La fin des litiges entre Uri Geller et Randi et le CSICOP ?

Truzzi, MarcelloTruzzi, Marcello, mai 1996

Geller vs Randi & CSICOP : une histoire de 2 communiqués de presse

Plus tôt cette année la Parapsychological Association (PA) reçu 2 communiqués de presse sur la disposition des diverses poursuites entre le CSICOP et le voyant auto-proclamé Uri Geller 🤥Geller, Uri. Les divergences entre les 2 récits se révélèrent intéressantes et il fut demandé à un membre de la PA, le docteur Marcello TruzziTruzzi, Marcello (de l'Université du Michigan Oriental) de rédiger un commentaire et une interprétation. Avant l'article de TruzziTruzzi, Marcello se trouvent les 2 communiqués de presse, non modifiés, imprimés tels qu'ils ont été reçus.

Communiqué de presse de Uri Geller Enterprises, 15 février 1995

Il est rapporté que M. Uri Geller 🤥Geller, Uri et le Commité pour l'Investigation Scientifiques des Prétentions du Paranormal (CSICOP) ont maintenant atteint par un accord mutuel un compromis complet relatif aux dernières poursuites restantes entre eux. Ceci fait suite à un accord précédent de l'action contre James Randi et l'accord de M. Geller de ne pas poursuivre le prix de 500000 Yen obtenu par lui contre Randi dans les cours du Japon.

Le compromis atteint inclut l'abandon du cas en cours à la cour anglaise contre Prometheus Books, Victor Stenger, Paul Kurtz et d'autres. Ce cas was shortly to be set down for trial. Paul Kurtz est le président du CSICOP et le gérant de Prometheus Books (défenseurs dans l'action en Angleterre). M. Kurtz et Prometheus se sont accordés pour envoyer une lettre confirmant avoir émis un "errata" dans toutes les éditions du livre, Physics and Psychics après avoir appris l'erreur pour la 1ère fois en 1992, et s'assureront que toute édition future ne contiendra pas ces déclarations erronées.

En 1992, Kurtz avait émis une déclaration sous serment, indiquant : Avant la publication [du livre] ni moi ni quiconque employé par [Prometheus Books, Inc.] n'étaient au courant qu'il y ait de quelconques erreurs dans Physics and Psychics et je n'ai jamais su qu'il contenait les mots dont on se plaint avant d'entendre les avocats du plaignant.... Je comprends maintenant que c'est inexact . . . Je lui présente sans réserves mes excuses en mon nom comme au nom des premiers défenseurs [Prometheus Books].

Uri Geller 🤥Geller, Uri a déclaré : Ce compromis global, sur les poursuites restantes pour protéger mon nom et ma réputation dans divers pays où je suis bien connu et le bienvenu, contre ce que sont maintenant acceptées comme des attaques injustifiées. J'ai accepté les excuses de M. Kurtz, et considéré que justice avait été faite, et ma réputation vindicated. Mes plans pour le futur immédiat incluent la sortie prochaine du film inspiré de l'histoire de ma vie, Mindbender réalisé par Ken Russell et avec Terence Stamp. J'ai aussi accepté des invitations à des apparitions télévisées et "en direct", et je prépare actuellement une émission tv spéciale avec Sir David Frost.

Gordon Hausmann, le principal avocat britannique de Geller 🤥Geller, Uri déclare : Il est sensible pour M. Geller 🤥Geller, Uri de régler ces disputes, en dépit d'un dossier légal strong and compelling, qui je crois aurait been upheld by the Courts, in order to end protracted litigation in different jurisdictions, et arriver à un compromis amiable.

According to Geller's U.S. Attorneys, Richard William Winelander of Baltimore, and Ruth Liebesman of New York, the settlement also requires that Geller sue the attorneys whose default resulted in the sanctions, and Geller agreed to assign the first Fifty Thousand Dollars (50000 $) of any recovery to CSICOP's attorneys. Richard Winelander, Geller's principal attorney says this is the first case in the United States, of which he is aware, that Rule 11 Sanctions were awarded against a client for his lawyers, procedural defaults. Although Winelander would like to petition the Supreme Court to address this issue, the settlement agreement specifically bars him from doing so.

