Home > L'�nigme ovni |
---|
A la suite du rapport du comit� Condon, les adh�sions aux organisations ufologiques priv�es diminu�rent ainsi que les signalements d'ovnis. Beaucoup pensaient que l'Air Force avait r�solu tous les cas vraiment importants et ne se sentaient plus menac�s par une invasion d'un autre monde. Certains cas �taient toujours signal�s au d�but des ann�es 1970s (par exemple le rapport de Delphos (Kansas) -- voir annexe), mais le domaine �tait relativement calme.
La p�riode calme se termina en 1973, quand une prolif�ration d'observations attira de nouveau l'attention sur ce probl�me et les cas de rencontres trouv�rent leur place � la premi�re page des journaux � sensation. Le cas de loin le plus discut� fut l'incident de "l'enl�vement" de Pascagoula (Mississippi). Cet incident est d�crit dans le chapitre 1 et bien que le cas reste officiellement sans solution, les sceptiques d�clarent que les deux hommes avaient simplement trop bu et qu'ils avaient r�v� toute l'histoire.
Ceci ne fut pas le seul cas.
La vague de 1973-1974 ressembla aux grandes vagues pr�c�dentes bien qu'� la mi-1974 les enqu�teurs n'aient pu consacrer suffisamment de temps aux signalements pour �liminer les mauvaises interpr�tations, les farces, etc. Les rapports se class�rent dans une vaste gamme de cat�gories d'observation. Parmi celles-ci il y eut des observations �loign�es et en altitude, des observations au sol, des incidents de poursuite de voitures, des observations causant des effets ou des interf�rences �lectriques et m�caniques des observations affectant des animaux, des observations affectant physiquement des personnes, des observations causant des troubles psychologiques et mentaux sur les gens, des atterrissages avec traces au sol et des cas avec occupantss1[Jacobs, op. cit., p. 265].
Si la cr�dibilit� du t�moin doit �tre prise en compte, un des signalements les plus valables fut certainement celui
du gouverneur de l'Ohio John Gilligan et de sa femme. Ils racont�rent qu'�tant en voiture pr�s de Ann Arbor, dans le
Michigan, la nuit du 15 octobre 1973, ils regard�rent pendant environ une
30 mn un objet de forme verticale et de couleur ambr�e
. Gilligan d�clara qu'il ne savait pas ce que c'�tait,
mais qu'il �tait certain que ce n'�tait ni un oiseau, ni un avion. (116).
Philip Klass sugg�ra que le Gouverneur avait vu la plan�te Mars qui
�tait � sa position la plus proche et la plus brillante ... et se trouvait est-Sud-est dans le ciel, pr�s de la
direction rapport�e par Gilligan pour son observation d'ovni
(117).
Il continua en disant que cela avait fait beaucoup de publicit� pour le Gouverneur "quelque chose de tr�s appr�ci� par tout homme public." Cette d�claration ne s'accorde pas avec ce que l'on avait constat� depuis des ann�es, c'est-�-dire que ceux qui font �tat d'observation d'ovni sont fr�quemment sujets au ridicule par leurs pairs et perdent leur cr�dibilit� dans la communaut� ; situation qui est rarement la bienvenue pour un homme s'occupant des affaires publiques.
Un autre incident se produisit dans l'Ohio, seulement trois jours apr�s le rapport de Gilligan. Le 18 octobre 1973, pr�s de Mansfield, Ohio les quatre hommes d'�quipage d'un h�licopt�re de l'Arm�e eurent leur attention attir�e par une lumi�re rouge brillante qui semblait faire route avec eux. Rapidement, l'objet s'approcha si pr�s de l'h�licopt�re que l'�quipage eut peur d'une collision. Le Commandant de bord d�cida de piquer pour �viter l'objet et, � l'altitude de 1 700 pieds, descendit � une inclinaison de 20� avec une vitesse de 2 000 pieds par minute. La lumi�re rouge les accompagna et soudainement l'h�licopt�re fut illumin� par une lumi�re verte. Apr�s quelques secondes, l'OVNI obliqua et disparut. Quand le commandant de bord v�rifia ses instruments, il trouva que, au lieu de descendre, l'appareil �tait mont� � 3 500 pieds et que leur vitesse ascensionnelle �tait de 1 000 pieds par minute. Leur �quipement radio ne fonctionnait pas.
