Le message OVNI

Hendry, AllanAllan Hendry: CUFOS,

Jusqu'à présent, nous nous sommes concentrés sur les OVIs comme groupe de contrôle du phénomène ovni et avons effectivement appris beaucoup d'eux. Nous sommes maintenant pr�ts à examiner les 113 OVNIs rapportés durant cette étude contrôl�e. Ayant fait correspondre les rapports d'OVIs avec les caractéristiques de stimuli connus et d'origine humaine, il s'agit des rapports restants — définition par le processus d'�limination. Ceci étant dit, la situation n'est pas complètement aussi vague, comme nous le verrons. Tout d'abord, décomposons les 113 rapports dans les 6 catégories de Hynek.

lumière Nocturne (LN) 79
Disque Diurne (DD) 18
Radar-Visuel (RV) 0
Rencontre Rapprochée du 1er Type (RR1) 9
Rencontre Rapprochée du 2ᵉ Type (RR2) 2
Rencontre Rapprochée du 3ᵉ Type (RR3) 5

Souvenez-vous que les OVNIs ne sont pas les seuls "restes" après que les OVIs aient été enlevés des 1307 rapports. Il y avait également 36 exceptions discutées dans le 1er chapitre. Quelle est la meilleure manière de discuter des 113 rapports d'OVNIs ? Maintenant qu'ils ont été isolés des OVIs et des exceptions, les OVNIs peuvent être divis�s en 4 niveaux différents de qualité, comme suit :

Voyons ce qui s'est r�v�l� être dans les 6 catégories différentes, avec un œil vers ces différents divers de qualité ; �videmment, nous examinerons les "meilleurs ovnis" dans les plus grand détails.

lumières nocturnes

NLs quasi OVIs

15 rapports. La moiti� d'entre eux décrit des formes de lumière ; l'autre moiti� fait référence à des corps sombres mal observés avec des sources de lumières qui leur sont attach�es. Chacun de ces rapports a �t� jugé (par moi-même, avec l'aide occasionnelle d'enquêteurs et consultants techniques) être un "OVNI" ; bien que dans chacun des cas il y ait un fort sens qu'une information un peu plus précise nous soit refus�e par l'obscurité, des conditions de visualisation à distance auraient pu avoir rel�gu� ces rapports dans le statut d'OVI. La plupart de ceux-ci ont été vus pendant une durée de plusieurs minutes et étaient soit en vol stationnaire ou se déplaçaient lentement. Quelques exemples :

NLs problèmatiques

30 rapports. 20 de ces 30 rapports furent d�s

Bonnes LNs

Meilleurs LNs

Disques Diurnes

DD quasi-OVIs

DD problèmatiques

Bons DDs

Meilleurs DDs

Radar-Visuels

Rencontres rapprochées du 1er type

RR1 problèmatiques

Bonnes RR1

Meilleures RR1

Rencontres rapprochées du 2ᵉ type

RR2 problèmatiques

1 rapport.

Bonnes RR2

Rencontres rapprochées du 3ᵉ type

Croyez-vous aux OVNIs ?

Je considère ceci comme étant une question malheureuse. D'abord, parce que la question implique une évaluation des preuves d'ovnis existantes. La "croyance" traite des questions de foi, pas de connaissance. Les preuves de l'existence des oiseaux, avions et autres objets volants ne dépendent pas d'un d�bat th�ologique ; ainsi la structure de cette question implique que les éléments en faveur des ovnis ne sont pas suffisamment solides pour soutenir une acceptation scientifique, que la foi est nécessaire. Mais elle est également malheureuse parce qu'elle jette toute les anomalies a�riennes inexplicables dans une seule et unique catégorie. En d'autres mots, croire aux Disques Diurnes est croire aux cas de traces physiques est également croire aux cas d'humanoïdes, et ainsi de suite.

Pourquoi les OVNIs partent-ils toujours avant que des enquêteurs puissent arriver ? et Pourquoi les OVNIs ne se révèlent-ils pas à des centaines de personnes et n'établissent-ils pas un contact direct ?

Ces questions visent à [demean] les ovnis comme imaginaires. Les sceptiques les emploient pour "prouver" que les ovnis n'existent pas. D'autres variations incluent je ne croirais pas aux ovnis tant que je n'en verrai pas un morceau, Pourquoi les ovnis n'atterrissent-ils pas sur la pelouse de la Maison Blanche ? Je veux qu'un ovni reste fig� Jusqu'à ce qu'il puisse être étudi�. Cependant, toutes ces questions prèsument une chose : pourquoi les ovnis ne se comportent-ils pas comme je désire arbitrairement qu'ils le fassent ? Il n'y a rien qui interdise aux ovnis de poss�der authentiquement une nature localis�e et hautement évasive. Egalement, ne soyez pas trompés lorsque des sceptiques sur les ovnis comparent l'énorme nombre de témoins d'événements m�t�oritiques diurnes au nombre de témoins d'événements ovnis individuels. Ces météores sont à des miles de hauteur, volent horizontalement par-dessus plusieurs �tats, et sont vu de jour. Les ovnis de haute étrangeté privil�gient les zones rurales, d�peupl�es de nuit, ont parfois des vitesses �lev�es et des trajectoires largement verticales. Cela ne prouve pas que ces cas ont eux lieu, bien sûr, mais cela les d�fend d'être écartés à la h�te.

Tous ces témoins ne peuvent pas être fous et les cas pris individuellement pourraient être des preuves faibles mais sont forts collectivement

Ces 2 arguments rhétoriques exploitent la technique du "poids des nombres", qui obscurcit la distinction des rapports individuels. Ces 2 déclarations seraient valides si, et seulement si, la multitude des témoins d�crivait le même stimulus, ou du moins, un nombre réduit de stimuli semblables. Cependant, toute indication semble d'être que les observations prises individuellement et en détail d�peignent une énorme variété d'événements mutuellement indépendants. La définition large du terme "ovni" garanti pratiquement cela. S'il était clair que les témoins d�crivaient le même modèle ou la même classe d'objets, ils ne seraient plus qualifiés de "fous" (ou ivres ou menteurs ou farceurs), puisque chaque nouveau rapport servirait � renforcer les précèdents. Comme cela a été not� avec les 113 rapports considérés valides dans cette étude, les descriptions largement différentes rendent toute observation non pertinente comme soutien de la véracité d'une autre. De plus, l'argumetn du "poids des nombres" ne peut soutenir l'existence d'OVNIs alors que les rapports d'OVIs les dépassent en nombre de 9 pour 1. Vous pouvez voir qu'il serait une erreur tactique pour moi de présenter seulement les 113 OVNIs dans un livre comme celui-ci et d'ignorer les 1158 cas d'OVIs avec la déclaration tous ces témoins ne peuvent se tromper.