L'accord demande aussi que Geller pay Forty Thousand Dollars (40000 $) to CSICOP's attorneys within two weeks and Ten Thousand Dollars (10 000 $) per year for the next three years. Geller may be reimbursed for these amounts from the suit he is required to file against the defaulting attorneys, assuming his recovery exceeds the Fifty Thousand Dollars (50000 $) assigned to CSICOP's attorneys. Assuming these terms are met, CSICOP's counsel is waiving the remaining fees ordered paid by Geller. Including interest, the sum that Geller had been ordered to pay had reached nearly One Hundred and Seventy Thousand Dollars ($170,000.00) although, in a recent edition of its publication Skeptical Briefs, CSICOP claimed it had incurred Two Hundred and Fifty Thousand Dollars (250 000 $) in costs defending the libel actions against it.

The Agreement stipulates that it will represent full and final settlement and mutual release of all disputed claims between the parties, and hopefully conclude several years of litigation in various jurisdictions by mutual agreement and accord between the parties.

For further details, please contact: (in the United States) Richard William Winelander, 19 East Fayette Street, Suite 301, Baltimore, Maryland, 21202; and (in the United Kingdom) Gordon Hausmann, LL.B., Curry, Ch. Hausmann, Popeck, 17A Welbeck Way, London, W1M 7PD, England.

Et du Skeptical Inquirer, le communiqué de presse suivant fut émis le lundi 6 mars 1995 :

Un "voyant" doit payer jusqu'à 120000 $ à des sceptiques

Amherst, NY: Le voyant auto-proclamé, tordeur de cuillères, Uri Geller 🤥Geller, Uri a payé au Comité pour Investigation Scientifique des Prétentions du Paranormal (CSICOP), les premiers 40000 $ de jusqu'à 120000 $ comme partie de l'accord de compromis à une court-described "frivolous complaint" faite par Geller contre le CSICOP.

Le compromis met fin à une bataille de 4 ans dans les cours de Washington DC qui débuta avec la poursuite de Geller 🤥Geller, Uri pour 15 million $ contre le CSICOP et le magicien James "L'incroyable" Randi, alleging defamation, invasion of privacy, and tortuous interference with prospective advantage. Geller engagea une poursuite parce que Randi avait déclaré dans une interview du 9 avril 1991 avec l'International Herald Tribune que Geller avait "dupé même des scientifiques réputés, avec des astuces qui sont du type qui était à l'arrière des boîtes de céréales quand j'étais gosse. Apparemment les scientifiques ne mangent plus de cornflakes.

Le CSICOP, une organisation scientifique et pédagogique visant à enquêter sur les prétentions de phénomènes de voyance telles que celles faites par Geller, basée à Amherst, New York, was not charged with any specific conduct. Le CSICOP a maintenu tout du long qu'il s'agissait d'une poursuite frivole apportée par Geller pour harceler l'organisation. La Court du District US à Washington, DC, a tranché en faveur du CSICOP et octroyé presque 150000 $ de sanctions contre Geller 🤥Geller, Uri.

Dans des efforts pour overturn the sanctions award Geller perdit alors 2 appels à la Cour de District, puis perdit en 3.0 à la Cour d'Appel US et plus récemment perdit une autre fois en appel lorsque sa pétition pour être réentendu fut rejetée le mercredi 25 janvier 1995.

L'accord de compromos demande à Geller de payer au CSICOP 70000 $ en cash sur 3 ans et les premiers 50000 $ de toutes sommes récupérées par Geller 🤥Geller, Uri dans une nouvelle action il mène contre ses anciens avocats. De plus, Geller 🤥Geller, Uri doit aussi abandonner une autre poursuite contre l'éditeur de livre skeptiques Prometheus Books et d'autres sceptiques poursuivis à Londres, en Angleterre.

