SOBEPS

Association belge de recherche sur les ovnis fondée le par Lucien Clerebaut et quelques amis (Patrick FerrynFerryn, Patrick, Jean-Luc VertongenVertongen, Jean-Luc notamment). Le siège est alors basé dans un bâtiment au fond du jardin de Clerebaut, à Bruxelles.

La SOBEPS s'est entourée d'un certain nombre de conseillers scientifiques qui collaborent activement au développement et au contrôle de ses activités. Feront notamment partie de la SOBEPS :

Peu après sa création la SOBEPS enquête (publie un dossier photo) sur l'affaire de Barra da Tijuca.

Vague Belge

Sur le parking du GB d'Eupen (Belgique), le dimanche 3 décembre 1989, ce qui      reste de l'équipe des enquêteurs de la SOBEPS au début de la vague. De gauche à droite : MM. M. Vander Elst,      enquêteur ; C. Verhoeven (assistant de laboratoire) ; Boitte, Vertongen, Bougard, Clerebaut. À l'avant plan : Mme C. P., abductée en France au début des années 1970s      s2Boitte, F.
Sur le parking du GB d'Eupen (Belgique), le , ce qui reste de l'équipe des enquêteurs de la SOBEPS au début de la vague. De gauche à droite : MM. M. Vander Elst, enquêteur ; C. Verhoeven (assistant de laboratoire) ; Boitte, VertongenVertongen, Jean-Luc, BougardBougard, Michel, Clerebaut. À l'avant plan : Mme C. P., abductée en France au début des années 1970s s2Boitte, F.

La SOBEPS a réalisé un impressionnant travail d'enquête concernant ce qu'on appelle la "vague belge" d'observations d'ovnis. Ce travail des ufologues belges couvre 4 années d'observations, entre en et fin en , avec une pointe de 143 observations pour la seule journée du le . en , elle fait faire une analyse informatique de la photo de Petit Rechain par le professeur Marc AcheroyAcheroy, Marc, de l'Ecole royale militaire de Bruxelles. Celle-ci conclura à la matérialité de l'objet.

Outre sa revue Inforespace, la SOBEPS a notamment publié :

le , l'assemblée générale des membres effectifs de la SOBEPS décide, à l'unanimité, de dissoudre l'association. Subsiste cependant un comité informel, le COBEPS.