En second, cette "prétention collective" se montre dans les 3 conclusions les plus courantes tenues par le public concernant les ovnis :

  1. Les ovnis ne sont que des absurdités. Seules les circonstances entourant les témoins, les observations et les signalements sont ce qui déguise des phénomènes ordinaires en ovnis. L'inaccessibilit� à "toutes" les données nosu emp�che de réaliser leurs véritables natures.
  2. Les ovnis sont des phénomènes terrestres (mais mal compris). La science moderne peut difficilement professer une compréhension de toute chose visible dans le ciel hautement complexe du 20ᵉ siècle. Un exemple populaire est la foudre en boule, qui semble avoir nombre des caractéristiques rapportées en terme d'apparence, comportement, durée et effets spéciaux fréquemment décrits dans les signalements d'ovnis. Cependant la nature de la foudre en boule est à peine mieux comprise que la nature des ovnis eux-mêmes. Les étudier est comme étudier les ovnis (c.-à-d. dépendance aux rapports testimoniels, pas de schéma d'explication réussi à ce jour). Ainsi, dans un sens, nous utiliserions une quantité inconnue pour en expliquer une autre. Egalement, la foudre en boule peut difficilement être utilisée comme explication de couverture pour l'ensemble des rapports, tels que les centaines d'observations d'humanoïdes.
  3. Les ovnis nécessitent un schéma d'explication extraordinaire. Ceux-ci incluent visite extraterrestre, événements paranormaux, réalités parall�les, voyage dans le temps, habitants de la terre creuse, et une flopp�e d'autres. Il s'agit du grand espoir, naturellement, des ufologues comme du grand public. Cette notion que toutes les observations d'humanoïdes, les cas de traces physiques, les retours radar, les voitures call�es et les milliers d'autres rapports ne mène pas à un résultat provoquant semble au premier abord une adaptation [every bit] aussi improbable que, disons, l'hypothèse extraterrestre.

Ces 3 schémas d'explication démontrent le désir d'expliquer le large spectre des rapports d'ovnis par un moyen universel. Cependant, étant donnée la variété des apparences et comportements d'ovnis, il semble bien plus probable qu'une multiplicité de causes et de stimuli soit impliquée, tout simplement comme dans les rapports d'OVIs. Utilisons le système à 6 catégories de Hynek, alors, pour grossi�rement subdiviser les différents rapports d'ovnis et rechercher le message dans les données de chacun.

Que nous disent les lumières Nocturnes ?

Les lumières Nocturnes forment le [staple] des rapports d'OVNIs véritables ; elles ont constitu� 70 % des 113 OVNIs de cet échantillon. Quelle manière de phénomènes ces rapports ont-ils représenté ? L'idée qu'elles représentent des vaisseaux spatiaux extraterrestres n'est justifiée que par la supposition qu'ils sont li�s aux rapports de RR3. Il est vrai que les LNs dont l'apparence sugg�re un corps sombre contenant des sources de lumière sugg�re un appareil physique d'une sorte quelconque ; cependant d'autre LNs qui ne sont que des sources de lumière qui fonçent d'un coup, s'arrêtent soudainement, font des virages serrés à angle droit et des renversements de direction, en défiance apparente à la 2de Loi du Mouvement de Newton, sugg�rent plutôt un phénomène naturel sans masse comme, disons, la foudre en boule. Ceci étant dit, il devrait être rappelé que virtuellement tosu les 1024 rapports de NLs dans les OVIs avaient des objets physiques comme bases. Toutes propriétés magiques qui avaient été imposées sur eux étaient causées par des erreurs de perception, dans des conditions de distance et d'obscurité et de conclusions de "cause à effet" invalides durant les observations. Le message dans les rapports de LNs semble être que la faible quantité de données observationnelles qu'elles permettent, coupl� à leur propension à tomber comme de simples méprises, inspire la plus faible quantité de confiance que cette catégorie des 6 verra la résolution de la nature de ces rapports qui continuent à survivre à l'examen rigoureux par des analystes qualifiés, en dépit de leur grande abondance.

Que nous disent les Disques Diurnes ?

Cigare 5
Disque 3
Source ponctuelle 3
Rond 2
Rectangle 1
Champignon 1
Saturne 1
Chapeau de paille 1
Goutte d'eau 1

Malgré l'abondance relative (16 % de l'ensemble des OVNIs dans cet échantillon) et les conditions diurnes dans lesquelles ils sont vus, les signalements de Disques Diurnes sont en eux-mêmes plus adaptés à un modèle hypoth�tique que les rapports de LNs. Le terme "Disque Diurne" en lui-même, appliqué de manière libre à l'ensemble des observations vues dans des conditions de jour au-delà de 500 pieds, est généralement un [misnomer]. Dans les 18 cas DD bien sélectionnés de cette étude, la décomposition des formes perçues est comme suit.

Il a fallu 9 formes différentes pour n'expliquer que 18 rapports ! Cela signifie-t-il que tous poss�dent des origines et explications différentes ? On pourrait arguer que la construction d'appareils résulte également en une large variété d'apparences, allant d'hélicoptères aux 747s en passant par les Cessnas. Les Disques Diurnes, cependant, sont généralement décrits en termes géométriques simples et la diversité des formes est particulièrement variée. De plus, comme mentionné dans le 1er chapitre, une soucoupe est une soucoupe en ufologie, quel que soit son état physique : solide, gazeux ou lumière pure. Ainsi, comme pour les lumières Nocturnes, il n'est probablement pas une question honnête de demander si toutes les observations de Disques Diurnes sont des objets physiques ou non ; cela pourrait être une situation 50-50. Pas plus que l'all�gation que le fait que les Disques Diurnes peuvent se déplacer à de hautes vitesses sans créer de bang sonique perceptible exclue une explication physique (au moins pour certains d'entre eux). Des expériences sont actuellement en cours impliquant des systèmes de propulsion magnétohydrodynamique qui pourraient permettre à un véhicule de se déplacer à travers l'atmosphère à des vitesses supersoniques sans créer d'ondes de choc.

