Vision dans le ciel de l'église à Frog Lake et un cavalier sur un cheval blanc approchant l'église,
descendit de cheval, puis étendit sa main en une bénédictions1p. 44 (E.M. at
Battleford, Sask) dans le livre, Psychic phenomena in Canada par Winifred G. Barton [1974?] Psi-science series ; n° 4. et également mentionné dans le livre Dark Visions : personal accounts of the mysterious in Canada de John Robert Colombo copyright 1992 isbn 0888821425 "Frog Lake Vision" par Theresa Gowanlock pp. 39-42. Ce livre mentionne l'article de Francis Dickie dans le Western Producer "Saving sign from the sky" 24 Jan. 1963 < UFOs And The Unexplained In Saskatchewan,
Compiled By Rick Fowler, From Bill Oliver.
Près de Galveston (Texas), découverte d'une météorite magnétique s2"Mysteries of Dakota", Daily News de Galveston (Texas), Friday, 15 juin 1888, p. 9.
en
le À Grazac (France), pluie de quelque chose qui quand on le
brôle émane une odeur "bitumeuse" s3Comptes Rendus, 104-1771 < The Complete
Books of Charles Fort. New York: Dover, 1974, p. 77 < Fitch, Donna K., Strange: August Fortean Events.
le A Andrinople (Turquie d'Europe), on voit tout d'un
coup à l'ouest flotter dans l'air un corps ovale répandant une grande lumière ; il parait flotter dans l'air et
son disque apparent est 4 ou 5 fois plus grand que celui de la Lune. Il se déplace lentement et illumine tout le
camp situé près de la gare d'Andrinople avec un éclat 10 fois plus vif que celui d'une grande lampe électrique
s5Courrier de Mavrogordato (de Constantinople) à L'Astronomie, Revue d'Astronomie
populaire, publiée par Camille Flammarion, 5me année (1886), n° 8 (août 1886), Paris, 1887, p. 309 < Deliyannis, Y.: "1885, november 1st-2nd : Turkey", Magonia Exchange, 6 décembre 2007s6Desbaux, Emile: La Physique Populaire, Bibliothèque Camille Flammarion, Paris,
1891, p. 426.
le en A Scutari (Turquie d'Asie), une
flamme très lumineuse, d'abord bleuêtre, puis verdêtre et mobile à des hauteurs qui paraissent varier de 5 ou 6
m fait à plusieurs reprise le tour de l'embarcadère de Ferry-Boat de Scutari. Sa clarté éblouissante
éclaire la rue et inonde de lumière l'intérieur des maisons. Le météore finit par tomber dans la mer
après avoir été visible pendant 1 mn 30 s. On n'a pas entendu de bruit au moment de son immersion s7Courrier de Mavrogordato (de Constantinople) à L'Astronomie,
Revue d'Astronomie populaire, publiée par Camille Flammarion, 5me année (1886), n° 8 (août
1886), Paris, 1887, p. 309 < Deliyannis, Y.: "1885, november 1st-2nd : Turkey", Magonia Exchange, 6 décembre 2007s8 Desbaux, Emile: La Physique Populaire, Bibliothèque Camille Flammarion, Paris,
1891, p. 426s9LDLN 48s10Anatomy 14.
en Dans tout le département de la Haute-Marne (France), on voit une lueur immense embraser
tout à coup l'horizon, puis disparaêtre presque aussitôt. A Chaumont, on n'a rien entendu ; mais dans les
environs de Bourbonne plusieurs personnes ayant entendu une détonation violente croient qu'il s'agit d'un éclair
ordinaire ; des voyageurs raconteront qu'il s'est produit après l'apparition du phénomène un bruit semblable à
un roulement de wagons vides sur un pont en fer s11Courrier de Mavrogordato (de
Constantinople) à L'Astronomie, Revue d'Astronomie populaire, publiée par Camille Flammarion,
5me année (1886), n° 8 (août 1886), Paris, 1887, p. 309 < Deliyannis, Y.: "1885, november 1st-2nd : Turkey", Magonia Exchange, 6 décembre 2007s12H. de Parville: Causeries scientifiques < Desbaux, Emile: La Physique
Populaire, Bibliothèque Camille Flammarion, Paris, 1891, p. 426.
Près de Salzbourg (Autriche), une sorte de parallélépipède métallique est découvert dans une mine. Encastré dans une
veine de charbon datant du Tertiaire. Un Autrichien, le docteur Adolf Gurlt, ingénieur minier, annonce la trouvaille
dans la revue américaine Nature, avançant l'hypothèse qu'il s'agit là d'une météorite fossile. Il
décrit l'objet comme de forme presque cubique à l'exception de 2 faces opposées qui sont légérement arrondies. Ses
dimensions sont de 6,7 cm, sauf entre les 2 faces arrondies, où la mesure ne dépasse pas 4,7 cm, et il pèse 785 g.
Une incision relativement profonde en fait le tour à mi-hauteur. D'après Jacques Bergier,
qui se référe dans Les Extraterrestres dans l'Histoire à des descriptions d'époque, le métal, recouvert
d'une fine couche d'oxyde, a la composition d'un "acier dur au nickel et au carbone". Intrigués par l'aspect peu
naturel de l'objet, d'autres chercheurs prennent la relève du docteur Gurlt et certains finissent par affirmer que
le fameux cube est de fabrication artificielle, d'autant plus que, au fil des ans, on lui attribue une forme
de plus en plus régulière. En clair, quelqu'un, des millions d'années avant la naissance du 1er australopithèque, a
usiné cet objet. L'hypothèse extraterrestre va alors faire de nombreux adeptes, dont Jacques Bergier, qui voit dans
le "cube" du docteur Gurlt un collecteur d'informations implanté par des êtres supérieurs venus du cosmos pour
surveiller le développement de la Terre. Un collecteur destiné, selon lui, a être récupéré un jour ou l'autre. Le
mystère s'épaossot lorsqu'on s'aperçoit qu'il n'y a plus aucune trace du "cube" dans le musée de Salzbourg après
1910. Pire, les archives du musée pour la période allant de 1886 à 1910 se sont aussi volatilisées ! A ceux que ne
convainc pas la thèse d'une discrète récupération de leur bien par les extraterrestres, il reste toujours celle d'un
nième complot de l'Internationale Rationaliste. Malheureusement pour eux, un collaborateur de la revue l'Inexpliqué,
Pursuit, va mettre fin au mythe dans le n° d'octobre 1973 s13Nolane 1998, pages 15-16.