Dès que filtra le mot que, moi, coordinateur de l'IRI et auteur de la Déclaration de Roswell, avait inversé mon
opinion sur Roswell, des accusations du genre
c'est un agent du gouvernement
ou ils ont fini par l'avoir
apparurent immédiatement dans des posts sur
Internet et ailleurs. Bien qu'il ne soit généralement pas prudent de se risquer à donner à une telle idiotie ne
serait-ce qu'un soupçon de respectabilité en la prenant en compte publiquement, j'adresserai la question ici,
néanmoins, dans la mesure où les accusations semblent si répandues.
Primo, aucun individu ou agence n'a jamais tenté de m'influencer ou de faire pression sur moi de quelque manière, aspect ou forme — concernant Roswell ou quoi que ce soit d'autre. De plus, si Roswell était vraiment arrivé et qu'il y avait eu une tentative quelconque de m'intimider, une telle action aurait été la plus grosse erreur possible. Etant quelque peu rebelle de nature, j'aurais alors poursuivi la question avec vengeance, stimulé par le fait de savoir que j'étais vraiment sur quelque chose.
Secondo, je ne suis pas employé par le gouvernement en quelque capacité que ce soit. Ma seule occupation durant les 26 dernières années a été celle d'un pilote de ligne. Je suis employé par un des principaux transporteurs U.S. et vole actuellement sur des routes internationales, principalement vers l'Europe. Bien que je n'aie jamais vu un ovni, j'ai eut un intérêt sur le long terme pour le phénomène. Mon intérêt pour Roswell est venu en partie du fait que mon père, Arthur Jeffrey, un colonel de l'Air Force à la retraite, avait connu et travaillé au début des années 1960s avec une des figures-clé de Roswell, le général William Blanchard.
Bien que j'aie pensé pendant longtemps qu'il y avait une chance "significative" que Roswell ait impliqué un ovni écrasé, je n'ai jamais à aucun moment cru que c'était le cas avec une certitude absolue. Cependant, même si j'avais seulement pensé qu'il y avait une chance "mince" que Roswell ait impliqué le crash d'un vaisseau extraterrestre j'aurais continuer à poursuivre le sujet vigoureusement, parce que, si cela était vrai, cela aurait été l'histoire du millénaire.