Par de nombreuses manières, les Disques Diurnes constituent l'essence véritable des rapports d'ovnis. Dans les premières années "plus innocentes", ce fut l'ovni de type Disque Diurne qui donna naissance au terme de "soucoupe volante" et fut le centre principal d'attention. La grande vague de en aux Etats-Unis, par exemple, ...

Que nous disent les Radar-Visuels ?

Les Rencontres Rapprochées

Que nous disents les rapports de RR1 ?

Que nous disent les observatiosn de RR2 ?

Que nous disent les rapports de RR3 ?

Au cours des premières années de l'�re "moderne" des ovnis, même les partisans pensaient adapté de rejeter le sous-ensemble des rapports de RR3. Les termes de "contactés" et "petits hommes verts" étaient des gros mots pour tous ceux qui étaient concernés. Mais au fil des ans, de plus en plus de rapports de ce type commencérent à être publiés à une fréquence croissante dans la littérature ovni. Au moment de l'écriture de ce livre, le nombre total de cas de RR3 récoltés de l'ensemble des sources par les chercheurs en ovnis David Webb et Ted Bloecher dépasse maintenant 1500 rapports. Et s'il y a une chose que les chercheurs sur les ovnis ne peuvent sous-estimer, c'est l'argument du "poids des nombres" en leur faveur. Bloecher a développé 7 sous-types de cas de RR3 bas�s sur la relation entre les ovnis et les ufonautes.

En me conformant à la définition de Hynek d'une Rencontre Rapprochée du 3ᵉ Type, je suis dérangé par l'inclusion des Types D, E et F dans la collecte de rapports de RR3. Si nous souhaitons accepter que des ovnis semblables à des appareils avec des occupants vivants existent dans ce monde, alors nous devons être également prépar�s à accepter le concept que des créatures étranges non associées avec des ovnis puissent exister et soient complètement non li�es au phénomène ovni. Le Type F est particulièrement dérangeant puisqu'il totalise rien de plus que l'entente de voix d�sincarn�es. Pour citer Colin Blakemore dans Mechanisms of the Mind, entendre des voix est un des symptômes les plus caractéristiques de la schizophrenie ; en fait, les cliniciens diagnostiquent souvent la schizophr�nie sur la seule base d'hallucinations auditives, même en l'absence des autres symptomes courants tels qu'illusions de pensée et de perception, les réponses émotionnelles innapropri�es et les perturbations motrices catatoniques (c'est moi qui souligne). Il est estimé que 1 % de la population mondiale est affectée de schizophr�nie. Cela fait 30 millions de personnes pour potentiellement g�n�rer des cas de RR3 de type F.

L'exclusion, alors, des catégories D, E et F réduit le total de 1500 à un compte de RR3 quelque peu plus conservateur.

En cherchant la signification de ces centaines de rapports de RR3 dans le monde, certaines préoccupations asez fondamentales font surface.

1) S�lection de données

Les ufologues semblent penser que l'absence relative d'OVIs mal perçus dans les rapports de RR3 est un point en faveur de la catégorie. En fait, ce n'est pas vrai au sens strict : tant que virtuellement toutes les RR3 ont lieu dans l'obscurité et lorsque tant d'ufonautes sont décrits ressemblant à des hommes normaux, nous serons toujours assur�s de certains OVIs RR3. Ceci étant dit, on peut indiquer avec une certaine assurance que la contribution des OVIs aux rapports de RR3 est considérablement moins significative qu'elle l'est dans les ovnis vus à distance. Ce que cela signifie, cependant, est que les RR3 prèsum�es "réelles" sont accompagn�es de canulars et fantaisies, et que ceux-ci sont plus difficiles à �pingler que de simples méprises. En fait, comment quelqu'un peut-il déterminer quels rapports sont acceptables comme "données" dans la sous-section des RR3 et lesquels sont des canulars, fantaisies et occasionnellement illusions ? La 1ʳᵉ et plus évidente approche est d'étudier le contenu des all�gation de RR3. Comment cela marche-t-il en pratique ? Pensez-vous que vous pourriez décider avec assurance quels cas "garder" et lesquels "écarter" en examinant les détails des déclarations ? Essayez l'exercice suivant. 12 brèves descriptions de rapports de RR3 sont listés ci-dessous, par ordre de crédibilité décroissante de leur contenu. A mesure que vous les lisez, essayez de déterminer quels rapports vous permettriez comme "données acceptables" et lesquels vous écarteriez comme "canulars" ou "fantaisie".

  1. le L'observation de Boianai, un missionnaire anglican en compagnie de 37 autres témoins vit un objet en forme de soucoupe avec des pieds en vol stationnaire sous les nuages, à 45 à en haut dans le ciel de l'ouest au-dessus de Boianai en Papouasie, Nouvelle-Guinée. Le missionnaire déclara que la soucoupe faisait 5 fois le diamêtre de la Lune en taille apparente. 4 figures semblables à des hommes furent vues se déplaçant sur le sommet de la soucoupe. Les témoins sur la plage en-dessous crièrent et firent des signes vers les ufonautes, qui semblèrent répondre par d'autres signes. Les hommes et l'appareil étaient entourés par une aura de lumière ; un projecteur bleu fut était vu éclairer vers le haut depuis l'ovni. La plupart des 38 témoins signèrent une déclaration attestant des détails de l'expérience.
  2. ...
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  8. ..
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  12. Une femme de la région de Los Angeles déclara que des extraterrestres avaient une machine dans son voisinage qui leur permettait d'être invisibles ; ils avaient également placé un "implant" chirurgical dans sa tête qui lui permettait d'entre leurs voix. Cependant, quelqu'un avait volé la machine et maintenant les extraterestres se trouvaient dans une angoisse physique et mentale en raison de leur état prolong� d'invisibilité. La témoin voulait que l'implant chirurgical soit enlevé de sa tête afin de ne plus avoir à entendre leurs souffrances.

