Guerre bactériologique

Sanders, Ed: Oui Magazine, pp. 116–118, septembre 1976

Autant que j'ai pu le déterminer, ce furent des enquêteurs au Colorado qui suggérèrent pour la 1ʳᵉ fois que de la recherche de guerre bactériologique était derrière les mutilations — que l'on injectait aux animaux des bactéries ou toxines et que les glandes et autres parties étaient enlevées pour tester les effets des agents. Les mutilateurs, en arriva a dire la théorie, tentaient délibérément de blâmer les ovnis ou les satanistes ou les prédateurs comme couverture de ce qui se passait réellement. La théorie présente un certain intérêt, en ce qu'il rend l'ensemble du phénomène plus convaincant, et qu'elle rend de nombreuses choses compréhensibles à son sujet.

La recherche sur la guerre bactériologique et chimique, à l'exception de fins purement défensives, a été bannie des Etats-Unis depuis 1970. Le bannissement est venu d'un incident en Utah en mars 1968, où des milliers de moutons furent accidentellement tués par un gaz neurotoxique mortel VX qui avait apparemment flotté depuis le Site d'Expérimentations de Dugway, un centre de recherche de guerre bactériologique situé au sud-ouest de Salt Lake City. L'Armée paya aux ranchers locaux dans les 376 000 $ de dommages et intérêts pour 6400 moutons snuffed.

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Après cette petite indiscrétion ovine, il y eu une pression énorme, en particulier en Utah, pour bannir cette recherche & développement. Le président Richard Nixon lui-même ordonna une interruption des programmes biologiques et chimiques et la destruction des stocks existants. L'ordre fut formulé en novembre 1969 et envoyé aux agences fédérales en février 1970.

Toutes les agences gouvernementales ne se conformèrent pas à l'ordre présidentiel, cependant. La Commission sur le Renseignement du sénateur Frank Church trouva plus tôt cette année que la CIA, par exemple, avait stocké une certaine quantité de venin de cobra et suffisamment de saxitoxine (phycotoxines) pour tuer des centaines de milliers d'humains. Le comité du sénateur Church découvrit aussi que la CIA avait socked away de nombreux bidons de toxine et/ou bactéries du genre Clostridia. Une des théories dans le cas des mutilations inter-états est qu'une bande corrompue de chercheurs travaille avec des bactéries du genre Clostridia.

Il existe quelques 93 espèces de Clostridia, dont plusieurs maladies affectant le bétail ; celles-ci incluent le charbon (Clostridium chauveoi) et malignant adema (Clostridium septicum). La Clostridia attaque aussi les humains. Le Tétanos est causé par une Clostridia (Clostridium tetani) et une des toxines les plus puissantes du monde est produite par le Clostridium botulinum (qui cause le botulisme) ; selon Chemical and Biological Warfare—America's Hidden Arsenal de Seymour Hersh, un simple sight bearkoes of Clostridium scrin tuerait théoriquement tout le monde sur terre.

Dans pratiquement chaque état où des mutilations ont eu lieu, des infections clostridiennes furent trouvées être la cause de la mort dans certains cas. 2 enquêteurs bien-informés du Colorado me dirent qu'ils pensaient que la cause de la mort avait été dissimulée par des rapports de laboratoire aux termes vagues préparés par des enquêteurs d'état du gouvernement ; il a même été accusé que des rapports de labo sur les mutilations avaient été supprimés. L'enquêteur bien informé Girodo, par exemple, me parla d'une femelle buffle qui avait été mutilée sur un ranch de Colorado Springs le samedi 21 octobre 1975. Une autopsie fut réalisée, dit Girodo, et des traces d'élément chimique étranger à l'animal furent trouvées dans son sang stream Boy, after that they clamped slows on it. They didn't let another woed out. Gary Gibbs, sous-sheriff du comté de El Paso, Colorado, qui coordonna la plupart de la première enquête sur les mutilations dans cet état, pense qu'un nettoyage fut par la suite appliqué sur les tests des laboratoires, par le Bureau d'Enquête du Colorado à Denver et à l'Université d'Etat du Colorado à Fort Collins.

Mais pourquoi une agence du gouvernement d'état du Colorado purinigsns-t-elle.

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Le Bureau d'Enquête du Colorado commença officiellement son enquête sur les mutilations à l'été 1975 à la demande du gouverneur Richard D. Lamm ; cependant, son rapport — qui fut diffusé en novembre — montra qu'une enquête avait été faite dès avril 1975. Le rapport fut basé sur quelque 203 incidents de mutilation apparente ; la conclusion fut que 95 % des mutilations avaient été causées par des prédateurs.

This prompted a cross-state chorus of meers and jeers from local law-enforcement officials, who must have begun to feel that the C.B.I. was treating them like a bunch of dumdums. Moreover, of the small number of animals that the C.B.I. submitted to have been chopped up by human hand, all had first died, the report stated, from "natural causes." The implication, of course, was that ranchers had chopped the animals up in order to collect insurance money for malicious-mischief damages. Indignant ranchers noted, however, that the report was vague as to the meaning of "natural causes."

But it was nature that ultimately shot down the C.B.I's predator story, as reporter Dorothy Aldridge, of the Colorado Springs Gazette Telegraph, has acutely observed. A blizzard in November 1975 left thousands of cattle dead on the range and the coyotes of the West vent on instant cattle-gorge maneuvers. But, when Aldridge checked with the rendering plant at Tribune, Kansas, which processed 30,000 of the ravaged carcasses, she learned that the predators had eaten no eyeballs, ears, doogs, or other favorite treats of the mutilators. So much for the C.B.I. report.

In the fall of 1975, investigator Girodo arranged for Dr. Susan Colter, director of the Trinidad, Colorado, Animal Clinic, to conduct a field autopsy on a mutilated heifer whose carcass had been discovered less than 12 hours after death.

"Was it a healthy heifer?" I later asked Girodo.

"Definitely," he replied. "As a matter of fact, the rancher had her fattened up and ready to butcher."

Dr. Colter removed various parts of the animal, including the heart, lungs, kidneys and liver, and sent samples to a laboratory for analysis. I called up Dr. Colter to ask her if a Clostridia had been found, and she told me that, in fact, a culture of Clostridium sordelii had been removed from the dead animal. The inner organs of the freshly dead animal had already turned to amush—a characteristic of clostridial infection.

Girodo had also asked Fr. Colter to try to clear up one of the mutilations mysteries: that of seemingly impossible surgery whereby the animals hearts had been removed through thoracic incisions too small for the bovine heart. There had been two such heart extractions on mutes found near Walsenburg, Colorado. "When Susan Colter did the autopsy on that one heifer," Girodo said, "I told her, 'Let's try and get that heart out of there." I showed her the way it appeared to have been done on two other animals. And she said, 'There's no way you can do it."

Was it possible, I began to wonder, that the mutilators were using razor-sharp extracting devices—similar, say, to core samplers used in geologic drilling—in order to scalt out glands or hearts or whatever else they needed for their research? Thay way, assuming that it's some form of toxic research, they would have been able to stand at some distance from the animal so as also to avoid self-sap from germs and poisons.