Dans une poursuite précédente que Geller avait mené contre Prometheus Books, Victor Stenger et Paul Kurtz à Miami, en Floride, Geller fut contrait par la Cour à payer Prometheus Books 20000 $ supplémentaires de frais de justice.

Barry Karr, directeur exécutif du CSICOP, a commenté : "Bien que nous soyons tombés d'accord pour quelque peu moins que le total des 150000 $ qui nous ont été descernés comme sanctions pour la poursuite frivole, nous sommes très satisfaits de cette victoire. Avant d'engaer des poursuites, Geller, un citoyen israélien vivant en Angleterre, a placé ses biens en lieu sûr, rendant ainso incertaine notre capacité à collecter. Au lieu de dépenser d'autres milliers dans des frais juridiques pour pierce the trust à Londres, nous avons décidé qu'il était mieux d'y mettre un terme maintenant.

Paul Kurtz, président du CSICOP, a déclaré : Lorsque les principes sur lesquels le CSICOP a été fondé sont en jeu, nous sommes prêts à nous battre jusqu'au bout, si cela se révèlait nécessaire. Nous croyons profondément à une édition libre, la liberté d'expression et de recherche scientifique, et l'importance de la dissidence". Il a caracterisé la poursuite de Geller comme le "type de poursuite utilisé comme un moyen de réduire au silence le débat sur des questions scientifiques significatives.

[Pour plus d'informations écrire à Barry Karr, Skeptical Inquirer, P.O. Box 703, Buffalo, New York, 14226 qui a émis le communiqué de presse]

Et maintenant pour le commentaire :

Une fin au litige Uri Geller vs Randi & CSICOP ?

par Marcello Truzzi (Université Eastern Michigan)

Durant les 6 dernières années, il y a eu des récits fréquents des media des diverses actions en justice contre le magicien James Randi et le Comité pour l'Investigation Scientifique des Prétentions du Paranormal (CSICOP), en particulier celles d'un voyant et apparemment millionnaire Uri Geller 🤥Geller, Uri. Ces questions en mai ont finalement été réglées entre les parties. Geller a répété que ce qui le préoccupait n'était pas la controverse sur ses capacités de voyance mais déclare que ses poursuites ont été intentées parce que ces attaques l'ont dépeint comme un criminel et un escroc. Geller dit vouloir mettre les choses au point pour protéger sa famille et sa réputation personnelle et professionnelle. Les défendants affirment que les poursuites de Geller sont des tentatives d'étouffer leur liberté d'expression et investigation critique et ne sont que des harcèlements légaux visant à les détruire financièrement au travers des dépenses conséquentes de frais de justice. Les poursuites impliquent toute une série de questions, et toutes les parties ont cherché à put their own spin on matters, résultant souvent en une confusion et parfois un peu de misdirection. Beaucoup auraient pu avoir l'impression que les poursuites concernaient centralement des questions de paranormal, la validité des prétentions psi et PK de Geller, et les droits des critiques, la liberté d'expression. Comme nous allons le voir, les faits sont assez différents.

L'affaire a fait éruption lorsque James Randi donna une interview publiée dans le n° de juin 1988 du Rod Serling's Twilight Zone Mystery Magazine dans lequel il affirma à tort que le parapsychologue Eldon Byrd était en prison, ayant été convaincu de pédophilie. Randi fit aussi référence à Uri Geller 🤥Geller, Uri comme étant impliqué avec Byrd dans une odieuse "campagne de chantage" contre lui. Randi fit d'autres remarques du même genre le 10 mai lorsqu'il parla à une réunion des Sceptiques de New York. Byrd n'avait jamais été arrêté pour ou convaincu de telles charges. Des affaires ultérieures suggèrent que les accusations de Randi ont pu être une déformation grossière à partir d'informations sur une affaire réelle précédente où Byrd avait été poursuivi pour pornographie. Byrd entama une poursuiste en diffamation en mars 1989, contre Randi, le CSICOP et l'éditeur du magazine, faisant valoir que Randi agissait comme représentant légal du CSICOP. Geller tenta d'entamer une poursuite en mai 1989, mais qui fut abandonnée, l'action ayant dépassé l'année de prescription.

