Pinvidic naît en . A la fin des années 1970s, Pinvidic est membre de la section de recherche thématique de la SPEPSE.
en , aussi troublé que décontenancé par le phénomène des ovnis, il décide de lancer un projet d'étude de la "situation de contact" :
La raison n'y trouve pas son compte et l'on arrive à se demander si Carl Gustav Jung n'avait pas raison. Bien que son étude révèle un indigence certaine quant à la matière première utilisée, car basée uniquement sur l'interprétation (subjective) d'une dizaine de rêves ovni, on est en droit de se demander si la présentation du phénomène comme un stimulus sur lequel nous "projetons" nos archétypes, n'est pas pleinement justifiée...
Je pense qu'avant de défendre, à priori, la thèse de l'inconscient collectif, il faut pouvoir se donner le moyen de peser le pour et le contre et de réfléchir, ce que Jung n'a pas fait.
C'est le début du projet Magonia, qui va tester les capacités des témoins (mais aussi des ufologues et des citoyens lambdas) à estimer les grandeurs physiques (taille, distance, vitesse, durée, etc.) et rapporter une observation de manière fidèle. Il sollicite et reçoit divers soutiens et conseils, tels celui d'Aimé Michel, qui lui conseille de prendre contact avec Henri Faure, ou de Jean-Marie Bigorne.
A la même époque Pinvidic publie son premier livre, où il tente notamment de vérifier l'histoire de l'Opération Uranus.
en , Pinvidic publie son 1er livre s1Pinvidic, T.: Le nœud gordien, ou la fantastique histoire des Ovnis, France Empire, 1979, encore peu sceptique et préfacé par Michel. A partir de cette année, il devient conseiller pour le GEPAN, pour la partie "documentation". Il collecte notamment des documents aux USA auprès d'instances officielles comme d'enquêteurs privés comme Bruce Sargent Maccabee ou Leon Davidson.
Par la suite il intègre le comité de pilotage de Ovni Investigation, jusqu'à fin en .
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