Viton naît le à Marseille (Bouches-du-Rhône).
Viton naît à Marseille. Il devient astronome.
Un jour qu'il est en vacances chez son père dans la région avignonnaise, Viton est témoin d'un vol d'ovnis. Il voit plusieurs objets lumineux, en forme de disques, évoluer en formation comme des canards. Après avoir parcouru une bonne portion du ciel en présentant des mouvements relatifs les uns par rapport aux autres, les objets virent brutalement pour disparaître en une accélération foudroyante .
Dans le sillage de la création du CNES en , une petite équipe, le SASOM, à , prend forme au sein de l’Observatoire de Marseille, autour de Georges Courtès et de Viton avec comme objectif d’effectuer des observations, depuis l’espace, de l’environnement terrestre et des étoiles. C’est la préfiguration du LAS, lequel est créé par le CNRS et dont Courtès est le premier directeur et Paul Cruvellier, son successeur.
Le à Hammaguir, Viton et 7 autres personnes sont témoins d'une observation .
Quelques années plus tard , alors qu'il travaille comme chercheur à l'Observatoire de Marseille, Viton fait la connaissance de Jean-Pierre Petit .
A l'époque Viton est en contact avec Claude Poher. Ce dernier est également intéressé
par le sujet des ovnis et a reçu d'Antonio Ribera
une série de lettres ummites. Poher en transmet un échantillon à Viton, pour
avoir son avis. En , Viton parle à Petit
de son observation, et lui
montre une vingtaine de pages photocopiées de ces lettres, dont les auteurs se présentent comme étant des
extraterrestres venant d'une planète appelée Ummo. L'affaire
amuse Petit
dans un premier temps, et il pense tout d'abord à un canular d'universitaires. Cependant, par la suite il
creuse le dossier, et lui accorde une autre envergure : il considère que les documents contiennent non seulement des
idées en avance sur leur époque, mais totalement inexploitées, sans aucune trace dans la littérature scientifique.
On n'a par exemple encore lu nulle part, ni même envisagé, que l'on puisse concevoir un engin volant à vitesse
supersonique en air dense sans que celui-ci ne provoque d'onde de choc, c'est-à-dire de bang supersonique. Cette
année-là, Viton et Petit réalisent des expériences de simulation et dès , une propulsion des ovnis
de type MHD est présentée dans diverses publications.
À l'automne , Claude Poher fait prêterà Petit et ses collègues du CNRS, dans un laboratoire de Toulouse, le DERMO, une installation créant un champ magnétique d'intensité 1 tesla (10000 gauss).
Malheureusement, une élingue lâche. L'appareil, en phase de déchargement, glisse, tombe sur Petit
,
et l'envoie à l'hôpital pour 6 mois, les reins brisés. Mais, avec cet appareil et fort des directives que lui
adresse Petit de sa chambre, Viton parvient à annihiler la vague créée par l'étrave d'une maquette de 7 mm de
diamètre, placée dans un courant d'eau acidulée. Hélas, en dehors d'une telle aide, Poher
a accumulé les maladresses en direction de leurs organismes de tutelle, réclamant à
haute voix leur affectation officielle à des recherches consacrées aux ovnis.
Il décède dans le 12e arrondissement de Marseille .
Viton est notamment auteur des publications suivantes :