total ça fait de la publicité... C'est le plus vieux symbole et qui représente l'infini en mouvement dans l'espace et dans le temps. Il n'a rien a voir - du moins directement - avec le peuple juifs, et qui n'a absolument rien à voir avec les criminels nazis qui ont existé il y a quelques années.

Dechavanne : Qu'est-ce que vous faites avec les adeptes de votre mouvement ? Qu'est-ce que vous leur faites faire ? Je sais par exemple que vous leur demander de verser 10 % de leur salaire à votre organisation.

Vorilhon : Oui tout à fait.

Dechavanne : Au mouvement, donc ça c'est important..

Vorilhon : Il y en a même qui sont très heureux de le faire puisqu'en suivant l'enseignement qui est donné dans les messages, ils peuvent multiplier leur salaire par 2 ou par 3 donc ils sont très heureux de le faire. Donc verser 10 % c'est pas grand chose.

Dechavanne : Non. Et puis ça augmente votre...

Vorilhon : Et vous avez remarqué... Ils versent cela au mouvement. J'insiste parce qu'on pourrait dire "Il a trouvé un bon moyen pour faire de l'argent". Le mouvement ne me verse aucun salaire.

Dechavanne : Mmh Mmh.

Vorilhon : Et c'est vérifiable et vérifié.

Dechavanne : Et vous pratiquez la médiation sensuelle.

Vorilhon : La méditation sensuelle c'est une technique de relaxation qui est enseignée par les elohims.

Dechavanne : Les sons... redécouvrir les sons, les odeurs... Les caresses, hein, quand même.

Vorilhon : ...

Dechavanne : Ca dérape pas un peu parfois ?

Vorilhon : Les gens qui ont envie de déraper le font en privé. Ca n'est pas organisé. Et je peux vous dire également que le 7 octobre 1976 nous avons eu une rencontre cette fois-ici, avec tous les membres de notre mouvement. Et là exactement à 3 h de l'après-midi - c'était un anniversaire de notre rencontre - il y a 2 engins qui sont apparus et des flocons cotonneux qui sont tombés. Et j'ai des témoins dans la salle qui étaient là ce jour-là, je suis pas tout seul.

Dechavanne : Mmh mmh. Il peut pas s'agir d'hypnose générale ou...

Vorilhon : Je pense pas si vous voulez il y a Philippe Lebeau est dans la salle il peut témoigner. C'est pas quelqu'un d'assez...

Dechavanne : Non non je vous crois sur parole.

Le sujet sur les ovnis (3/4)

Dechavanne : Alors moi je vais demander maintenant au public beaucoup de tolérance avec madame, avec vous, Marie-Josèphe - je vais vous appeler Marie-Josèphe - parce que je sais que vous eu du mal un petit peu à venir. Vous ne faites partie d'aucun mouvement - vous êtes toute seule - et vous avez fait ce qu'on appelle - mettez bien le micro près de votre bouche - et je sais que vous ne voulez pas en parler parce que vous avez un petit peu peur je crois de l'incrédulité des gens, vous pensez que les gens ne sont pas préparés à çà - ce en quoi je me rapprocherai assez de vous - et vous vous avez fait carrément une vraie rencontre du 3ème type.

Marie-Josèphe : Oui, exactement oui.

Dechavanne : Alors dites-nous déjà ce qu'est une rencontre du 3ème type. Mettez le micro devant votre bouche...

Marie-Josèphe : Alors ce qui c'est passé ce soir-là, c'était le 22 novembre 1978, et j'étais dans la cuisine, je me préparais un dessert, et puis... je me préparais un dessert. Il était vers 8 / 9 h le soir, et puis j'ai voulu fermer mes volets ; alors j'ai ouvert la fenêtre, et sur la gauche j'ai entendu un petit bruit, un ronronnement. Et là, j'ai dit "Tiens, un petit avion". Je regarde et effectivement il y avait quelque chose qui se déplaçait dans le ciel... et là sur le parking, à une hauteur de 15 m à peu près, et une vingtaine de mètres de moi il y avait une rangée de hublots éclairés. Et comme il commençait à faire sombre, alors j'ai dit "Tiens, un avion" et puis, j'ai réalisé, "mais il bouge pas", je me suis dit "tiens c'est curieux"... et je me suis habituée à la pénombre parce que j'étais en pleine lumière, et ça m'a demandé quelques secondes, et ensuite j'ai aperçu une masse sombre tout autour, avec des hublots, et ça... - comment dire - euh oui alors il s'était un peu incliné, vous voyez, un petit peu en biais...

