Le projet Phénix

Une histoire greffée sur celle du projet Philadelphie, par des personnes dont au moins une a été convaincue de faux.

Anciennement connu sous le nom de projet Philadelphie, ce projet hypothétique n1à ne pas confondre avec le programme SETI avéré du même nom aurait redémarré sous la direction de John VonNeumannVon Neumann, John, aux laboratoires de Brook-haven travaillant sur l'espace-temps. Le but aurait été de comprendre le problème survenu avec l'équipage lors de l'expérience de 1943, ainsi que d'étudier les applications de ce projet pour rendre les navires et les avions invisibles au radar (la technologie furtive d'aujourd'hui).

En 1948, on aurait finit par comprendre le problème de 1943 : les hommes d'équipages se serait retrouvés piégés dans une sorte de "bouteille isolante" (effet bocal) dans une réalité artificielle, où le temps et l'espace étaient différents. Ils avaient complètement perdu leurs repères et se trouvaient désorientés, non seulement psychiquement, mais aussi physiquement. Il était nécessaire de leur donner des points de repère pour leur permettre de conserver une sensation de normalité, une stabilité nécessaire lorsqu'ils entraient ou sortaient de "la bouteille". La 1ʳᵉ étape aurait consisté à déterminer un "point zéro", ou point de référence de la vie de chacun, de relier ce point au point zéro de la Terre, à celui du système solaire, et à celui de la galaxie (le zero time). Seul l'ordinateur est capable de calculer les temps de référence de chacun, en fonction de ce Zero-time, afin que le corps et l'esprit de chacun puissent se synchroniser avec ces temps de référence.

Cependant il semble que ce projet soit annulé la même année, après que des cercles politiques aient découvert les objectifs de "contrôle de la pensée" du projet.

En 1951, Albert Bielek arrive du futur (de 1983), transféré dans le corps de Duncan Cameron, un bébé mort naturellement à 1 an, à l'aide d'une technologie extraterrestre (voir Montauk).

En 1952, le projet Phoenix (apparemment non annulé) envoie un nouveau navire en Angleterre.

En 1954, les ovnis sont en vogue, et Morris K. Jessup rédige The case for the UFO (Ovnis : les preuves), un exposé très clair de tout le problème. Le livre paraît en l'année suivante, et est un gros succès. Peu après sa parution de ce livre, Jessup reçoit les lettres d'un mystérieux correspondant du nom de Carlos Allende, qu'il ne rencontrera jamais. Allende lui donne comme adresse de retour R.D. #1, Box 223, New Kensington, Pa. Dans ses lettres, Allende commente l'ouvrage de Jessup et livre des détails sur une supposée expérience secrète menée par la Marine en 1943. Suite aux lettres d'Allende, Jessup se passionne pour l'expérience de Philadelphie et déniche divers manuscrits refusés par les éditeurs. Il est amené à croire à un fantastique complot impliquant un vaste camouflage de la part du gouvernement, des expériences de physique avancée, et au moins 2 races de visiteurs : les LM qui seraient en bons termes avec les habitants de la Terre et les SM qui nous seaient hostiles.

Cette même année, la FDA ordonne une enquête contre Wilhelm Reich et sa fondation. Celui-ci est appelé à comparaître devant la justice pour défendre ses activités, après avoir refusé d'obtempérer à l'injonction de la FDA. Le 19 mars, une décision de justice est prise à son encontre.

En 1956 une copie du livre de Jessup est expédiée à l'ONR, annoté par écritures (de couleur) différentes, de personne(s) douée(s) d'une connaissance peu commune en la matière, et apportant même des détails nouveaux sur les ovnis. Les notes mentionnent le moyen de propulsion, la culture et le génie des occupants des ovnis dans un langage pseudo-scientifique et en terme incohérents. Jessup est alors contacté par l'ONR à Washington. Par la suite l'astronome fait preuve d'une étrange nervosité comme s'il pressentait un danger. L'astronome confie ses notes et l'un des exemplaires de son livre à un ami intime.

La même année, Wilhelm Reich est poursuivi par un tribunal et sévèrement puni. L'Etat du Maine ordonne la destruction par le feu de ses écrits. Il est condamné à 2 ans de prison et une amende de 10 000 $.

En l'année suivante, mort de Von Neumann.

En l'année suivante, Albert Bielek intègre une école d'ingénieurs.

En l'année suivante démarre une phase de collaboration avec les Gris et 75 bases souterraines sont construites pour eux. Le 20 Avril, Jessup est trouvé mourant dans sa fourgonnette (voiture ?) dans un jardin public du comté de Dade (dans un/son garage ?), asphixié par un tuyau attaché au pot d'échappement de son véhicule et passé par la vitre d'une portière. Le coroner conclut à un suicide.

En 1967, la compréhension du problème d'équipage de 1943 trouve une solution concrète avec l'aide des visiteurs de Sirius A, qui initient les humains à la technologie de ce qui deviendra plus tard la Chaise de Montauk. Après avoir mis au point la technologie nécessaire, des scientifiques font un rapport au Congrès. Ce dernier s'aperçoit avec raison que ces techniques pourraient être utilisées pour la manipulation du cerveau humain. Il refuse alors son accord et supprime tous les fonds.

En 1969, le groupe scientifique de Brook Heaven, désirant poursuivre ses recherches issues de la Chaise de Montauk, requièrent des moyens auprès des militaires, qui acceptent et leur offrent l'accès à la base à demi-désaffectée de Montauk, ainsi qu'un générateur de forte puissance, nécessaire pour les expérimentations. Les techniciens du vieux radar de la base, le radar-Sage, signalent aux scientifiques qu'il avait été remarqué dans les années 1960s que la puissance et la fréquence du radar influait sur l'humeur et le comportement des gens de la base. Cela intéresse les scientifiques, qui adjoignent au radar la technologie des micro-ondes. Le projet aurait alors été rebaptisé Phoenix II ou projet Montauk.