Chapitre 25

Fort, CharlesFort, Charles: Publisher New York, Copyright 1919, Horace Liveright, Inc. 1ʳᵉ édition, décembre 1919. 2de édition, février 1920. 3ᵉ édition, février 1931. Imprimé aux USA., 1919

Une formation ayant la forme d'un dirigeable." It was reported from Huntington, West Virginia (Scientific American, 115-241) s1Walter H. Eagle. "An unusual aurora." Scientific American, n.s., 115 (September 9, 1916): 241. Correct quotes: "The formation, having the shape...," and, "...rather powerful field glass....". Luminous object that was seen July 19, 1916, at about eleven p.m. Observed through "rather powerful field glasses," it looked to be about two degrees long and half a degree wide. It gradually dimmed, disappeared, reappeared, and then faded out of sight. Another person ― as we say: it would be too inconvenient to hold to our intermediatist recognitions ― another person who observed this phenomenon suggested to the writer of the account that the object was a dirigible, but the writer says that faint stars could be seen behind it. This would seem really to oppose our notion of a dirigible visitor to this earth ― except for the inconclusiveness of all things in a mode of seeming that is not final ― or we suggest that behind some parts of the object, thing, construction, faint stars were seen. We find a slight discussion here. Prof. H. M. Russell thinks that the phenomenon was a detached cloud of aurora borealis. Upon page 369 of this volume of the Scientific American, another correlator suggests that it was a light from a blast furnace ― disregarding that, if there be blast furnaces in or near Huntington, their reflections would be commonplaces there s2Elmer Harrold. "Another explanation." Scientific American, n.s., 115 (October 21, 1916): 369..

We now have several observations upon cylindrical-shaped bodies that have appeared in this earth's atmosphere: cylindrical, but pointed at both ends, or torpedo-shaped. Some of the accounts are not very detailed, but out of the bits of description my own acceptance is that super-geographical routes are traversed by torpedo-shaped super-constructions that have occasionally visited, or that have occasionally been driven into this earth's atmosphere. From data, the acceptance is that upon entering this earth's atmosphere, these vessels have been so racked that had they not sailed away, disintegration would have occurred: that, before leaving this earth, they have, whether in attempted communication or not, or in mere wantonness or not, dropped objects, which did almost immediately violently disintegrate or explode. Upon general principles we think that explosives have not been purposely dropped, but that parts have been racked off, and have fallen, exploding like the things called "ball lightning." May have been objects of stone or metal with inscriptions upon them, for all we know, at present. In all instances, estimates of dimensions are valueless, but ratios of dimensions are more acceptable. A thing said to have been six feet long may have been six hundred feet long: but shape is not so subject to the illusion of distance.

Nature, 40-415 s3A.T. Hare. "Globular lightning." Nature, 40 (August 29, 1889): 415. :

That, Aug. 5, 1889, following a violent storm, an object that looked to be about 15 inches long and 5 inches wide, fell, rather slowly, at East Twickenham, England. It exploded. No substance from it was found.

L'Année Scientifique, 1864-54 s4"Les pierres tombées du ciel. ― Aérolithe du 14 mai 1864." Année Scientifique et Industrielle, 9 (1864): 39-59, at 54. :

That, Oct. 10, 1864, M. Leverrier had sent to the Academy three letters from witnesses of a long luminous body, tapering at both ends, that had been seen in the sky.

Dans Thunder and Lightning, p. 87, Flammarion dit que le lundi 20 août 1880, lors d'un orage assez violent, M. A. Trécul, de l'Académie Française, vit un corps blanc-jaunâtre très brillant, d'apparemment 35 à 40 cm de long, et d'environ 25 cm de larges5 Nicholas Camille Flammarion. Thunder and Lightning. 87. L'observation fut faite le 25 août 1880, pas le 20 août.. En forme de torpille. Ou un corps cylindrique, aux extrêmités légèrement coniques. Il lâcha quelque chose, et disparut dans les nuages. Quoi que ce fut ce fut lâché, cela tomba verticalement, comme un objet lourd, et laissa une traînée lumineuse. La scène de cette événement a pu être loin de l'observateur. Aucun son ne fut entendu. Pour le récit de M. Trécul, voir Comptes Rendus, 103-849 s6A. Trécul. "Rappel de l'observation d'une matière incandescente, en fusion, tombée d'un nuage orageux; à l'occasion de la dernière note de M. St. Meunier." Comptes Rendus, 103 (1886): 848-50. For the original report: A. Trécul. "Cas remarquable de tonnerre en boule; éclairs diffus voisons de la surface du sol." Comptes Rendus, 92 (1881): 775-7..