Klass en conclu que l'�quipage avait simplement vu un m�t�ore et souligna que l'altitude est lue par rapport au niveau de la mer et non pas par rapport au niveau du sol au-dessus duquel il vole. Donc, pour l'altitude de 1 700 pieds dont il est fait �tat par le commandant de bord cela signifie qu'ils �taient � 400 pieds au-dessus du sol ( l'altitude de cette partie centrale de l'Ohio est de 1 300 pieds ). Il d�clare que quelqu'un de l'�quipage tira instinctivement sur le manche pour sortir l'appareil de son piqu�, par crainte de s'�craser au sol. La radio ne fonctionnait pas, soit parce que l'op�rateur de la tour n'avait pas r�pondu � l'�quipage, ce qui peut arriver selon Klass, soit que l'op�rateur radio de l'h�licopt�re �tait tellement excit� qu'il ne s'arr�ta pas suffisamment longtemps sur chaque fr�quence pour �tablir le contact. (118)
Mais il y eut encore de nombreux cas, et pour la premi�re partie de cette grande vague, il n'y eut aucun organisme officiel pour effectuer des investigations sur les incidents. Le public laissa libre cours � son imagination sur ce qui avait pu arriver. David Jacobs r�sume cette p�riode de la mani�re suivante :
Les scientifiques, la presse, le public et m�me l'Air Force semblaient moins ancr�s dans leurs convictions et plus d�sireux de r�server leur jugement sur le ph�nom�ne. La vague d'observations 1973-1974 ne comportait pas l'�motionalit� et la rancSur qui avaient caract�ris� les points de vue oppos�e dans les vagues des ann�es 1950 et 1960. En g�n�ral, la soci�t� semblait plus ouverte que jamais envers la th�orie selon laquelle le ph�nom�ne OVNI pouvait �tre reconnu officiellement, sans pr�juger de l'origine de ces objets. Les sordides batailles des ann�es pr�c�dentes s'�taient termin�es et seul le ph�nom�ne restait. Malgr� tout, toutes les cicatrices de la bataille n'avaient pas disparu et la gamme d'opinions sur les OVNI �tait toujours aussi large. (119)
Finalement le vague de 73 se termina, bien que quelques rapports continu�rent d'arriver aux organisations priv�es. A la fin de 1974 et au d�but de 1975, l'attention fut focalis�e sur une s�rie de cas qui impliqu�rent des mutilations d'animaux. Dans sa publication de f�vrier UFO Investigator, le NICAP rapportent ceci "Dans les trois derniers mois, ( nous avons ) �t� inond�s avec des appels et des lettres d'enqu�tes concernant des rapports sur des animaux qui avaient �t� mutil�s dans diff�rentes parties du pays... Ces ph�nom�nes de mutilation d'animaux furent centr�s principalement autour de Meeker Country, Minnesota."
Dans leur rapport ils expliqu�rent que le 1er d�cembre 1974, un fermier de Meeker County rapporta qu'une de ses
b�tes avait �t� mutil�e. Les investigateurs trouv�rent que les babines de la b�te avaient �t� coup�es � environ 2cm et
demi au dessus du nez jusqu'� l'arri�re gauche de la machoire.
La langue avait �t� arrach�e et la veine jugulaire
coup�e. Il est int�ressant de noter qu'il n'y avait que l'�quivalent d'un verre de sang sur le sol ce qui indiquait
que quelqu'un avait ramass� le reste. On avait �galement retir� la partie sup�rieure gauche de l'oreille et les
organes g�nitaux. Il n'y avait aucun signe d'all�es et venues dans la zone et on ne d�couvrit qu'une simple t�che
circulaire dans la neige. Cela conduisit certaines personnes � conclure que les OVNI �taient responsables de cet acte,
bien que NICAP exprima des r�serves sur cette explication. Ils r�v�l�rent que d'autres mutilations de ce genre
s'�taient produites � Dallas et dans certaines parties de la Californie.
En mai le NICAP poursuivit sur cette affaire en �ditant une lettre �crite par deux personnes qui effectu�rent plus tard des investigations sur le sujet, l'un �tant de NICAP et l'autre de APRO. Ils trouv�rent que "la simple t�che circulaire" n'�tait pas circulaire du tout et qu'elle �tait en fait de forme irr�guli�re, provoqu�e par la neige tass�e par le restant du b�tail qui �tait venu renifler le corps. Ils en conclurent que la mutilation faisait partie de rites d'initiation pour un culte satanique, dont les membres furent arr�t�s par les autorit�s f�d�rales. Ce culte s'�tait d�plac� dans diff�rentes r�gions du pays et �tait responsable de tous les actes de mutilation ayant fait l'objet de rapports. (120)
(120) Cornett, Robert C. and Kevin D. Randle. Feedback, Readers Write-Re : Cattle Mutilation in Minnesota. NICAP, UFO Investigator, May 1975 : 4.