Dechavanne : Mmh. Et il y avait... et il s'est posé ?

Marie-Josèphe : Euh, il était en hauteur, hein...

Dechavanne : Et il s'est posé finalement ?

Marie-Josèphe : Non non, pas tout de suite. Il s'est passé plusieurs choses. C'est-à-dire qu'à ce moment-là l'engin s'est ravancé plus près, il s'est rapproché de moi, à peu près à une dizaine de mètres, mais toujours sur le côté gauche, face à des arbres qu'on a dans le parc.

Dechavanne : Et vous étiez tout seul ? Toute seule ?

Marie-Josèphe : J'étais toute seule à ma fenêtre oui. Et je le regardais, et les hublots se sont éclairés de toutes les couleurs. Il y avait plusieurs couleurs et il y avait une brume sombre qui sortait de sous l'engin et qui entourait la base de l'engin - ça faisait comme une fumée sombre.

Dechavanne : Mmh mmh.

Marie-Josèphe : Bon, alors je regardais çà, je trouvais çà joli toutes ces couleurs...

Dechavanne : C'est-à-dire vous avez pas été surprise du tout ?

Marie-Josèphe : Alors ah ben plutôt oui. Parce que au début je me suis pincée, je me suis "Tiens, un vaisseau, c'est pas possible". "Un ovni non, c'est pas possible qu'il y en ait"...

Dechavanne : Et finalement ?

Marie-Josèphe : J'étais bien obligé d'admettre... et je ne raisonnais pas si vous voulez. J'étais tellement stupéfaite de voir çà, je regardais, je regardais. Et puis donc l'engin... donc il s'était rapproché et il avait baissé un peu. Il est resté un moment comme çà, et puis après il est descendu à 80 cm du sol et il s'est incliné. Alors quand il s'est incliné, il s'est passé quelque chose, c'est que la couleur... la lumière qui était... qui paraissait à travers les hublots est remontée dans le haut, si bien que il restait juste un petit filet de couleur et tout le reste était blanc jaune...

Dechavanne : Il y a un être qui s'est présenté à vous ?

Marie-Josèphe : Pas tout de suite. Ne me... Me coupez pas.

Dechavanne : Mais je suis...

Marie-Josèphe : Oui d'accord attendez, je vais vous expliquer.

Dechavanne : Pas faux...

Marie-Josèphe : Oui voilà vous me coupez...

Dechavanne : Pardon. Alors donc, les couleurs... Non mais ne rentr... C'est difficile pour nous de nous faire... d'imaginer, donc ne rentrez pas trop top dans les détails...

Marie-Josèphe : J'ai fait le dessin ; je l'ai même amené pour montrer. Pour expliquer comment ça s'est passé... Et alors j'étais à ma place, j'ai continué à regarder. Et puis alors sur la gauche il y a une petite route qui passe au bout du parking et j'entendais des pas et c'était très bruyant, très bruyant. Mais c'était le vaisseau qui m'intéressait. Et je me disais comme il descendu il va sans doute sortir quelqu'un. Alors j'attendais. Et puis à un moment j'ai senti comme une aspirance (sic), vous savez comme si on m'aspirait vers le... comme si j'étais aspirée pour aller vers l'engin. Et à ce moment-là j'ai pensé que je pouvais pas... je pouvais pas sortir du côté où j'étais parce qu'il y avait pas de porte, il n'y avait que des fenêtres et j'ai dis si je fais le tour de l'immeuble, il va se passer quelque chose, peut-être que quelqu'un va sortir...

Dechavanne : Vous n'avez pas eu peur, vous étiez attirée ?

Marie-Josèphe : Je me sentais en sécurité dans ma cuisine, hein.

(rires)

Marie-Josèphe : Et puis de toute façon ce n'était pas quelque chose qui paraissait... je me sentais bien.

Dechavanne : Alors dites-nous. Nous passons les détails, et là vous êtes face à face avec un extra-terrestre. On va pas avoir le temps c'est pour çà, pardonnez-moi...

