Apollo 12

Eclair lumineux au-dessus d'un astrononaute d'Apollo 12
Eclair lumineux au-dessus d'un astrononaute d'Apollo 12

Le vendredi 14 novembre 1969, la mission Apollo 12 commence à 600 m d'une station instrumentale posée quelques mois plus tôt, après un alunissage automatique. La caméra de télévision en couleur qui doit filmer la marche des astronautes vers ce laboratoire tombe officiellement en panne. En fait, l'image est coupée dans la salle des journalistes et ne sera pas retransmise au public.

Sur la photo ci-contre s1Facteur X 11-281 prise au cours de cette mission, on distingue une zone lumineuse au-dessus de la surface de la Lune. Plusieurs autres clichés pris au cours de cette mission font état de lueurs, comme un cliché pris depuis le module Yankee Clipper.

Également étrange est le phénomène détecté par les instruments déposés : des séries de petites secousses survinrent à intervalles réguliers.

De la vie sur la Lune ?

On pense généralement que, au moins en une occasion, des germes infectieux ont été rapportés de la Lune.

Lorsque l'équipage rapporte des pièces du robot Surveyor 3, resté 2 ans sur la Lune, les cultures effectuées par la suite à partir d'échantillons pris en divers endroits produisent un résultat positif — des spores Streptococcus mitus viables sont trouvées dans un échantillon pris à l'intérieur de la boîte de caméra de Surveyor.

Les Microbiologistes ne sont pas tous surpris de la découverte, les températures dans le matériel à la surface de la Lune étant restées dans l'échelle que l'on sait supportée par les spores microbiennes, même s'il a aussi été dans le vide (et des spores viables ont été récupérées d'un appareil parès des mois ou même des années en orbite terrestre).

Malheureusement, le technicien collectant les échantillons lunaires en vendredi 14 viole le protocole d'isolation en plaçant les nouveaux échantillons sur la surface d'une table non-stérilisée. Les résultats positifs pourraient donc avoir été causés par quelqu'un ayant éternué dans la pièce le jour d'avant.

Même s'il est intriguant que l'échantillon positif est celui pris dans la zone la plus protégée de l'intérieur du matériel, la découverte doit être soulignée comme intéressante si elle est vraie, et condamnée à balancer dans une perpétuelle ambiguïté s2Oberg 2001.