James Edward Oberg

"Jim" Oberg naît le mardi 7 novembre 1944 à New York (USA).

Il entre à l'Université Ohio Wesleyan où il obtient une licence en mathématiques en 1966.

Par la suite, il entre à l'Université Northwestern où il obtient une maîtrise en mathématiques appliquées (astrodynamique) en 1969 (où il est aussi formé à la NASA). Là, il commence un doctorat en mathématiques, mais en l'année suivante est mobilisé dans l'USAF, où il travaille sur la modélisation d'armes laser et nucléaires.

Il intègre ensuite l'Université du Nouveau-Mexique où il obtient une maîtrise en informatique en 1972. Il travaille à l'Institut d'Informatique du DoD, où il participe à la conception et la mise au point de ARPANet.

NASA

James Oberg
James Oberg

Oberg occupe un poste d'ingénieur spatial au Johnson Space Center de la NASA à Houston depuis 1975. Il est spécialisé dans les opérations de rendez-vous orbitaux avec la navette spatiale (il est l'auteur de divers ouvrages et a reçu divers prix techniques concernant le sujet), et le programme spatial russe.

Il est l'auteur de plus de 10 ouvrages et d'un millier d'articles dans des magazines ou journaux sur l'ensemble des aspects du vol spatial s1Oberg, J. E. : Red Star in Orbit - portrait de l'intérieur de l'histoire des activités spatiales soviétiques en 1981 s2Oberg, J. E. : New Earths, premier traitement non-fictionnel du sujet éloigné de la "terraformation" ou de l'"ingéniérie plantétaire" s3Oberg, J. E. : Pioneering Space (avec sa femme co-auteure), une vision large et éclairée de l'aspect humain dans l'expérience du vol spatial s4Oberg, J. E. : The New Race for Space, décrivant le développement et les prospectives pour une coopération rapprochée entre américains et russes dans le domaine du vol spatial s5Oberg, J. E. : Uncovering Soviet Disasters, une analyse du secret et des failles technologiques en ex-URSS. s6Oberg, J. E. : Theory of Space Power, commandé par le Commandement Spatial US, décrivant comme les États-Unis ont acquis une supériorité spatiale et comme ils peuvent l'exploiter et la maintenir pour le siècle prochain. Il participe à de nombreuses autres publications et est consultant pour des clients privés (chaînes de télévision) ou public comme le Congrès américain.

Ufologie

James Oberg
James Oberg

Membre du CSICOP, Oberg porte un regard critique sur nombre de prétentions extraordinaires liées aux ovnis, en particulier dans l'espace s7Oberg, J. E. & Schaeffer, R.: "Pseudoscience at Science Digest", The Zetetic, 1977-09, pp. 41-44 s8Oberg, J. E.: "The Failure of the 'Science' of Ufology", New Scientist, 1979-10-11 n1Critiqué par Ronald Westrum. s9Oberg, J. E.: Ufos and outer space mysteries: a sympathetic skeptic's report, Norfolk, Virginie, Donning Co., 1982 s10Oberg, J. E.: "The Great Soviet UFO Coverup", MUFON UFO Journal, 1982-10 s11 Oberg, J. E.: "The Black Box Approach To UFO Perceptions", The Fourteenth International Conference on the Unity of the Sciences Houston, Texas, 28 novembre/1985-12-01 - Discussion de l'article de Bruce Maccabee "UFOs: Fantasy or Present Reality?" s12Oberg, J. E.: "Case Studies In Pilot Misperceptions Of "UFOs", Paranet, 1994-05-15 s13Oberg, J. E.: "UFO Update", Omni, 1981-07.

Oberg commenta l'observation de son collègue astronaute James MacDivittMac, Divitt James, en indiquant qu'il s'agissait du 2ᵉ étage de la fusée Titan qui venait de mettre Gemini 4 en orbite. Timothy GoodGood, Timothy fit remarquer dans un livre paru en 1996 : Si tel est le cas, la seule chose demeurant inexplicable est qu'apparemment McDivitt a été incapable de reconnaître sa propre fusée !.

Oberg a notamment défendu la thèse officielle de la NASA sur l'affaire de la video de STS-48.