La poursuite de Byrd continua avec de nombreuses activités préliminaires (dépositions, etc.) tandis que plusieurs nouvelles actions légales indépendantes étaient en cours, mais Byrd contre Randi et CSICOP finally went to trial en mai 1993. L'éditeur du magasine et l'auteur de l'interview furent dropped from the case, presumably because the magazine went out of business. CSICOP had tried to be dismissed from the suit but was unsuccessful. Le procès s'acheva avec Randi jugé coupable de diffamation avec malice (légalement défini comme montrant un mépris total pour la vérité), mais le jury n'accorda aucun compensation financière à Byrd. Ayant entendu beaucoup de choses douteuses, le jury apparently did not much care for either Byrd or Randi. The jury did find in favour of CSICOP, agreeing that in this case there was no agency relationship present between it and Randi. Bien que Byrd ait légalement gagné, l'absence de compensation financière fit de sa victoire une victoire de victoire à la Pyrrhus. En dépit du verdict du jury et des frais de justice élevés borne par Randi (estimés avoir été de l'ordre de 150000 $, des coûts non couverts par l'assurance légale du CSICOP), Randi déclara a plusieurs reprises avoir "gagné", parce qu'aucun dommages et intérêts n'avaient été accordés à Byrd.

Dans le même temps, en 1990, Geller poursuivit Randi et la maison d'édition Kodansha au Japon. Dans une interview de l'année d'avant pour le magazine Days Japan, Randi déclara que le metallurgiste Dr. Wilbur Franklin (qui avait validé le fait que Geller tordait du métal par la pensée) était tellement honteux lorsque Randi discrédita Geller que Franklin se suicida. Randi décrivit aussi Geller comme un "sociopathe" insensible. En fait, le certificat de décès de Franklin montre qu'il est mort de causes naturelles. Cependant Geller 🤥Geller, Uri intenta une action là-dessus aux Etats-Unis fin 1989, de sorte que peu d'exemplaires du magazine avaient été vendus au Etats-Unis et qu'il fut forcé de déplacer sa poursuite à Tokyo. En septembre 1992, Randi écrivit à la cour japonaise disant qu'il ne pouvait se permettre d'engager une representation ou de venir au procès se défendre lui-même parce que ses frais de justice dans ses diverses affaires à cette époque dépaissaient les 220 000 $ et qu'il était financièrement éreinté. En mars 1993, la cour trancha que les remarques de Randi avaient été une "insulte" à Geller et accorda un jugement contre Randi pour 500000 Yen (environ 2000 $) (on rapporta qu'un jugement sur le cas de Geller 🤥Geller, Uri contre Kodansha serait annoncé en mai, mais cela semble avoir été réglé hors d'une cour).

En février 1992, Geller et son beau frère, Shipi Strang, poursuivirent en Hongrie un journal qui en janvier publia une interview de Randi disant que Uri Geller et ses companions sont des escrocs, et que Strang avait aidé Geller dans sa supercherie. La poursuite ne fut pas intentée contre Randi. Geller dit que, ayant des parents en Hongrie blessés par les attaques, sa préoccupation principale fut d'obtenir une retractation rapide du journal. La cour trancha en faveur de Geller et Strang, et beyond making the newspapers pay Geller and Strang's legal costs, made them publish a retraction and pay damages of 6000 Forints (environ 75 $).