En 1977 et 1978, 3 organisations int�ress�es par les ovnis obtirent du FBI, la CIA, l'Air Force et le Renseignement Naval la diffusion de pr�s de 3000 documents li�s aux ovnis via l'Acte du Droit � l'Information. Les organisations �taient le Ground Saucer Watch, Citoyens Contre lde Secret sur les Ovnis et le Fond pour la Recherche OVNI. Approximativement 300 pages de ces documents furent fournies au CRS pour examen par un repr�sentant du Fond pour la Recherche OVNI. Le CRS ne v�rifia pas, cependant, l'authenticit� de ces documents avec les agences concern�es.
Les documents du FBI couvraient la p�riode de temps de 1947 � 1963. Ils consistaient en des rapports et memoranda sur des observations, des �valuations de personnes signalant les observations et des directives sur les proc�d�res � suivre par les agents dans le domaine.
Il semble d'apr�s ces documents que le FBI �tait int�ress� par les ovnis seulement dans la perspective de son mandat de prot�ger la s�curit� int�rieure du pays et seulement dans une certaine mesure -- il le voulait pas agir comme agent de l'Air Force et recueillir les artefacts suppos�s d'ovnis ou faire tout le travail sur le terrain. L'implication du FBI fut limit�e � recevoir des rapports d'observations de ses agents sp�ciaux et du public.
Ce qui suit sont des extraits de memoranda et documents diffus�s du FBI :
...il n'y a pas de projets de recherche du D�partement de la Guerre ou du D�partement de la Marine actuellement men�s qui pourraient �tre reli�s d'une mani�re ou d'une autre avec les disques volantss2[10 juillet 1947 - 16 jours apr�s l'observation rapport�e de Kenneth Arnold].
...l'Arm�e ne m�ne aucune exp�rimentation avec quoi que ce soit qui puisse �ventuellement �tre pris pour un disque volants3[19 ao�t 1947].
Cette situation de "soucoupe volante" n'est pas enti�rement imaginaire... Quelque chose vole vraiment alentourss4[Ao�t 1947].
Plusieurs soucoupes volantes ont �t� observ�es. Elles avaient une vitesse calcul�e moyenne de 27 000 miles/hs5[31 janvier 1949].
...les disques volants sont consid�r�s comme �tant fabriqu�s par l'homme... Il a �galement �t� d�termin� qu'au cours des 4 derni�res ann�es l'URSS a �t� engag�e dans l'exp�rimentation d'un type inconnu de disque volants6[25 mars 1949].
Depuis 1948, approximativement 150 observations de ph�nom�nes a�riens... ont �t� r�pertori�es au voisinage d'installations [sensibles] dans le Nouveau Mexiques7[23 ao�t 1950].Tous les signalements traitant d'observations sp�cifiques d'objets volants incluent des informations sembables concernant la grande vitesse de ces objets et leur capacit� � �tre stationnaires. Les formes et tailles des objets observ�s varient.
La collecte, l'enqu�te, et l'archivage des signalements d'ovnis furent affect�s � l'Air Force n1[Comme not� en section V, l'Air Force initia le projet Sign en 1948 et continua d'enqu�ter officiellement sur les signalements d'ovnis jusqu'en 1969], le FBI transmit � cette agence les signalement qu'il recevait. Finalement, le FBI re�u de moins en moins de signalements et finit par stopper son implications dans les ovnis.
L'Air Force a un r�ponse standard � toute demande concernant les rapports d'observations d'ovnis, comme cela fut r�v�l� dans une communication d�classifi�e dat�e du 12 novembre 1975 qui fut diffus�e suite � une requ�te de l'Acte de Droit � l'Information :
Le 17 d�cembre 1969 [apr�s la publication du rapport Condon] l'Air Force annon�a la fin du Projet Blue Book, le programme d'enqu�te sur les ovnis. Depuis lors, aucun �l�ment n'a �t� pr�sent� pour indiquer qu'une investigation suppl�mentaire de l'Air soit justifi�e. Il n'y a aucun plan d'une nouvelle implication de l'Air dans ce domaine.
En novembre 1975, cette r�ponse fut utilis�e en relation aux nombreux survols d'ovnis au-dessus de zones de stockage d'armes et autres lieux sensibles en diverses bases du Commandement Strat�gique A�rien. Ces ovnis pouvant, ou ayant, affect� la s�curit� nationale, les signalements les concernant furent faits en accord avec les r�gles JANAP 146 ou 55-11 du Manuel de l'Air Force. Des rapports de ces incidents de 1975 sont parmi les documents diffus�s.
