La National Aeronautics and Space Administration est l'agence spatiale américaine.
C'est le mercredi 1 octobre 1958, suite à la crise de Sputnik, que le National Aeronautic and Space Act entérine cette absorption :
Le tout sous la direction adjointe de Hugh L. Dryden (ancien directeur du NACA).
Le docteur T. Keith Glennan est le premier à prendre la tête de l'agence le samedi 19 août.
En 1960 la NASA commande le rapport Brookings : une étude sur les implications des activités spatiales sur la société, notamment l'eventualité de la découverte d'une vie extraterrestre, menée par une comité de l'Institut Brookings, dont fait partie Llyod Viel Berkner. Il est intitulé : Etudes Proposées sur les Implications des Activités Spatiales Pacifiques sur les Affaires Humaines.
Glennan quitte ses fonctions le vendredi 20.
En tant que directeur adjoint, Hugh L. Dryden prend l'interim de l'agence du le lendemain, jusqu'en mardi 14 février.
James Edwin Webb reprend la tête de l'agence le mardi 14 février 1961, jusqu'en lundi 7 octobre 1968.
Le jeudi 2 septembre 1965, le FBI a vent par source confidentielle
que des
agents de la NASA divulguent clandestinement, hors de leur agence, des "informations maison" relatives aux ovnis.
Ces informations seraient destinées à 2 individus installés à Pittsburgh (Ohio). Le
dossier du FBI, précise encore : D'après notre source, ces informations
ex-filtrant de la NASA sont classées "Top Secret". On y apprend par exemple que XXXXX a visionné un film tourné lors de la séparation d'un missile, film sur lequel
apparaît un ovni. Ce même XXXXX recommanda aux pilotes du vol Gemini 4 de rester sur le qui-vive car leur vaisseau spatial avait été spécialement
équipé de dispositifs destinés à déceler la présence d'ovnis...
Le docteur Thomas O. Paine dirige l'agence du vendredi 21 mars 1969 à mardi 15 septembre 1970.
George Low dirige l'agence du le lendemain à lundi 26 avril 1971.
le docteur James C. Fletcher dirige l'agence du le lendemain à dimanche 1 mai 1977
Vers 1973 que Maurice Chatelain, ancien technicien responsables des
communications et radar, comme à travailler sur un livre prétendant notamment que les communications du projet Apollo auraient été censurées. Il sortira en 1975, avec son départ de la
NASA.
Le jeudi 21 juillet 1977, Frank Press, conseiller scientifique du président Jimmy Carter, adresse une lettre à Robert Frosch, administrateur de la NASA, pour lui
recommander d'organiser un petit comité d'enquête (...) afin de voir si l'on a trouvé de nouveaux éléments
significatifs
depuis le rapport Condon. Le jeudi 21 décembre, Frosch répond qu'il refuse de monter
un effort de recherche ou de réunir un symposium, considérant l'absence de preuves physiques pouvant être
analysées en laboratoire.
Cependant, ajoute-il, si, dans le futur, quelque élément de preuve matérielle
est porté à notre attention, il serait entièrement justifié que le laboratoire de la NASA étudie tout
échantillon organique ou inorganique inexpliqué et publie les résultats ; nous sommes prêts à examiner bona
fide une preuve physique provenant de sources crédibles. Nous laissons la porte grande ouverte à une
telle possibilité
1Sturrock 2001.
James M. Beggs, du vendredi 10 juillet 1981 à mercredi 4 décembre 1985
Le docteur James C. Fletcher, du lundi 12 mai 1986 à samedi 8 avril 1989.
Richard H. Truly, du dimanche 14 mai à mardi 31 mars 1992
Le dimanche 15 septembre 1991, les caméras de la navette spatiale Discovery (vol STS-48) filment, au-dessus de l'Australie occidentale, les mouvements de mystérieux objets brillants. Le plus spectaculaire de ces objets apparaît vers le haut de l'image, près de l'horizon terrestre. L'image agrandie montre l'objet qui se déplace vers la gauche avant que l'écran ne soit illuminé par un éclat de lumière. Puis l'objet change de direction en accélérant. Quelques secondes plus tard, un autre objet passe devant la caméra et se dirige vers l'espace. Le professeur Jack Kasher, de l'Université du Nebraska et collaborateur de la NASA, a étudié ces séquences et en a tiré un rapport de 105 pages. Conclusions :
Selon la NASA, il s'agissait de cristaux de glace, ce qui est physiquement impossible car les cristaux de glace ne pourraient changer de direction d'une telle manière. Nos calculs montrent que si les objets se situaient à 16 km de la navette, le plus gros a accéléré de 0 à 4023 km/h en .
James E. Oberg a notamment défendu la thèse officielle de la NASA sur cette affaire.
La NASA sera parfois en contradiction avec les déclarations de ses propres membres au sujet des ovnis, tels que :