Marie-Josèphe : Je vous explique. Oui donc j'attendais, et puis à un moment il y a eu un bruit, un bruit sonore, il est passé des points lumineux, des traits qui allaient vers l'entrée du parking, et c'est là que cet être est rentré sur le parking et il faisait beaucoup de bruit, et alors à ce moment-là il s'est arrêté à ce signal, il a mis sa main devant sa bouche, et il m'a dit "Taisez-vous, dites rien. Taisez-vous, dites rien".

Dechavanne : En français ?

Marie-Josèphe : Euh non télépathiquement. Je recevais çà par télépathie. Mais oui, si vous voulez, c'était en français.

Dechavanne : Aucun son n'est sorti... ?

Marie-Josèphe : Non non non... c'était par télépathie.

Marie-Josèphe : Alors j'ai regardé, et il y a quelqu'un qui est rentré sur le parking, qui est passé à côté, comme si elle le voyait pas, elle est allée vers l'engin et elle a tourné au bout de l'immeuble. Et cette personne m'a dit bonsoir mais j'ai eu l'impression qu'elle ne voyait absolument rien de ce qui se passait. Bon. Et alors ensuite le personnage, quand cette personne a disparu au coin de la maison, elle s'est mis à passer devant - puisqu'il y avait une pelouse entre moi et le... l'être - il est passé devant et il est monté dans le vaisseau.

Dechavanne : Vous pouvez le décrire... précisément ?

Marie-Josèphe : Euh l'être ? Oui alors il avait une peau très sombre. Il avait des yeux ronds globuleux...

Dechavanne (comparant au petit-gris) : Ah, c'est pas le même.

(rires)

Marie-Josèphe : Il avait un petit nez normal. La bouche, il n'avait pas de lèvres, c'était simplement un trait. Et les cheveux ils étaient trempés mais courts... et puis autrement le reste...

Dechavanne : Il avait un costume ?

Marie-Josèphe : Oui il avait un vêtement sombre. Ca faisait... ça imitait un peu le sky, je sais pas ce que c'était comme...

Dechavanne : Chaussures ?

Marie-Josèphe : Oui des chaussures avec des semelles très épaisses... qui résonnaient justement sur le sol quand il marchait, parce que il marchait à petits pas, il trottinait, parce qu'on aurait dit qu'il avait du mal à supporter euh le... je sais pas l'atmosphère terrestre.

Dechavanne : Alors quand vous avez vu ça - bon il est reparti, etc. - vous avez dû vous frotter un peu les yeux... vous avez cru...

Marie-Josèphe : Non mais j'ai pas fini... Bon alors il est monté dans l'engin, et quand il est monté dans l'engin il m'a fait un salut. Et ensuite... dans... je l'ai vu tout petit derrière les hublots... alors qu'avant je l'avais vu il faisait au moins 1,60 m ; et je le voyais tout petit derrière les hublots mais les hublots ils étaient bombés, avec des angles arrondis, et j'en revenais pas de le voir si petit si bien que j'ai été chercher des jumelles, je suis revenue, mais à ce moment-là le vaisseau repartait. Il commençait à monter tout doucement mais sans bruit, rien du tout. Alors il est monté au-dessus de 2 chênes...

Dechavanne : Attendez ne racontez pas les détails madame, excusez-moi... ce qui est important c'est maintenant vous après.

Marie-Josèphe : Attendez je vous explique un détail, c'est que quand il est monté au-dessus des 2 chênes, là toute la brume est partie et j'ai vu le vaisseau net. Pour la 1ère fois parce qu'avant je le voyais pas net à cause de la brume.

Dechavanne : Alors depuis, quels sont vos rapports ? Est-ce que vous avez eu des rapports intellectuels avec çà, est-ce que vous avez eu le sentiment d'avoir des messages ? Alors depuis quels sont vos rapports ? Est-ce que vous avez des rapports intellectuels avec eux ?...

Marie-Josèphe : Y'a certaines choses mais je n'ai envie d'en parler, j'ai pas très envie d'en parler.

Dechavanne : Le sentiment des gens... dans la foule, les gens qui sourient, etc. Ca vous... qu'est-ce que vous en pensez ? Vous pensez qu'ils ont tort ?

Marie-Josèphe : Ben ceux qui sont incrédules, oui quand même. Parce que quand on se trouve devant des faits comme ceux-là, on ne peut pas les inventer.

Dechavanne : Est-ce que vous avez trouvé des gens qui vous ont cru ?

