Richard Charles d'Amato

D'Amato
Richard C. d'Amato

"Dick" D'Amato (à ne pas confondre avec l'autre sénateur Alfonse d'Amato) naît à Hackensack (New Jersey) le . Il obtient un B. A. à l'Université de Cornell . Il étudie à la L'Ecole Fletcher de Droit et Diplomatie, aux universités de Harvard et de Tufts, où il obtient un M.A. et un M.A.L.D. en droit et diplomatie . Capitaine de réserve de la Marine US (il sert au Vietnam et lors de l'opération Bouclier du Désert). A partir de il est professeur assistant de gouvernement à l'Académie Navale, jusque où il sert comme officier sur le U.S.S. King, pendant 2 ans. Il est ensuite directeur juridique pour le représentant James M. Jeffords de Vermont, de à , où il devient assistant juridique et chef de l'équipe du sénateur Abraham A. Ribicoff du Connecticut, jusque .

Byrd

A partir de il prend la tête de l'équipe et est conseiller pour le chef de file de la majorité sénatoriale : Robert C. Byrd, de la Virginie Occidentale, jusque . A partir de , il intègre la Direction du Parti Démocrate, dans le U.S. Senate Appropriations Committee, jusque . Il est également professeur adjoint de Science Politique à l'Académie Navale.

Entrevue privée

En , D'Amato invite Jesse Marcel Junior (fils du major du même nommajor du même nom envoyé sur le site du crash de Roswell), à Washington pour une entrevue privée et confidentielle, en compagnie de Stanton T. FriedmanStanton T. Friedman et d'une autre personne. Il se présente comme spécialiste de la Sécurité Nationale et Internationale pour le sénateur Robert C. Byrd, et agent de liaison du NSC. Il demande à Marcel une description des débris que lui a montré son père, et ce que cet événement a changé dans sa vie. À un moment de l'entrevue, d'Amato se dirige vers le livre "Majestic" de Whitley Streiber posé sur la table, s'en saisit et le montre à Marcel en disant: Ceci n'est pas de la fiction.

Durant cet entretien, D'Amato reconnaît qu'un ovni s'est abîmé à Roswell. Questionné sur l'endroit où seraient déposés l'épave et les corps d'extraterrestres, D'Amato répond : Nous ne savons pas. Il ajoute que, dans un avenir proche, les informations relatives aux ovnis devraient être publiées, mais qu'une branche cachée du gouvernement, particulièrement incroyablement puissante, garde cela secret. Ces ‘gens' dépensent d'énormes sommes d'argent de manière illégale . Selon D'Amato, le NSC essaie de les identifier et de connaître les raisons du secret. Plus tard, Timothy GoodTimothy Good rencontrera D'Amato qui lui confirmera ces propos

Visite en Belgique

Début , de passage à Bruxelles en Europe, d'Amato téléphone à la SOBEPS pour proposer une rencontre sur le sujet de la vague belge. Il tombe sur Lucien Clerebaut, qui ne parlant pas anglais le redirige vers Patrick FerrynPatrick Ferryn. Ce dernier, d'abord méfiant, apprend que d'Amato a déjà prévu de rencontrer le général Wilfried DeBrouwerWilfried DeBrouwer le 10. Ferryn lui propose de le rappeler le lendemain le temps faire quelques vérifications, puis lui propose de l'amener aux locaux de la SOBEPS le 9. Là avec Auguste Meessen ils discutent des observations et de l'intervention des F-16 de l'armée de ce pays. Meessen lui décrit les observations fondamentales, précise avoir mené des enquêtes personnelles, puis déclare à D'Amato être convaincu que les USA ont plus que probablement conclut à la thèse préférée de Meessen. D'Amato écoute impassiblement.

Le lendemain, D'Amato rencontre DeBrouwer, et demande une copie de l'enregistrement radar des F-16. DeBrouwer accepte à la condition expresse d'une "demande officielle", qui n'arrivera jamais.

En , Thierry WatheletThierry Wathelet interrogera Meessen sur cette rencontre, et écrira sur D'Amato .