Lesquels de ces 12 descriptions d�peignent des événements physiques qui ont vraiment eu lieu ? On se sent bien de garder les 2 premiers cas comme des ovnis "crédibles" et d'écarter les 2 derniers cas comme des fantaisies, hallucinations ou canulars. Mais quid des cas entre ceux-ci ? Les différences entre 2 cas adjacents dans les 12 sont plutôt subtiles. Simplement où trace-t-on la ligne ?

Le spécialiste des RR3 Ted Bloecher, �crivant sur ce problème spécifique, a not� : Les contenus de tels rapports ne sont plus un indice sûr de crédibilité puisque des gens parfaitement crédibles signalent des expériences totalement incroyables... Lorsqu'un enquêteur approche un cas spécifique, il ne doit pas s'autoriser � le mettre de côté de par sa nature bizarre : il doit se préoccuper de questions comme établir la santé mentale et la sincérité du déclarant et trouver une vérification indépendante du rapport si elle existe. Mais les tentatives du rechercher des observateurs indépendants d'un événement de RR3 qui ne soit même pas connu du témoin (ou des témoins) rapporteurs sont rarement couronn�es de succès. Les Rencontres Rapprochées du 3ᵉ Type sont essentiellement des expériences subjectives priv�es. De plus, nous avons déjà exploré la valeur de la santé mentale et sincérité du déclarant dans le chapitre 8 : "Le Message OVI" ([premise] 6). Les gens qui ont fait des méprises étaient parfaitement sinc�res et sains d'esprit et la plupart des témoins non fiables que j'ai rencontrès m'ont parlé avec le même degré de [articulateness], conviction et calme que le reste. Aucun témoin ne sonnait plus sain d'esprit et sincère que la femme de Los Angeles qui me fit le rapport l) ci-dessus. Cependant, de nombreux enquêteurs sur les ovnis, apais�s par l'absence générale d'OVIs d�s à des méprises dans des cas de haute étrangeté, acceptent n'importe quelle et toutes les all�gations de RR3 comme telles. Ils sont ainsi devenus les prisonniers cr�dules de toute histoire de RR3 qu'un témoin décide de raconter. Pourquoi ?

En premier lieu, les ufologues semblent croire (na�vement) que s'ils rencontrent simplement un témoin de RR3 face à face et parlent à d'autres personnes connaissant le témoin, ils seront alors capables de rassembler un portrait de la "fiabilité" du témoin, quoi que ce terme signifie dans une expérience charg�e de stress comme un cas de RR3. Si une personne d�tient un travail r�mun�r�, n'est pas considéré lunatique par ses voisins, a une bonne auto-expression et n'a pas de penchant pour les [strait jackets] et les chapeaux de Napol�on, il est alors prononc� "fiable". Ces critères sont supposé assurer qu'un témoin est d'une manière ou d'une autre moins sujet aux hallucinations, aux fantaisies ou à commettre des canulars. Ce qui nous amène à la 2de fausse supposition faite par les chercheurs sur les ovnis ; c'est-à-dire que les gens ordinaires "normaux" ne font pas des hallucinations pleines de vie ni de fantaisies hallucinatoires, que cela ne touche que les individus ayant des problèmes psychologiques si faciles à discerner qu'un enquêteur de terrain sans formation psychiatrique peut toujours déterminer ceci en parlant aux témoins. Cependant, prenez le témoin dans le cas Jimmy Hoffa ; il sonnait apparemment comme crédible, un journaliste ayant fait un long article [straight] sur son récit dans le journal local. Cependant même si une personne comme celle-ci a déclaré n'avoir jamais vu d'ovnis auparavant, et n'a pas d'histoire présente ou passée de problèmes psychiatriques, cela le disqualifie-t-il d'être sujet à, disons, la 1ʳᵉ hallucination qu'il ait jamais vécue ? Des recherches récentes sur la nature des hallucinations ont déjà commencé à fournir une réponse à cette question. Les résultats, examinés par la suite dans ce chapitre, pourraient vous choquer.

Une note finale ici, tant que nous sommes sur le sujet de la "validité des données". en le major-général John Samford commenta sur la nature des indices d'ovnis, déclarant que les ovnis étaient des choses relativement incroyables vues par des observateurs crédibles. Que cela signifie-t-il lorsque l'intégrité d'un autre témoin crédible de RR3 semble glisser suite à son expérience incroyable ? Le cas f) des 12 RR3s ci-dessus est une brève description du cas d'enlèvement bien connu de Betty et Barney Hill qui eut lieu en . Barney Hill d�c�da en mais Betty Hill pouvait toujours clairement se tenir sur ses 2 pieds et m'impressionna toujours par sa ["feistiness"] de bonne nature et son assurance face aux sceptiques sur les ovnis.

...

2) Cohérence des données

Chaque fois que vous lisez des récits généraux de caractéristiques d'ufonautes dans la littérature sur les ovnis, vous �tes susceptible de tomber sur une tentative universelle de cataloguer les ufonautes par apparence en 1 de 2 groupes principaux :

Ces 2 classes sont généralement augmentées d'un commentaire selon lequel des humanoïdes géants, robots et anthropo�des poilus constituent un 3ᵉ groupe plus réduit. Cependant, lorsque vous comparez les descriptions et les dessins d'ufonautes en détail au cas-par-cas, il ne prend pas longtemps pour découvrir que chaque ufonaute n'a qu'une chose en commun avec les autres : une tendance à être globalement structuré selon notre propre forme d'homo sapiens. Jetez simplement un œil sur les dessins suivants que j'ai reconstruits d'après un certain nombre de croquis bruts publiés dans la littérature sur les ovnis.

croquis d'humanoïdes dans les cas de Moody et Walton se comparent bien, mais comme les ovnis eux-mêmes, une telle comparaisons détail-pour-détail est fortement l'exception et non la règle

Les partisans des ovnis produisent fréquemment des images d'Ubangis, Esquimaux, Nordiques, etc. pour montrer les formes différentes que notre propre espèce adopte sur cette planète-ci. Cependant, les différences qui existent au sein de ces variations ne sont rien en comparaison de la variété [staggering] de descriptions offertes par même un petit nombre de descriptions d'ufonautes. Par exemple, les partisans des ovnis arguent que l'Homo sapiens arrive également dans toutes les tailles, des pygmés aux zoulous. Cependant, l'échelle des distributions de taille rapportée pour les ufonautes démarre en fait aussi bas que plusieurs pouces de haut Jusqu'à 10 pieds de haut.