Environ 90 � 95 % des documents diffus�s par la CIA sont de simples transcriptions ou traductions de rapports sur des observations d'ovnis obtenus de l'examen de rapports de presse et �missions �trang�res. Ce qui suit est un extrait d'un memorandum de la CIA diffus�, dat� du 2 d�cembre 1952 :
En ce moment, les rapports d'incidents nous convainquent que quelque chose se passe qui n�cessite une attention imm�diate... Des observations d'objets inexpliqu�s � de hautes altitudes et voyageant � de hautes vitesses au voisinage d'installations de d�fense U.S. sont d'une nature telle qu'elles ne sont pas attribuables � des ph�nom�nes naturels ou des types connus de v�hicules a�riens.
Les documents diffus�s par le Renseignement Naval traient de rapports d'observations d'ovnis lui qui furent soumis par le personnel de la Marine ou associ�. La vitesse de l'objet volant observ� dans l'un de ces rapports fut calcul�e comme �tant de pr�s de 6700 miles/h.
Il existe �galement des documents d'attach�s militaires U.S. et de responsables consulaires traitant d'observations d'ovnis dans des pays �trangers.
Quelques mois apr�s que l'Administration Carter ait pris ses bureaux, la Maison Blanche devint un point focal pour une nouvelle vague de demandes sur les ovnis -- peut-�tre suite � la publication de plusieurs films li�s � l'espace et � la promesse de campagne du Pr�sident Carter d'�ter le voile de secret gouvernemental du sujet des ovnis. Le bureau de presse de la Maison Blanche demanda l'assistance sur ce sujet du Conseiller Scientifique Pr�sidentiel Frank Press. Dans une lettre dat�e du 21 Juillet 1977, le docteur Presse recommande � l'Administrateur de la NASA Robert A. Frosch que la NASA devienne le point focal de l'ensemble des demandes sur les ovnis et qu'elle mette en place un bureau auquel la Maison Blanche puisse transmettre l'ensemble des requ�tes qu'elle recevait. Il recommanda �galement qu'une commission d'enqu�te r�duite soit form�e par la NASA pour voir si quelques d�couvertes significatives avaient vu le jour sur les ovnis depuis la publication du Rapport Condon.
Dans une lettre � la presse du 6 Septembre 1977, Frosch r�pondit que la
NASA r�pondait aux demandes li�es aux ovnis par une lettre-type (la lettre-type, Feuille
d'Information FGM 76-6 du Bureau des Affaires Publiques, indiquait qu'une �tude �tendue des ovnis avait �t� ferm�e
avec la publication du Rapport Condon. Elle r�sumait les
conclusions de ce rapport et indiquait o� l'on pouvait en acheter une copie. La lettre-type continuait en disant que
les enqu�tes se poursuivent sous des auspices priv�es
et fournissait les noms et adresses de 2 organisations
priv�es qui enqu�taient sur les signalements d'observations d'ovnis).
Concernant la commission d'enqu�te, Frosch dit que avant de s'engager dans cela, ...nous devrions nous assurer
qu'une enqu�te est justifi�e.
Dans un rapport de presse dat� du 26 Novembre 1977 s8[Carter is Facing Rebuff on Reviving UFO Probe. Washington Post, 26 Novembre 1977 : B5],
David Williamson, assistant sp�cial de l'Administrateur de la NASA, fut cit� comme ne
favorisant pas la recherche sur quelque chose qui n'est pas un ph�nom�ne mesurable
et dans une lettre dat�e du
21 D�cembre 1977, le docteur Frosch dit au docteur Press que la NASA �tait pr�par�e � continuer de r�pondre aux demandes du public selon la m�me ligne
que ... dans le pass�.
Concernant une enqu�te plus avanc�e sur les ovnis, en raison de l'absence de preuve
tangible ou physique, nous ne sommes pas parvenus � concevoir une proc�dure scientifique saine pour investiguer sur
ce ph�nom�ne. [Cependant,] nous restons pr�ts � [analyser] tout indice physique bona fide de sources cr�dibles
s9[Lettre du 21 D�cembre 1977 de Robert A. Frosch, Administrateur de la NASA � Frank Press, Directeur, Bureau de la Politique de Science et Technologie, Bureau Ex�cutif du Pr�sident].
Michael A. Persinger de l'Universit� Laurentian � Sudbury (Ontario, Canada) a publi� plusieurs articles coll�rant signalements d'ovnis, contraintes tectoniques et la diffusion de ces contraintes ou tremblements de terre.