En février 1992, Geller entama une poursuite à Londres contre Prometheus Books (branche U.S. comme U.K.) et le professeur Victor J. Stenger. C'était contre le fait que Stenger et d'autres auteurs de Prometheus Books aient affirmé à tort que Geller avait été arrêté et condamné en Israël pour s'être présenté à tort comme voyant. Cette histoire, qui fait la confusion avec une poursuite civile contre Geller with a criminal action, semble avoir démarré dans le 1er livre de Randi sur Geller, mais la date de publication de ce livre était bien au-delà de la date de prescription. Ces derniers auteurs semblent s'être basés sur la première version de Randi. Geller entame une poursuite similaire en avril contre Stenger et Prometheus en Floride, et en novembre contre Stenger à Hawaii. La poursuite de Floride fut entamée après la date définie de prescription. Tranchant que l'avocat de Geller l'avait fait en connaissance de cause, la Cour ordonna à Geller de payer les frais de justice de Stenger (initialement autour de 49 000 $ mais finalement réduits autour de 20 000 $, que Geller paya). La poursuite de Hawaii fut abandonnée lorsqu'elle, aussi, rencontra un problème de date de prescription. Sur ce lot de litiges, cela ne laisse active que la poursuite à Londres, et elle finit par faire partie de l'arrangement final.

Durant tout cela, la poursuite contre Randi et le CSICOP à propos de l'interview de l'International Herald Tribune churned forward. Le CSICOP motioned qu'elle soit dropped de la poursuite qui était vraiment contre Randi. L'avocat de Geller, qui connaissait des problèmes de justice lui-même, ne put répondre à la motion d'écart du CSICOP. Sa motion sans opposition fut donc accordée. Le CSICOP fit alors valoir que cela montrait que le cas contre avait été frivole, et la cour descerna au CSICOP ses frais de justice, sanctionnant Geller d'environ 150000 $. Randi se battait maintenant seul sur le cas. Sur sa hot-line informatique et à ceux assurant le financement de sa défense, Randi répéta qu'il était impatient d'aller au procès pour mettre au jour Geller en forçant un test de ses prétendus pouvoirs de voyance et de tirer de supposées nouvelles grosses cartouches contre Geller. Les commentaires publics de Randi prirent toujours l'offensive, et un étranger à la loi aurait pu croire à tort que la charge de la preuve en cour allait reposer sur Geller plutôt que sur Randi.

Geller fit appel du jugement de la cour qui avait dropped le CSICOP de la poursuite et ordonna qu'il paie ses frais de justice d'approximativement 150 000 $, mais son appel fut rejeté. Geller négotia alors un package de compromis avec le CSICOP. Geller accepta de payer au CSICOP un total de 70 000 $ (40 000 $ immediatement et les 30 000 $ restant sur les 3 années suivantes) plus promising them the first 50 000 $ of any judgment he might receive from suing his attorney for malpractice for not filing to oppose CSICOP's motion dropping them from his case against Randi. Geller also agreed to drop his suit in London which, given the more protective British laws against libel, he had a good chance of winning and likely would cost CSICOP a great deal more to defend. Geller also accepted a written apology and acknowledgment of error from Paul Kurtz for Prometheus Books.

En plus de ses avocats, frais, les sanctions dans tous ces cas coûtent à Geller près de 90000 $. Le CSICOP indiqua dans ses Skeptical Briefs que les litiges avec Geller leur avaient coûté au moins 250000 $ (peut-être plus que tout ce qui aurait pu être payé par la couverture d'une assurance quelconque).

En 1995 Randi n'avait plus de fonds substantiels (il dit que l'argent de son prix MacArthur avait été used up, and he reportedly was represented by an attorney working pro bono). CSICOP was no longer party to the suit, and Geller decided to drop his suit, now only against Randi. Despite Randi's earlier statements expressing his strong desire to get into court against Geller, he apparently decided to cut his losses, for he signed an agreement that would allow matters to end and agreed not to counter-sue. On his side, Geller agreed not to pursue collection of his Japanese judgment against Randi.

During these litigations and since, le CSICOP a repeatedly described Geller's suits as frivolous "slap suits" and has given the impression that the litigation centred on the issue of Geller's purported paranormal powers. Its supporters seem to have been kept in the dark about the actual complaints in Geller's libel suits, most of which had nothing to do with his psychic claims at all. CSICOP used Geller's suits as a rallying cry for fundraising and although Geller's suits are now closed, CSICOP still uses memory of them in its fund appeals. As for Randi, despite his catastrophic financial costs, he continues to proclaim that he has "won" every suit against him, ignoring the actual court judgments and treating any suits dropped as suits won.