Le simple fait que les ufologues ne puissent subdiviser les ufonautes qu'en termes de petits, moyens et grands démontre en lui-même l'incapacité à les regrouper sur la base d'intercomparaisons de détails. En fait, si les descriptions d'ufonautes données dans 2 signalements indépendants correspondent exactement, c'est un motif de publication dans la littérature ovni comme s'il s'agissait d'un véritable schéma, comme dans l'exemple ci-dessous.

Un chercheur sur les ovnis listant des caractéristiques en commun dans 51 cas d'enlèvements recherchés dans la littérature en en trouva 8 cas dans lesquels les ufonautes ont des yeux inclin�s et �tir�s sur le côté ; mais les propriétaires de ces yeux diffèrent simplement dans pratiquement tous les autres aspects physiques ! Ce type de diversité ne peut que créer un ravage pour toute théorie cherchant à englober tous les rapports de RR3.

3) Corroboration des données

À de nombreux égards les cas de RR3 ont ...

L'hypothèse Extra-Terrestre

Le but universel des chercheurs sur les ovnis a toujours été de rechercher la cause excitante des signalements d'ovnis, en particulier les Rencontres Rapprochées exotiques. Les tout premiers ovnis d'après-guerre étaient décrits se comportant de manières qui défiaient la physique terrestre ; puis les cas de RR3 gagnèrent un équilibre dans les années 1950s, et continuèrent à gagner une proéminence, ce qui amena à la conclusion naturelle que les ovnis étaient des vaisseaux venus d'autres mondes. Les cas de RR3, complets avec occupants, ...

Mais les problèmes commençent à ...

Cela signifie-t-il que chaque visite individuelle d'ovni est venue d'une planète différente à chaque fois ? Cependant, le pire problème de tous fut lorsque nos visiteurs extraterrestres commençèrent à se comporter de manières complètement absurdes. Les cas de Jimmy Hoffa, de crêpe extraterrestre, et de robots traités précèdemment en sont tous des exemples. D'autres exemples dans la littérature ovni incluent :

Clairement, une HET au premier degré n'était plus tenable comme explication à tous les cas. Les chercheurs sur les ovnis s'accordaient tous sur le fait que ces messages et actions étranges de la part des ufonautes ne pouvaient être pris au pied de la lettre, bien qu'ils ne souhaitaient pas abandonner les cas de RR3 en eux-mêmes. Des slogans rhétoriques tels que est-ce que tous les témoins peuvent se tromper ? et la forte proximité des RR3 minimise la possibilité de méprise furent toute l'incitation nécessaire (écartant commodément des perspectives telle que l'illusion, l'hallucination et le canular). Il devint donc nécessaire de développer une manière créative de "sauver" le phénomène extraterrestre. Un large consensus sur la manière d'accomplir cela apparut : établir simplement que les ufonautes ne jouent pas franc-jeu avec nous. Ils nous trompent délibérément afin de nous manipuler ou nous contrôler d'une manière inconnue. Des spéculations sur la manière dont ceci est effectué varient d'ufologue en ufologue :

  1. Certains verraient les extraterrestres physiquement présents sur le sol, "jouant" leur comportement pour exercer un effet délibéré sur les témoins. Cela expliquerait pourquoi les ovnis et leurs équipages courent au loin de la scène lorsqu'ils sont découverts comme s'ils ne voulaient pas être vu... après qu'ils se soient installé juste au milieu d'une route où ils devaient inévitablement être remarqués ! Cela sert également à expliquer pourquoi les ufonautes continuent à engager des opérations d'échantillons de sol même lorsque l'environnement est urbain, comme dans le cas de RR3 de North Bergen (New Jersey) de en , situé à tracers la Rivière Hudson depuis New York City.
  2. En attendant dD'autres ufologues établissent que les messages et activités signalés par les percevants de cas de RR3 n'ont pas du tout eu lieu physiquement ; à la place, les ET ont simplement projeté une hallucination induite de l'expérience depuis un point avantageux. Après tout, on pourrait dire (souvent), s'ils ont la technologie nécessaire pour venir ici depuis des années-lumières, ils peuvent toujours... etc., etc. Visualiser des images projetées au lieu d'ovnis physiques a également un avantage supplémentaire. Des formes sans masse peuvent maintenant montrer de manière compréhensible les types de virages à haute vitesse et accélérations silencieuses si classiquement notées sans être contraints par les lois de la physique.

Le contenu de l'histoire d'un cas est-il trop incroyable ? Une voix venant d'un ovni disant quelque d'absurde comme Je suis Jimmy Hoffa peut être comparée à un maêtre Zen posant la question tout aussi absurde : Quel est le son d'une main applaudissant ? Le but de la dernière, au moins, est de délibérément casser les manières ordinaires de penser afin d'atteindre un niveau supérieur de compréhension. Il fait alors l'hypothèse que les ufonautes extraterrestres manipulent l'humanité pour faire de même. Une description est-elle incohérente de façon interne ? Dans un cas de RR3, un témoin déclare avoir été instruit que l'unité de propulsion utilisait des crystaux de lithium ; mais ceci est à l'évidence trop adapté du vaisseau Enterprise de "Star Trek" propulsé par des crystaux de dilithium. Cependant au lieu d'écarter l'histoire comme étant une fantaisie (consciente ou autre), les partisans des ovnis acceptent régulièrement l'idée que les ufonautes programment délibérément des éléments faux, erronés ou absurdes dans les esprits de leurs témoins terrestres comme une sorte de mécanisme d'auto-destruction. De cette manière, les témoins de RR3 ne seront pas pris au sérieux par le reste du monde lorsqu'ils relatent ces détails avec mes "véritables faits". Ce type d'adaptation BD est scientifiquement affligeante parce qu'aucune distinction ne peut maintenant être faite entre un événement réel, physique et un ovni généré par de la fantaisie. Cette sorte de conjecture trivialise la recherche de solution scientifique ; cependant un nombre affligeant d'ufologues ont affirmé leur foi en ce stratagème de la tromperie dans les publications sur les ovnis.

Incohérence mutuelle ? Avec le même type de logique que celle vue dans le dernier exemple, des témoins multiples fournissant des récits différents d'un événement ovni unique sont permis, les esprits des témoins ayant été affectés d'une manière délibérément trompeuse. Des exemples de cas comme ceux-ci pourraient être trouvés dans le chapitre 14 : "Outils : témoins multiples".