Dans un article de 1976, Persinger th�orise que des formations g�ologiques sous la surface sous des contraintes tectoniques pourraient g�n�rer des effets piezol�lectriques juste avant ou durant les fractures, lorsque les efforts sont diffus�s, ou apr�s des changements inhabituellement intenses et soudains dans la pression de l'air comme lors du passage d'un front froid. Les champs �lectriques ainsi cr��s seraient hautement localis�s, sous forme de colonnes, et d�passeraient 100 000 V/m. L'air ambient deviendrait ainsi ionis� et lumineux, avec la forme de la luminosit� d�termin�e par les structures g�ophysiques locales. La luminosit� pourrait se d�placer dans les m�mes directions que les diffusions de contraintes ou des fractures de la sous-surface. Ainsi, la luminosit� pourrait �tre stationnaire en un endroit, partir d'un coup vers le haut ou sur les c�t�s, ou dispara�tre dans le sol. Le mouvement du champ �lectrique induirait des perturbations �lectromagn�tiques au voisinage, telles que des changements ou des incapacit�s dans la transmission et la r�ception radio, les appareils �lectriques, les syst�mes d'�clairage et les compas, et des effets indirects ou directs sur les �tres humains s10[Michael A. Persinger. Transient geophysical bases for ostensible UFO-related phenomena and associated verbal behavior. Perceptual and Motor Skills, v. 43, ao�t 1976: 215-221].
4 ans plus tard, Persinger r�alisa des analyses statistiques sur plus de 20 000 rapports d'ovnis entre 1951 et 1965, en 6 r�gions de tremblement de terre des Etats-Unis, qui indiquaient que les nombres combin�s d'�v�nements sismiques durant des p�riodes de 6 mois dans les r�gions nord-est, est et centrales corr�laient jusqu'� 0,70 avec le nombre e signalements d'ovnis durant les intervales de 6 mois pr�c�dents. D'autres [lags], comme des corr�lations avec les nombres sismiques totaux des U.S. ne furent pas statistiquement significatifs s11[Michael A. Persinger. Earthquake activity and antecedent UFO report numbers. Perceptual and Motor Skills, v. 50, juin 1980: 791-197].
D'autres �tudes amen�rent Persinger � conclure que les signalements d'ovnis �taient les indices d'�v�nements naturels associ�s � une contrainte tectonique s'accumulant au sein de la croute terrestre. Il rapporta que plus de 80 % de la variance dans un �chantillon de nombres rapports d'ovnis dans les Etats-Unis du centre et de l'est entre 1950 et 1966 pourraient �tre accomod�e en entrant les 3 � 5 mesures appropri�es d'activit� g�omagn�tique ou sismique des 1 � 3 ans pr�c�dents. En g�n�ral, les nombres de rapports d'ovnis tendaient � augmenter 2 � 3 ans apr�s le d�croissement dans l'activit� g�omagn�tique et l'ann�e apr�s � s'accro�tre dans le nombre de tremblements locaux de faible intensit�. En utilisant ces �quations, Persinger pr�dit les nombres de signalements d'ovnis dans ces r�gions pour les ann�es 1967-1981, qu'il corr�la avec de v�ritables observations s12[Michael A. Persinger. Geophysical Variables and Behavior: III. Prediction of UFO Reports by Geomagnetic and Seismic Activity. Perceptual and Motor Skills, v. 53, ao�t 1981: 115-122].
D'apr�s Brian Brady du Centre de Recherche de Denver du D�partement U.S. de l'Int�rieur, Bureau des Mines, des tests sont men�s � cette installation de le cours desquels divers roches et crystaux sotn soumis � des pressions jusqu'� destruction. Ces pressions sont con�ues pour ressembler aux contraintes et pressions qui interviennent dans les failles g�ologiques actives. Il a �t� observ� que juste avant leur destruction, les pressions causent dans ces substances des effets piezo-�lectriques et une luminosit� d'ionizateur visible dans l'air pr�s d'elles. Les tests furent men�s dans l'air et dans divers gaz. Des lueurs semblables furent observ�es dans tous les cas. Il est possible que, en plus des effets visibles, des sons ultrasoniques (inaudibles pour les humains, mais per�us par divers animaux) et des radiations �lectromagn�tiques et autres soient �galement produits durant ces efforts et les destructions de structure s13[Communication verbale de Brian Brady, Centre de Rerhcerhce de Denver, 9 mai 1983].
Home > L'�nigme ovni |
---|