Sprinkle naît le à Rocky Ford (Colorado). Il y fait ses études à l'Ecole Washington puis le lycée de la ville, puis entre à l'Université du Colorado où il obtient un Master of Personnel Service en Counseling en . A l'Université du Missouri, il passe un doctorat en Counseling and Guidance , puis un B. A. en psychologie, éducation, sociologie et histoire en , à nouveau de l'Université du Colorado.
Psychologue et chercheur de l'Université du Wyoming.
En , à la demande de la Commission Condon, Sprinkle est amené à faire régresser sous hypnose l'officier de police Herbert Schirmer afin d'en savoir plus sur la rencontre. Il est également autionné par la commission sur les ovnis de s1Déclaration préparée par R. Leo Sprinkle, Ph.D., Symposium sur les ovnis, 1968.
En (1980 ?), c'est Judy Doraty qui tente une régression hypnotique avec Sprinkle.
Sprinkle est conseiller en psychologie pour l'APRO. Il mène une étude sur les cas
impliquant des témoins déclarant avoir eu des impressions télépathiques ou mentales de la part d'ovnis. Il y a un
accroissement de ce type de rapports et ils reçoivent autant d'attention que tout autre type de rapport
, déclare
Coral E. Lorenzen. Après tout, certains chercheurs ont fait l'erreur de rejeter, out of
hand, tous les cas d'atterrissage et d'occupants dans les années 1950s. Le nombre rapporté de ces cas dans les 15
dernières années indique qu'ils sont également en accroissement.
En , il travaille sur le cas de Medicine
Bow
. En , Sprinkle régresse Myrna Hansen, qui parle de bases
souterraines avec des cuves.
Sprinkle déclare :
s2Schuessler, John F., "Real Scientist Do UFO Research", UFO Potpourri, n° 424, mars 1999Je pense que l'explication la plus raisonnables aux ovnis est qu'ils sont des appareils contrôlés par des êtres intelligents. D'après mon examen des histoires de cas d'ovnis, je trouve raisonnable de penser que nous sommes étudiés par des êtres intelligents souhaitant s'informer à notre sujet, mais ne voulant pas que l'on sache qu'ils le font. Je ne pense pas qu'il y ait quelque raison de s'alarmer. Ils ne montrent aucun signe d'hostilité.