Un témoin semble-t-il indésirable ? On m'a en fait dit qu'un déclarant de RR3 dont l'auto-présentation, l'occupation ou le passé le rendent non attirant en tant que témoins "fiable" ou "crédible" avait été délibérément choisi par les ufonautes afin qu'il ne soit pas cru par les autres.

Pourquoi les intelligences ovnis se comportent-elles d'une manière si compliquée envers nous, demande-t-on ? Les partisans de cette idée tirent une analogie de l'étude des primates par Jane Goodall. Au lieu de sauter dans leur brume d'un coup, elle a lentement fait son chemin dans le groupe de primates sur une période de plusieurs mois, apparaissant de manière élusive Jusqu'à ce que les singes puisse toucher sa prèsence étrangère. Ainsi, certains ufologues prèsument que les ovnis n'atterrissent pas sur le jardin de la Maison Blanche pour les mêmes raisons. Les rencontres furtives avec les ufonautes, couplées aux choses troublantes qu'ils disent et font, sont un programme d'entraînement pour nous les "primates" Homo sapiens.

Inutile de dire que les partisans de l'HET considèrent que leur poursuite ufologique est le problème le plus important que le 20ᵉ siècle devrait résoudre. L'implication d'une telle résolution serait énorme pour la société, l'économie, la science, la défense, la religion et la politique. Il est donc ironique que ce soit ce point qui mène de nombreux ufologues vers des théories alternatives aux RR3 et aux ovnis en général. Si les ovnis sont cosmiques les Janes Goodall ou maêtres Zen manipulant notre conscience collective préparatoirement à une rencontre face à face, quelle est la valeur de manifestations jouées évasives lorsqu'elles sont présentées sur une période de 30 ans à seulement un millier d'individus distincts dans des environnements ruraux sur une population mondiale de 3 milliards ? Il est vrai que les événements de RR3 ont un effet profond sur les individus qui les ont effectivement vécues ; ils incluent des changements dans leur personalité et leur vision de la vie, la mort, du rôle de l'homme dans l'univers, et même des déclarations que des pouvoirs spéciaux leur ont été impartis. Cependant, ces influences restent personnelles à ces seuls déclarants, les conséquences du récit de leurs aventures leur ayant principalement apporté un harcèlement de la part d'un monde considérant que leur "miracle" manque de preuves suffisantes pour être cru. Les ufologues verrouillés dans la théorie que les ovnis sont du matériel venu de l'espace ne peuvent toucher l'échec des ovnis à se manifester d'une manière explicite et socialement importante. Cette frustration est reflêtée dans des films allant de Le jour où la Terre s'arrêta de en à Rencontres Rapprochées du 3ᵉ Type de en où les ovnis se comportent de la manière dont le veulent les ufologues ; cela est également montré dans les "prédictions" de rassemblent sans fin que cette année prouvera être celle où le contact avec les ovnis sera établi sans conteste. Tout ceci suppose, bien sûr, que les ovnis sont physiquement capables d'être contactés. Cependant, les années passent et la nature du phénomène reste élusive.

Théories alternatives

L'HET est une déclaration forte, et les déclarations fortes requièrent des preuves fortes, des preuves d'un type qui ne s'est pas manifesté en 30 ans. La charge de la preuve est sur les épaules des déclarants de l'HET et la contrainte commence à se montrer. De plus en plus d'ufologues cherchent des explications alternatives (mais tout aussi extraordinaires) à l'HET aux ovnis de haute-étrangeté. A la conférence de en tenue à Chicago, un questionnaire donné aux 53 chercheurs demandait à quoi les chercheurs pensaient que le phénomène ovni était attribuable. Les résultats (incluant des réponses multiples) furent comme suit :

Simplement qu'est-ce qu'inclut "Autre" ? ...

D'autres théories exotiques ?

Une théorie ovni alternative non révolutionnaire

lumières nocturnes

Disques diurnes

Radar-visuels

Rencontres rapprochées du 1er type

Rencontres rapprochées du 2ᵉ type

Rencontres rapprochées du 3ᵉ type

Cette catégorie pourrait se révèler un pourcentage relativement faible des rapports bien que, lorsqu'il s'agit de théories sur les ovnis, il s'agisse d'un géant ! Les RR3 ayant les plus grands traits physiques de tous, se manifestant comme des appareils définis avec des occupants, les ufologues, qui ont adopté cela comme tel, ont par conséquent considéré que les RR3 constituent simplement notre regard "le plus rapproché" du phénomène ovni "total". Nous avons déjà exploré l'évolution de ce train de pensée, et les problèmes qui ont émergé. Les ufologues savent par expérience que les explications alternatives suivantes ont eu lieu et pourrait bien toujours avoir lieu :

  1. Canulars délibérés de récits de RR3 (bien que probablement pas aussi r�pandus que les sceptiques sur les ovnis voudraient nous le faire croire)
  2. Illusions d'OVIs avec "figures" à l'intérieur — probablement le plus significatif dans les RR3 de "type A" (souvenez-vous que la plupart des RR3 sont vues de nuit)
  3. OVIs avec hommes ou animaux "hors contexte" — probablement significatifs dans les RR3 de "type C".

Les types D, E et F de Bloecher ne sont pas considérés ici comme des considérations adéquates pour des RR3.

Cependant, malgré les problèmes, il y a un point sur lequel les ufologues s'accordent : que les RR3 ne sont pas :

  1. Des récits fantaisistes en l'absence de tout stimuli, en particulier dans les types B et C.

Les raisons citées incluent le grand nombre de gens déclarant avoir vu des ovnis, la durée de 30 ans de l'�re moderne des ovnis sans fin en vue, la nature globale du phénomène, la "fiabilité" des témoins qui les signalent, et ses similitudes existant entre les rapports. Comment peut-il y avoir des fruits de l'imagination sur un millier de déclarations de RR3 ? et Comment 160 déclarations d'enlèvements peuvent-elles être de la fantaisie ? sont des défenses courantes de la "réalité" de ces événements.

Cependant un regard plus proche sur la question révèle un grand nombre de symptômes pointant vers un modèle de fantaisie pour les RR3 :

Quels sont les arguments selon lesquelles les RR3 ne sont pas générées par une fantaisie conventionnelle ?

