La DRM reçoit Alain H. Boudier et Jean-Gabriel Greslé, puis rédige un rapport examinant les implications du phénomène ovni en
matière de Défense : après un historique succinct de la phénoménologie ovni depuis la fin de la 2de guerre
mondiale, ces 2 spécialistes abordaient l'effort de recherche ufologique aux USA, en particulier : le rôle,
l'origine, l'intérêt et les conclusions des différentes agences gouvernementales américaines (CIA, NSA, DIA, USAF, Navy, AMC - premiers à s'intéresser officiellement au sujet) et des différentes
commissions d'enquête constituées (Sign, Grudge, Twinkle, Robertson,
Blue Book, Condon). Mues initialement par la crainte que les
étranges phénomènes observés durant la guerre ("foo
fighters", fusées "fantômes" des pays
nordiques, etc.) soient le fruit de percées technologiques russes dans le domaine aéronautique, ces agences sont
rapidement arrivées à la conclusion qu'il n'en était rien et n'ont cessé de minimiser par la suite leur implication
dans le domaine ufologique ainsi que tout élément étayant l'HET des ovnis. Boudier rappelle ensuite le cas français du GEPAN puis
le SEPRA. Après un point sur les moyens dont bénéficiait le GEPAN et sur l'échec des démarches prospectives auprès de diverses ambassades
pour le déploiement du projet SPOC, il relevait que l'avis du
conseil scientifique du GEPANen : certains des témoignages étudiés se rapportent
à des objets appartenant à des machines volantes dont la provenance, le mode de sustentation et de propulsion sont
étrangers fut relativisé par des études de psychologie de la perception et des processus d'influence. Il
s'interrogeait sur la régression paradoxaleGEPAN vers SEPRA de en puisque le travail de ce dernier se limite à la
rédaction de notes de synthèse à partir des données glanées par le GEPAN.
Robert Durand entame une édifiante étude statistique des
enlèvements extraterrestres. Son rapport indique que 5 millions d'Américains prétendent avoir été enlevés au cours
des 50 dernières années... ce qui signifie 274 enlèvements par jour, impliquant une équipe de 1644 extraterrestres :
en effet, 6 extraterrestres en moyenne participent au kidnapping décrit par les "enlevés".
L'équipe de la mission STS80La video de la NASA montrant des ovnis depuis la navette spatiale de la mission STS80
La video de la NASA (ci-contre) montrant des ovnis depuis la navette spatiale de la
mission STS80 (photo équipe ci-contre).
Une bande vidéo issue d'une caméra de sécurité de la base de l'USAF de Nellis est communiquée clandestinement à des ufologues. Sur cette
vidéo, on voit un engin métallique s'élevant dans le ciel. Ces images seront authentifiées par plusieurs analystes
militaires, experts dans les questions de défense, notamment par Bill Sweetman, spécialiste de la technologie des
avions furtifs.
et Jean-Gabriel Greslé, puis rédige un rapport examinant les implications du phénomène ovni en
matière de Défense : après un historique succinct de la phénoménologie ovni depuis la fin de la 2de guerre
mondiale, ces 2 spécialistes abordaient l'effort de recherche ufologique aux USA, en particulier : le rôle,
l'origine, l'intérêt et les conclusions des différentes agences gouvernementales américaines (CIA, NSA, DIA, USAF, Navy, AMC - premiers à s'intéresser officiellement au sujet) et des différentes
commissions d'enquête constituées (Sign, Grudge, Twinkle, Robertson,
Blue Book, Condon). Mues initialement par la crainte que les
étranges phénomènes observés durant la guerre ("foo
fighters
", fusées "fantômes"
des pays
nordiques, etc.) soient le fruit de percées technologiques russes dans le domaine aéronautique, ces agences sont
rapidement arrivées à la conclusion qu'il n'en était rien et n'ont cessé de minimiser par la suite leur implication
dans le domaine ufologique ainsi que tout élément étayant l'HET des ovnis. Boudier
