Capacité et philosophie d'enquête

Roy F. CraigCraig, Roy F., 1968

En mai 1967 des équipes d'enquêteurs du projet étaient disponibles à tous moments pour des enquêtes sur le terrain et furent geared pour rejoindre un lieu d'observation n'importe où dans les Etats-Unis dans les 24 h suivant la réception du signalement initial. L'équipement emporté variait en fonction des besoins prévus. Un kit de terrain standard field permit à l'équipe de prendre des photographies 35 mm et des films 8 mm, de contrôler le spectre d'une source lumineuse, mesurer la radioactivité, vérifier les caractéristiques magnétiques, recueillir des échantillons, mesurer des distances et angles, et enregistrer sur bande des interviews et des sons (voir la liste d'inventaire, annexe K). Un équipement spécial, tel qu'un détecteur ultrasonique (cas 20) et un équipement radio bidirectionnel, fut utilisé dans certains cas. Une caméra plein-ciel fut installée et utilisée pour une série d'enquêtes de terrain (cas 27). Dans ce cas, l'enquêteur établit une base des opérations en un lieu depuis lequel les signalements d'ovnis étaient générés, fit connaître sa présence, et eut un aide qui recevait les appels téléphoniques et lui relayait immédiatement les signalements d'ovnis dans son automobile équipée d'un téléphone. Il surveyed the area in this manner for several weeks.

Dans certaines enquêtes, un seul enquêteur fut considéré comme suffisant, mais la plupart des équipes enquêtrices consistèrent en un physicien et un psychologue. Bien que chacun eut son propre domaine d'intérêt spécial, ils s'assistaient mutuellement dans tous les aspects de l'enquête. Dans quelques cas, le test psychologique d'individus ayant signalé des observations d'ovnis fut réalisé sur le terrain (voir, par exemples les cas 33, 38, 42).

Le but de l'enquête sur le terrain a toujours été d'obtenir des informations utiles sur les phénomènes ovnis. Nous n'avons pas considéré que notre fonction soit de prouver au-delà de tout doute qu'un cas était frauduleux s'il semblait l'être. Lorsqu'une enquête attint le point, comme cela arriva parfois, que la réalité de l'experience rapportée devenait hautement douteuse, il y avait peu à apprendre d'une enquête plus poussée. Si des pratiques illégales ou non éthiques était impliquées, nous avons considéré que l'obtention de preuves de cela comme étant hors du domaine de notre étude.