Marie-Josèphe : Ah bien sûr heureusement oui. Parce que il y en a qui ont vu des choses aussi. avec eux au moins on peut discuter parce que on sait qu'ils vont nous comprendre...

Dechavanne : Est-ce que vous êtes inquiète ?

Marie-Josèphe : Pardon ?

Dechavanne : Est-ce que vous êtes inquiète ?

Marie-Josèphe : Ah pas du tout. J'étais pas au courant de cette chose-là... de ce que vient de dire Jimmy.

Dechavanne (à Guieu) : Vous vous connaissiez ?

Guieu : Oui j'ai fait une première enquête...

Dechavanne (à Guieu) : C'est-à-dire que vous connaissez tous les gens en France qui ont vu des choses ?

Guieu : Non, loin s'en faut. ... ceux qui se révèlent sont quantitativement tout à fait négligeables par rapport à ceux qui ont vécu ces événements et qui n'en parlent pas... qui ont peur et qui se taisent.

Dechavanne : Pierre une réflexion sur tout çà ?

Arditti : Euh oui mais euh... c'est un peu normal qu'on soit incrédule, parce que ça nous semble tellement invrasemblable... moi je peux tout à fait croire que vous avez vécu çà... Vous ne pouvez pas m'en vouloir que ça me paraisse invraisemblable.

Marie-Josèphe : Ah bon ?

Marie-Josèphe : Je ne crois pas en Dieu parce que j'ai l'impression que s'il était là il empêcherait certaines choses d'être perpétrées sur cette Terre. Alors c'est...

Marie-Josèphe : Alors vous croyez qu'on invente ?

Arditti : Alors pourquoi ces gens ne prennent pas contact avec nous ? Pourquoi est-ce que ...parler ? Pourquoi est-ce qu'on a pas... ? expliquer à un moment donné ... Est-ce qu'ils ont vraiment quelque chose à dire ? Ca fait effectivement longtemps que j'entends parler...

Vorilhon : ...à un moment donné ... préparer un lieu - parce que c'est un problème de lieu - préparer un lieu, une ambassade, où ils viendront et où ils seront sûr d'être respectés. Parce que comme le dit notre ami ici, il est évidement que l'humain a des actions qui sont parfois violentes et désagréables un peu partout sur la Terre. Donc un lieu où ils arriveront en toute sécurité.

Dechavanne : Ok alors vous. Est-ce que vous avez le sentiment d'être porteuse d'un message Marie-Josèphe ?

Marie-Josèphe : Euh non je voudrais rien dire.

Le sujet sur les ovnis (4/4)

Dechavanne : D'accord. Jimmy Guieu, à côté de vous votre femme. Alors vous vous n'avez pas eu de contact madame - très rapidement pour conclure - et vous vous êtes réveillée un matin avec une nouvelle écriture dans les mains.

Claudia : Oui, je me suis réveillée un matin avec une nouvelle écriture dans les mains comme vous dites. qu'un contact télépathique.

Dechavanne : Enfin quand même.

Claudia : Pardon ?

Dechavanne : Non quand même !

Claudia: Quand même oui. Physique ou télépathique, c'est quand même intéressant.

(rires)

Dechavanne : Alors voilà votre écriture. Alors nous avons fait analyser cette écriture et il s'avère que la graphologue, Jöelle Robert... Noëlle Robert, pardonnez-moi - célèbre graphologue - n'a pas pu déceler véritablement ce que c'était, si ce n'est un mélange de chiffres physiques, chimiques, de sténo, d'hébreu, d'arabe, etc. Qu'est-ce que... Qu'est-ce que vous en pensez de çà ?

Claudia : Oui j'ai montré à un ami psychanalyste, qui m'avait dit que c'était un mélange de - comme vous dites - d'hébreu, d'arabe... comme vous dites... mais d'écriture aussi très ancienne.

Dechavanne : ...

Claudia : Oui comme un rêve je me trouvais dans une ruine d'ancien temple... une écriture aussi très certainement très ancienne. et sur le fronton il y avait ... et en me réveillant le matin, je me suis souvenu ... mais aussi d'autres signes qui sont venus au fur et à mesure, j'ai eu envie, et j'ai eu le plaisir, et de droite à gauche.

Dechavanne : Et personne ... ?

Claudia : Non, que moi.

Dechavanne : Très bien.