  1. Trop de témoins. Divisez les milliers de rapports étranges de RR3 dans la littérature par les 30 années passées, et comparez ce chiffre annuel mondial avec les 4 milliards de personnes disponible sur le monde pour les g�n�rer. Vous pouvez même multiplier ce nombre par un facteur de 100, si vous voulez, pour compter les rapports de RR3 non signalés par les témoins. Puis demandez-vous sérieusement si cela dépasse les limites de rapports générés par de la fantaisie dans un monde où 1 % de la population est sujette à des hallucinations schizophr�niques. Les chercheurs sur les ovnis traitent les êtres humains comme s'ils étaient de froids instruments au lieu de balances complexes de logique et d'émotions, science vs. superstition, religion et mythologie.
  2. Trop d'années pour être une lubie. 30 ans ? L'astronome Carl Sagan nous rappelle que l'astrologie a survécu 5000 ans, pas parce qu'elle était fondée sur les faits mais parce qu'elle r�sonne avec notre besoin de croire en elle.
  3. Des RR3 sont signalées dans tous les pays. Il est vrai que des ovnis sont signalés dans le monde entier, même des expériences de RR3, mais ne soyez pas trompés quant au fait que les rapports seraient les mêmes de nation en nation (comme certains ufologues le contestent en défense d'un phénomène "non fantaisiste"). Les pays d'Amérique du Sud produisent des rencontres RR3 particulièrement vivantes ; les entités, souvent plus animales ou "hideuses" que celles rapportées en Amérique du Nord, sont rapportées comme se comportant de manière plus aggressive envers les humains sud-américains. Les conversations prétendues sont également de nature moins ambiguës, avec des ufonautes indiquant clairement leurs différentes origines planétaires, ou missions pour sauver l'humanité. Les chercheurs britanniques sur les ovnis ont une fois parlé désespérément du manque de RR3 parmi leurs rapports d'ovnis ; puis ceux-ci ont soudainement désespéré en abondance au début des années 1970s. Il y a des cas de RR3 en Australie, mais là, les chercheurs notent le manque de contact, manque de temps, et cas d'enlèvement parmi eux.
  4. Les RR3 laissent des traces physiques. Dans le catalogue de traces physiques de Ted Phillips, 117 des 561 cas avaient des ufonautes présents. Cependant si les ufonautes étaient de la fantaisie, des hallucinations ou des illusions exagérées, les traces physiques, cependant ambiguës, pourraient avoir été faussement impliquées d'une quelconque des manières postulées précèdemment.
  5. Enlèvements RR3 avec témoins conscients. Tous les enlèvements n'ont pas nécessité l'utilisation controversée de l'hypnose pour obtenir les récits. Cependant, les enlèvements à témoin unique sont la règle ici, et alors que les problèmes de l'hypnose sont exclus, les prospects de l'hallucination d'illusion, de l'hallucination et même de canulars ne le sont pas.
  6. RR3 à témoins multiples. 75 % des OVIs ont bénéficié de témoins multiples, mais n'ont pas [dampen] la méprise excitée. Le même manque d'objectivité dans un état excité pour les hommes ou animaux vus hors contexte pourraient expliquer les rares RR3 à témoins multiples. Par exemple, une explication (non soutenue) pour la RR3 exceptionnelle de Kelly-HopkinsvilleLa rencontre de Kelly-Hopkinsville à 11 témoins (citée plus tôt) fut qu'un singe se serait échappé d'un cirque voisin dans l'obscurité. La scène pour un climat émotionnel aurait alors été prète lorsque l'un des témoins annonça avoir vu "ovni" atterrir non loin de là.

La question doit maintenant être posée : pourquoi tant de gens jugés être fiables par tous autres critères verraient adapté de fantaisier ces expériences RR3 semblant physiques comme leur ayant réellement arrivé ? Pour répondre à cela, nous devons considérer le contexte culturel actuel dans lequel le phénomène ovni se trouve. Nous vivons dans une ère spatiale, une période distinguée par la dominance de la technologie et une désaccentuation d'une relation précèdente à la nature. Nos systèmes de valeur reflètent ceci d'une myriade de manières : nous adorons la valeur de la réalité "physique" des faits et chiffres solides tout en dénigrant l'intérêt d'une réalité "mythique" ou mythologique concurrente. Les arts formateurs sotn souvent jugés non réussis sur la base de leur personnification des arts réalistes, comme la photographie. Les rêves, visions, légendes et autres manifestations créatives de l'imagination sont écartés comme dénués d'intérêt. Lorsque les partisans comme les sceptiques des ovnis considèrent ouvertement les légendes féériques ressemblant aux RR3, leur importance sociologique en tant que folklore est généralement contournée en faveur d'arguments de réalité sur-simplifiés. Les sceptiques ne sont préoccupés que par le fait de savoir si les fééries existent physiquement ; si ce n'est pas le cas, elles sont disqualifiés comme absurdes. même les partisans des ovnis rendent les fééries quasi-physiques à travers des moyens paranormaux spéciaux. En fait, nous avons atteint le point où nous prétendons que la mythologie est d'une manière ou d'une autre un ensemble d�éaché et non-pertinent d'allégories au lieu de la structure sociétale vitale, vivante qu'elle est toujours véritablement. Le psychologue remarquable Carl Jung a défini le rôle de la mythologie dans la société de cette manière s1[The Psychology of the Child Archetype, 1940] ;

La mentalité primitive n'invente pas les mythes, elle les vit. Les mythes sont des révélations originales de la psyche pr�consciente, des déclarations involontaires sur les événements psychiques inconscients, et tout sauf des allégories de processus physiques. De telles allégories seraient un amusement vide pour un intellect scientifique. Les mythes, au contraire, ont une signification vitale. Ils ne représentent pas simplement, mais sont la vie psychique de la tribu primitive, qui tombe immédiatement en pièces et décadence lorsqu'elle perd son h�ritage mythologique, comme un homme qui a perdu son âme. La mythologie d'une tribu est sa religion vivante, dont la perte est toujours et partout, même parmi les civilisés [c'est moi qui souligne], une catastrophe morale. Mais la religion est un lien vital avec les processus psychiques indépendants et au-delà de la conscience, dans le [hinterland] sombre de la psyche.