Monthly Weather Review, 1907-310 s7William H. Alexander. "A possible case of ball lightning." Monthly Weather Review, 35 (July 1907): 310-11. Correct quote: "...the shell or cover having a dark appearance...." :

Que, le 2 juillet 1907, dans la ville de Burlington, dans le Vermont, une terrible explosion avait été entendue dans toute la ville. Une boule de lumière, ou un objet lumineux, avait été vu tomber du ciel ― ou depuis une chose en forme de torpille, ou une construction, dans le ciel. Personne n'avait vu cette chose qui avait explosé tomber d'un corps plus grand qui se trouvait dans le ciel ― but if we accept that at the same time there was a larger body in the sky ―

My own acceptance is that a dirigible in the sky, or a construction that showed every sign of disrupting, had barely time to drop ― whatever it did drop ― and to speed away to safety above.

L'histoire suivante est racontée, dans la Review, par Bishop John S. Michaud:

Je me tenais au coin des rues de l'Eglise et de la Faculté, juste devant la Banque Howard, et faisait face à l'est, engagé dans une conversation avec l'ex-gouverneur Woodbury et M. A. A. Buell, lorsque, sans la moindre indication, ou avertissement, nous fûmes surpris par ce qui sonna comme une explosion particulièrement inhabituelle et terrible, à l'évidence très proche. Levant les yeux, et regardant vers l'est le long de la Rue de la Faculté, j'observais un corps en forme de torpille, à quelques 300 pieds de distance, apparemment stationnaire, et suspendu dans les airs, à environ 50 pieds au-dessus du sommet des bâtiments. En taille il faisait dans les 6 pieds de long par 8 pouces de diamètre, la coque, ou la couverture, ayant une apparence sombre, avec ici et là des langues de feu émanant de points à la surface, ayant l'air de cuivre rougi, unburnished. Bien que stationnaire lorsqu'il fut remarqué pour la 1ʳᵉ fois, cet objet commença bientôt à se déplacer, plutôt lentement, et disparut au-dessus du magasin des Frères Dolan, vers le sud. Alors qu'il se déplaçait, la couverture semblait se rompre par endroits, et à travers ceux-ci émanaient intensément des flammes rouges.

Bishop Michaud tente de le corréler avec des observations météorologiques.

Because of the nearby view this is perhaps the most remarkable of the new correlates, but the correlate now coming est extraordinaire en raison du grand nombre d'observations répertoriées à son sujet. Ma propre acceptation en est que, le 17 novembre 1882, un grand dirigeable à traversé l'Angleterre, mais que de par l'aspect défini-indéfini de toutes choses quasi-réelles, certaines de ses observations peuvent être corrélées avec tout ce que l'on veut.

