le De nombreux témoins répartis dans plusieurs départements du centre de la France,
essentiellement en Bourgogne (Yonne notamment), observent 1 forte lueur jaunâtre ou
blanche selon les témoins de forme ovale avec une grande trainée rougeâtre qui a traversé le ciel rapidement durant
quelques s. Le phénomène a été particulièrement important dans l'Yonne où de nombreux témoins ont pu l'observer.
Suivant leur position géographique, les témoins ont entendu plus ou moins fort le bruit de 4 ou 5 déflagrations au
moment de la disparition du phénomène. Cette déflagration a été particulièrement bien perçue dans la Nièvre et
l'Yonne, mais le phénomène a été observé jusque dans l'Essonne n1Le phénomène est vraisemblablement une rentrée atmosphérique de grande ampleurs1SEPRA: PAN
classé B.
le À Trun (Orne), 1 témoin circulant en voiture observe 1
objet en forme de tonneau avec des ailerons qui survole la route à vive allure. L'objet dépasse la voiture puis fait
demi-tour pour stationner au-dessus de celle-ci. Le témoin est effrayé et éteint ses phares, ce qui semble provoquer
le départ de l'objet. Celui-ci a une taille estimée entre 10 à 15 m d'envergure et de couleur orange. Il se déplace
sans bruit. Le lendemain 7 septembre et le surlendemain 8 septembre, le même témoin fait la même observation, mais
l'objet se trouve beaucoup plus haut dans le ciel. Il prend alors des photographies de l'objet. Le témoin alerte 3
de ses voisins qui constateront également le phénomène les 6, 7 et 8 septembre. Le phénomène restant plus ou moins
stationnaire a été observé durant près de 1 h 30. Bien que les descriptions faites puissent faire penser à un ballon
dirigeable, ni les photos inexploitables, ni l'enquête n'ont permis de déterminer la nature exacte de l'objet
observé s2SEPRA: PAN classé D.
le À Montbeliard (Doubs), 1 témoin observe le passage très
rapide de 1 boule lumineuse suivie d'une trainée blanche semblant faire des éticelles. Le phénomène traverse le ciel
en une fraction de s. La description du témoin amène à privilégier l'observation d'une probable rentrée
atmosphérique s3SEPRA: PAN classé B.
le À Plougastel Daoulas (Finistère), 1 témoin observe
pendant 10 mn 1 point brillant de la grosseur d'une grosse étoile qui se déplace en zig zag et laisse une trainée de
couleur vert fluo s4SEPRA: PAN classé C.
Accord USA-Europe-Canada-Japon pour la construction d'une station spatiale habitée.
Reprise des vols de navette avec Discovery.
Le corps nu et affreusement mutilé d'un homme de 40 ans environ est retrouvé à proximité du lac artificiel de Guarapiranga. Il est identifié, mais sa famille demande que son
anonymat soit préservé. L'affaire n'est donc pas ébruitée et va grossir le lot des crimes non résolus de la
police brésilienne. en , l'ufologue Encarnacion Garcia qui enquêtait depuis longtemps sur les
mutilations de bétail au Brésil apprendra par hasard que le docteur Rubens Goes, un de ses amis, était en
possession de 7 clichés étranges qu'il tenait de Rubens Sergio, son cousin, technicien des services de police.
Les similitudes entre les blessures infligées à l'homme du lac Guarapiranga et celles du bétail dépecé par les
mutilateurs fantômes sautèrent aux yeux de l'ufologue. Le docteur Cuenca qui avait procédé aux examens à
l'époque accepta de lui céder son dossier. Outre le rapport d'autopsie, ce dossier contenait le rapport de
police qui précisait que la victime semblait ne pas s'être débattue ni avoir été attachée. Bien que retrouvé
entre 48 et 72 h après la mort, le corps ne présentait aucun signe de putréfaction ou d'attaques par des
prédateurs et ne dégageait aucune odeur — détail surprenant sous un climat chaud comme celui du Brésil. Les
joues et les lèvres avait été précisément découpées, la langue sectionnée, les yeux et les oreilles — y
compris la partie interne — enlevés. L'absence de toute trace de sang semblait indiquer qu'on avait opéré à
l'aide d'un instrument cautérisant par la chaleur, du genre laser. Des perforations circulaires faites à l'emporte-pièce, d'un
diamètre variant entre 3 et 4,5 cm, étaient visibles sous les bras, les épaules et les jambes. On pouvait voir
un trou net de 4,5 cm à l'emplacement du nombril et le scrotum avait été découpé suivant une incision elliptique
de 3,5 cm sur 1,5. Les testicules avaient été extraits avec la même précision chirurgicale. En revanche, le
pénis était toujours en place mais curieusement distendu. Quand à l'anus, il avait été excisé suivant une large
ellipse de 8,5 cm sur 17 cm. On relevait aussi l'ablation de quasiment tous les organes internes, sans doute
extraits par les orifices pratiqués. Tout laissait supposer que la victime avait subi une monstrueuse opération
chirurgicale pour laquelle on l'avait préparée, comme le suggère le pubis soigneusement rasé. Les similitudes
avec les mutilations de bétail sont frappantes : même technique précise, mêmes organes découpés extraits avec la
même habileté et même mépris pour le cadavre, jeté après l'opération comme un vulgaire détritus.