En d'autres mots, indépendamment de notre évolution intellectuelle sur une base consciente, nous poss�dons toujours une demande subconsciente pour la mythologie et une commande fondamentale pour la fabrication de symboles. Ceci est toujours ouvertement évident dans la plupart des systèmes africains encore aujourd'hui. Aucune distinction précise n'est trac�e entre anim� et inanim�, naturel et supernaturel, matériel et mental, conscient et subconscient, rêves et jour, passé, présent et futur, les vivants et les morts. Les esprits ancestraux et les d�it�s sont toujours admis être des acteurs-cl�s dans les vies et l'ordre social africains. En fait, les maladies et les malchances personnelles sont toujours considérées comme étant influenc�es par la magie d'un ennemi ou l'intervention divine ; ainsi, la foi dans la puissance des symboles pour accomplir les effets désirés, inculqu�e d�s les premières années, est toujours forte.

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Un tel model des Rencontres Rapprochées exotiques peut prendre dans son sillage beaucoup d'effets de bord qui ont laiss� d�rout�s les partisans des schémas d'ovnis physiques "t�les et boulons".

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Des auteurs comme Rogerson, Clark et Coleman, Vall�e et d'autres ont fait de nombreuses observations jungiennes incontestables de cette sorte dans la littérature sur les ovnis, qui mes propres recherches semblent vérifier. Mes 2 critiques sont que tous ces ufologues ont cr�� une collection des formes les plus exotiques de Rencontres Rapprochées (e.g. le INTCAT [International Catalogue] de Rogerson de RRs, le catalogue de Vall�e de 923 RRs) avec une emphase sur les RR3 et ont alors extrapol� les conclusions pour ce sous-ensemble au plus grand [wealth] des sources de lumière et formes distantes. Ceci suppose que toutes les observations sous de terme trop large de "OVNI" sont inter-reli�es. Un des articles de Rogerson, par exemple, place toutes les observations d'ovnis dans un contexte mythique ; cela signifie qu'il a d� d'une manière ou d'une autre négliger les traits physiques de cas photographiques ou de traces physiques. Cette controverse de 30 ans est traitée de 3 paragraphes, et il ne mentionne même pas les cas Radar-Visuels. De plus, le concept de d�mon technologique ne peut être confortablement invoqué pour résoudre les cas d'interférence EM tels que celui de LevellandLevelland, au Texas (illustr� dans le 1er chapitre). Il n'y a pas pire que le modèle du canular délibéré appliqué de manière si libre aux cas de RR3 par nombre de sceptiques sur les ovnis. Oui, les idées de Rogerson promettent de grandes perspectives lorsqu'elles sont restreintes aux RR3 et de nombreux autres ovnis de haute étrangeté, qui me semblent par bien des manières être une tentative de fantaisie pour amener les LNs et DDs plus distants et obscurs à une forme souhaitée de résolution ou focalisation. De plus, certains de ces chercheurs voient toujours adaptée le fait d'introduire des mécanismes "paranormaux" spéciaux, en dépit de leurs perspectives relatives à la condition humaine. Je suis confiant quant au fait que le temps révèlera que ceci n'est rien d'autre qu'une sous-estimation des limites du propre esprit conventionnel de l'homme.

Ai-je "prouv�" que ces concepts alternatifs sont en fait ce qui est à l'œuvre dans les 6 catégories d'ovnis ? Non. La théorie extraterrestre (ou tout autre schéma d'explication extraordinaire pour ce sujet) est toujours possible. Mais mes propres perspectives d'explications non sensationnelles aux observations le font tout aussi bien, sinon mieux. Je souhaite, au moins, retenir la le�on des rapports d'OVIs qu'un puissant désir émotionnel existe universellement de "voir" des ovnis à ce moment particulier de l'histoire et que les détails d'OVIs par les témoins, pris comme tels, n'ont pas été inexacts. Ainsi, mes concepts constituent au moins un théorie viable aussi valide aux signalements d'ovnis. Les sceptiques se sentiront alors confiants pour appliquer le rasoir d'Occam pour d�fendre cette alternative non extraordinaire comme étant le "choix correct", mais je pr�f�rerai voir la controverse ovni r�solue d'une manière plus définitive. Cela demandera des éléments plus solides que le type de témoignage humain avec lequel nous avons traité pendant 3 d�cennies si nous devons transcender mon exercice en explication conventionnelle aux rapports d'ovnis provoquants, et les rendre indistinguables des rêves. Pour l'instant, l'énorme variété de rapports d'ovnis semble rendre difficile de les réduire tous à une quelconque théorie unique, et les faux mouvements et accélérations imposés sur la proportion �crasante des OVIs me rendent r�ticent quant à avoir à changer les lois actuelles de la physique... but je suis toujours désespérément intrigu�. Notre seul espoir r�side dans le fait de transcender la dépendance actuelle aux observateurs humains en tant qu'instruments et rechercher de nouvelles m�thodes quantitatives soutenant les rapports d'observations.

Le reste de ce manuel, alors, est une évaluation de l'état de l'art actuel des outils, techniques, et systèmes de surveillance ayant été employ�s pour soutenir les éléments de témoignages d'ovnis. S'ils ne réussissent pas à être efficaces pour fournir une perspective plus claire, les ovnis devront dire adieu aux sciences physiques, des sciences où les modèles hypoth�tiques sont capables d'être test�s, prouv�s ou invalid�s.

Sections des outils

Aucun témoignage n'est suffisant pour établir un miracle, à moins que le témoignage soit d'un type tel que sa fausseté soit plus miraculeuse que le fait qu'il entreprend d'établir... s2[David Hume]

L'astronome Carl Sagan a d'abord appliqué cette citation aux ovnis dans son livre Other Worlds. Les ovnis constituent effectivement un miracle de la vie moderne, et l'élément mis en avant pour prouver le miracle est principalement de nature testimoniale, et sujet à des erreurs apparemment prohibitives. Cependant, quelles sont les chances que la nature testimoniale des rapports d'ovnis puissent être renforcée de manière adéquate à l'aide de photographies, radar ou tests de polygraphe ?

Le témoignage peut-il être "d'un type tel" qu'il établirait le miracle ? Les sections suivantes examineront le rôle de divers "outils" ayant été appliqués au problème ovni et évalueront l'efficacité de chaque système à rendre les indices des ovnis plus scientifiquement palpables.