Docteur en sciences chimiques, il s'intéresse aux ovnis à partir de en , accumulant coupures de presse et autres documents.
Il entre à SOBEPS à sa fondation, en et publie de nombreux articles pour la revue de l'association, Inforespace. De en , il est secrétaire général adjoint de l'association.
Scornaux écrit divers articles pour LDLN, dont il est membre du comité de
rédaction à la fin des années 1970s. Il fera également partie d'autres associations, telles la SPEPSE ou la SERPAN jusqu'à sa
dissolution en . Il émettra notamment une "loi" quant aux affaires d'ovnis : La réfutabilité d'un
cas est directement proportionnelle à la publicité qu'il reçoit.
Scornaux s'intéresse avec Christiane Piens à l'archéologie
parallèle (il collabore à la revue d'archéologie parallèle Kadath) ainsi qu'à l'astro-archérologie. En Australie, il signale avec elle que des figures à la tête enveloppée par un casque
,
dépourvues de bouche et dont les mains possèdent 3 ou 7 doigts, paraissent habillées et portent des sandales alors
que les aborigènes n'utilisaient pas de vêtements à l'époque. Les aborigènes vénèrent ces personnages différents
des hommes sous le nom de Wandijna. Egalement Chahimardansay, une gorge située à environ 40 km au sud de la ville
de Fergana (Ouzbékistan) où apparaît un personnage dont la tête est entourée par 2
auréoles superposées reliées entre elles par 5 rayons. Scornaux et Christiane
Piens, dans s2Jacques Scornaux & Christiane Piens : À la recherche des OVNI, Marabout, 1976, p.183 écrivent que l'on a ici une
figure qui dépasse largement ce qu'étaient capables d'imaginer les hommes du néolithique.
Scornaux est président du SCEAU. Il vit à Paris.
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