Costa De Beauregard naît à Paris.
Son instruction se fait au sein de sa famille, par son père, et par les différents nurses, abbés et précepteurs recrutés par ses parents, jusqu'à ce qu'il entre en 1ʳᵉ à Sainte-Croix-de-Neuilly. En il est admissible à Polytechnique, mais décroche et s'accorde 2 années sabbatiques, consacrées au sport et à lecture. En il obtient une Licence de Physique générale. Il fait son service militaire, finissant sous-lieutenant d’artillerie.
En il devient ingénieur de recherche à la SNCASE, où il résout par un pendule le problème de la mesure des traînées (voir sa première sa note à l'Académie des Sciences Sur le problème de la mesure précise des traînées).
En il est mobilisé comme lieutenant d’artillerie. Il profite des temps libres que lui laisse la "drôle de guerre" pour reprendre ses lectures et ses réflexions.
En après sa démobilisation, il renonce à une carrière dans l'industrie pour rejoindre le groupe de Louis de Broglie à l'Institut Henri Poincaré et entre CNRS, dans la section de physique théorique. En il soutient sa thèse de doctorat sur la théorie de l'électron de Paul Dirac, sous la direction de Louis de Broglie. Il intègre l'équipe de ce dernier, consacrant ses recherches à différents aspects des théories de la relativité et de la mécanique quantique.
En il développe devant DeBroglie l'hypothèse d'une causalité rétrograde, un principe permettant, selon lui, de penser le paradoxe EPR et de rendre compte des diverses variantes de l'expérience d'Alain Aspect.
Pour Costa de Beauregard, les phénomènes parapsychologiques, tels que la psychokinèse, la télépathie et la précognition trouvent leur explication dans son principe de la causalité rétrograde.
En à Princeton il révéle en privé les implications parapsychologiques de sa causalité rétrograde en physique quantique.
Il dévoile de plus en plus ses opinions sur le sujet, jusqu'au Colloque de Cordoue, où il figure, avec Josephson, Bohm et Capra, parmi quelques physiciens affirmant que les phénomènes parapsychologiques existent et ne contredisent pas la physique
. Quand il s’avisa d’une analogie possible entre la psychokinèse et les états corrélés en mécanique quantique, il essaya de prouver qu’elle en était une réalisation expérimentale, et s’est lancé sans succès, avec son habituel enthousiasme, dans la vérification expérimentale de la parapsychologie2.Il participe au collège invisible .
En , il est nommé directeur de recherche au CNRS. Il consacre ses recherches à différents aspects des théories de la relativité et de la mécanique quantique.
Il s'intéresse au paranormal, devenant conseiller scientifique (avec Remy Chauvin) de la Fondation Odier De Psychophysique. Parmi
les livres et articles qu'il publie , en
certains sur la nécessité d'étudier le sujet
.
Il préface un livre de texte de Aimé Michel .