E. W. Maunder, invité par la rédaction de l'Observatory à rédiger quelques reminiscences pour le n° 500 de leur magazine, en livre une qui pour lui se distingue s8Maunder, E. W.: "A strange celestial visitor." Observatory, 39 (1916): 213-4.. C'est à propos de quelque chose qu'il qualifie d'étrange visiteur céleste. Maunder était à l'Observatoire Royal, à Greenwich, le 17 novembre 1882, de nuit. Il y avait une aurore, sans caractéristiques particulièrement intéressantes. Au milieu de l'aurore, un grand disque circulaire de lumière verdâtre apparut et se déplaça doucement à travers le ciel. Mais la circularité était évidemment un effet de perspective. La chose passa au-dessus de la Lune, et fut, par d'autres observateurs, décrite comme en forme de cigare, comme une torpille, une broche, une navette. L'idée de la perspective n'est pas la mienne : Maunder le dit. Il indique : Si l'incident avait eut lieu 1/3 de siècle plus tard, sans aucun doute tout le monde aurait fait la même comparaison ― cela aurait été "tout comme un Zeppelin". La durée fut d'environ 2 mn. La couleur décrite comme ayant été la même que celle de la lueur boréale au nord. Néanmoins, Maunder dit que cette chose n'avait pas de lien avec le phénomène boréal. Cela avait l'apparence d'un corps bien défini. Le mouvement trop rapide pour un nuage, mais rien n'aurait pu être plus différent de la hâte d'un grand météore. Dans le Philosophical Magazine, 5-15-318, J. Rand Capron, dans un long article, fait allusion tout du long à ce phénomène en tant que rayon boréal, mais fait la liste de nombreuses observations de sa forme de torpille, et 1 observation sur un noyau sombre à l'intérieur ― host of most confusing observations ― estime des altitudes entre 40 et 200 miles ― observations en Hollande et Belgique s9Capron, J. Rand: "The auroral beam of November 17, 1882." Philosophical Magazine, s.5, 15 (1883): 318-39, à 320-324, 328. La forme de torpille n'est pas citée en tant que telle ; et le "noyau sombre" fut observé par William Munro, à Chatham.. On nous dit que selon les observations spectroscopiques de Capron le phénomène n'était rien d'autre qu'un rayon de lumière boréale. Dans l'Observatory, 6-192, se trouve le récit contemporain de Maunder s10Maunder, E. W.: "The auroral beam of 1882, November 17", Observatory, 6 (1883): 192-3. La largeur indiquée était de 23° et 1/3. Citation exacte : "Le professeur Oudemans nota une marque sombre remarquable, de 10 de long, vers son centre...". Il donne des longueur et largeur apparentes approximatives de 27 ° et 3 ° 1/2. Il indique d'autres observations semblant indiquer une structure ― une remarquable marque sombre vers son centre.

Dans Nature, 27-84, Capron indique qu'à cause du clair de Lune il n'a pu faire grand chose avec le spectroscope s11"The magnetic storm and aurora." Nature, 27 (23 novembre 1882): 82-7, at 84..

Couleur blanche, mais aurore rose s12"The magnetic storm and aurora." Nature, 27 (23 novembre 1882): 82-7, à 87, c.v. "A.S.P.".

Des étoiles brillantes vues à travers, mais pas au zénith, où il avait l'air opaque. Il s'agit de la seule affirmation de transparence (Nature, 27-87). Trop lent pour un météore, mais trop rapide pour un nuage (Nature, 27-86). La surface avait une apparence tachetée s13"The magnetic storm and aurora." Nature, 27 (23 novembre 1882): 82-7; à 87, c.v. W. Makeig Jones; at 86, c.v. Stephen H. Saxby; à 87, c.v. John L. Dobson.. De forme très définie, comme une torpille s14"The aurora." Nature, 27 (30 novembre 1882): 99-100, à 100, c.v. Alfred Batson.. Probablement un objet météorique s15Groneman, H. J. H. (docteur): "Remarks on and observations of the meteoric auroral phenomenon of November 17, 1882." Nature, 27 (25 janvier 1883): 296-8, à 296.. Une démonstration technique du docteur Groneman qu'il s'agissait d'un nuage de matière météorique s16Groneman, H. J. H.: "The true orbit of the auroral meteoroid of November 17, 1882." Nature, 28 (31 mai 1883): 105-7.. Voir Nature, 27-315, 338, 365, 388, 412, 434 s17"The aurora of November 17, 1882." Nature, 27 (1er février 1883): 315. Stephen H. Saxby. "Meteor of November 17." Nature, 27 (8 février 1883): 338. H. Dennis Taylor. "Meteor of November 17." Nature, 27 (15 février 1883): 365. H.J.H. Groneman. "The auroral meteoric phenomenon of November 17, 1882", Nature, 27 (22 février 1883): 388. "The auroral meteoric phenomenon of November 17, 1882." Nature, 27 (1er mars 1883): 412-3. H. Dennis Taylor. "The meteoroid of November 17, 1882." Nature, 27 (8 mars 1883): 434..

Sans aucun doute qu'il s'agissait d'un phénomène électrique s18Proctor: "The aurora", Knowledge, 2 (24 novembre 1882): 419-20..

Dans le Times de Londres du lundi 20, le rédacteur indique avoir reçu un grand nombre de lettres traitant de ce phénomène. Il en publie 2 s19"Meteor", Times de Londres, 20 novembre 1882, p.6 c.6.. Un correspondant le décrit comme bien défini et formé comme d'un poisson... extraordinaire et alarmant. L'autre correspondant en parle comme d'une masse lumineuse particulièrement magnifique, formée un peu comme une torpille.