Les planètes

Swords, Michael D.Swords, Michael D.: Journal of UFO Studies, New Series 1, 1989, pp. 67-102, 1989

Alors qu'il n'y a pratiquement aucune confusion sur le grand nombre d'étoiles adéquates, il y a un désaccord apparent sur les systèmes planétairs autour d'elles. Ce "debat" s'évapore en une quasi-uniformité d'opinion une fois qu'il est unraveled, cependant. Les planétologues et astronomes d'observation are arguing about whether clear evidence exists as yet for an extra-solar planetary system, leading some listeners, perhaps, to conclude that scientists think that planets are rare. Actually, astronomers are nearly universal in their belief that although planets are extremely difficult to detect with our current tools, they are commonplace, almost ubiquitous in the galactic disk. David Black, un des planétologues les plus éminent, a déclaré que Les théories planétaires actuelles suggèrent que les planètes devraient être la règle plutôt que l'exception s1Black 1987. En fait il affirme que si, une fois que notre technologie s'améliore, nous n'arrivons pas à trouver de grands nombres d'autres systèmes planétaires, nous devrons réviser toute notre théorie sur la formation d'étoile.

La confiance en l'existence de nombreux systèmes planétaires n'est pas basée que sur de la pure théorie. Plusieurs lignes de recherche ont indiqué la probabilité écrasante de tels systèmes. Elles incluent :

  1. Puisque, en termes de mécanismes de formation, étoiles et planètes ne diffèrent les unes des autres qu'en terme de quantité de masse originellement impliquée dans leur condensation, la formation d'une 2nde étoile orbitant près d'une primaire n'est essentiellement pas différente de la formation d'une grosse planète. Les étoiles multiples sont, par conséquent, des systèmes planétaires où au moins 1 "planète" s'est condensée à partir d'un lump of the cloud qui était si grand qu'il a permis une fusion nucléaire dans le cœur, et la "planète" est devenue auto-lumineuse, une 2nde étoile. Nous pouvons voir et compter de tels "systèmes planétaires" assez facilement. Près de la moitié des étoiles de notre disque semble être dans de tels systèmes, et sur la base de cette seule observation le phénomène d'une plus grande masse avec de plus petites masses lui étant alliées doit être courant. A moins qu'il y ait quelque chose d'imprévisiblement unique sur les objets de taille stellaire qui favorise leur formation tout en bloquant celle d'objets de la taille d'une planète légèrement plus petits, les systèmes planétaires doivent au moins être aussi courants que les étoiles doubles.
  2. Notre propre système solaire produit plusieurs, pas un, exemples de ces systèmes. Non seulement do we have our system at large, mais aussi plusieurs mini-systèmes dans les lunes des planètes joviennes. De grands centres-de-masse en rotation semblent acquérir naturellement des corps secondaires tournant autour d'eux. Un fait supplémentaire intriguant que la composition en éléments de notre système solaire correspond précisément à la composition du disque galactique mène à une intuition supplémentaire quant à la normalité de notre situation. Etant donnés similar basic materials and forces, ce qui a eut lieu ici devrait avoir eu lieu ailleurs dans la galaxie as standard practice. Les planétologues proéminents John Lewis et Ronald Prinn disent : Il est largement, mais pas universellement, accepté que les étoiles se forme à partir de nébuleuses modéremment denses constitués de gaz et de poussières avec overall elemental abundances essentially identical to those in the sun and in other normal (Main Sequence) hydrogen-burning stars s2Lewis & Prinn 1984.
  3. Plusieurs mesures physiques ont indiqué l'existence probable de planètes autour d'étoiles proches spécifiques. Ces mesures incluent gravitational tugs or wobbles caused by the pull of large unseeable objects on the stars, or infrared indications of circumstellar disques de poussière (accompagnements attendus de la formation de planète), ou le lent mouvement rotatif des étoiles (as if they had transferred some of their rotary motion to other bodies which now revolve about them) s3Hobbs 1986 s4Hecht 1987 s5Gatewood 1987. Le travail récent de Campbell sur le décalage Doppler semble confirmer nos attentes positives sur the common occurence of planets around nearby stars s6Waltrop 1987.

Les conclusions ultérieures de presque tous les théoriciens planétaires et astronomes sont optimistes et éminemment raisonnables :

  1. Les planètes constituent une caractéristique ordinaire naturelle du cosmos ;
  2. Seule notre technologie inadéquate nous empêchent de régler directement la question. A cette position, l'auteur voudrait ajouter le corolaire suivant, qui est la vision de pratiquement toute personne intéressée par les IET ;
  3. Probablement toutes les étoiles semblables au Soleil dans le disque galactique, telles que définies ci-dessus, auront des systèmes planétaires. Dans le termes de l'équation de Drake, la fraction des "soleils" qui sont accompagnés de planètes est très proche de l'unité (fp = 1). Il y a peut-être 6 à 15 milliards d'étoiles du disque semblables au Soleil associées à des systèmes planétaires.