Tony LeVier, pilote d'essai chez Lockheed, sur les ordres de Kelly Johnson,
recherche un site éloigné pour tester le U-2. Il trouve Groom Lake et y retourne avec Kelly Johnson et un représentant de la CIA. Johnson décide de place la piste à l'extrémité Sud de Groom Lake. Les travaux
commencent sur l'installation sous la direction de Lockheed Skunk
Workss1Rich, Ben: Skunk Works, 1994.
Près du village d'Assas (région de Montpellier), par un temps humide, George D. (employé de la SNCF), accompagné de son chien de chasse, est en
train de ramasser des escargots avec une lampe-torche quand il voit approcher une grande lueur orangée à l'intérieur
de laquelle il discerne 7 lumières plus intenses de même couleur. Le phénomène progresse dans sa direction puis
passe au-dessus de sa tête, et il constate alors que les lumières oranges sont des objets structurés qui ont la
forme de toupies. Alors que ces toupies amorçent leur descente, des sortes de moustaches
émanent de leurs flancs. L'ensemble se pose en silence sur une aire de stationnement voisine, le long d'une pinède.
L'endroit est désert. Intrigué mais nullement effrayé, George D. décide d'approcher des toupies. Il en
dénombre 6, et se demande où est passée la 7ème. Son regard accroche alors une masse immobile et silencieuse,
suspendue au-dessus de lui. C'est la 7ème toupie. La chose descend et s'immobilise à 6 m au-dessus de sa
tête, s'éteint, et émet un bruit qui ressemble à un bourdonnement d'abeilles. Il s'agit d'une sorte de dôme de 3 m
de hauteur et de 5 ou 6 m de diamètre, de couleur gris métallique. Un cône de lumière en jaillit, l'inonde d'une
lumière blanche, et il se trouvé cloué sur place. Il reste là pendant 20 mn environ, immobile, incapable d'esquisser
le moindre geste. Puis, peu à peu, le pinceau de lumière perd son intensité, et il retrouve en quelques mn l'usage
de ses membres. L'objet suspendu au-dessus de sa tête se met en mouvement et va se poser avec les autres sur l'aire
de stationnement. Ayant retrouvé l'usage de ses membres, il entreprend d'approcher des objets. A ce moment, il
ressent un mal de tête et éprouve l'impression d'un "contact", comme si l'on fouillait dans sa tête. Une voix
intérieure lui demande de n'appeler personne. La zone orangée qu'il a vu s'approcher dans le ciel enferme comme sous
une cloche les objets posés au sol ; sa couleur à changé : elle est passée au jaune-orangé. Il approche encore. La
toupie la plus proche se trouve désormais à moins de 6 m. Alors il a le sentiment d'être en même temps attiré
vers la chose, et repoussé en arrière, et la voix intérieure lui ordonne de s'arrêter : Attention ! Au-delà de
cette limite, c'est la destruction assurée. Ne t'expose pas inutilement, ton sacrifice ne serait pas reconnu. Tu
n'en retirerais que de la moquerie, et peut-être davantage. Pense à tes filles et à ton épouse qui sont dans leur
lit et qui attendent ton retour. Ne te sacrifie pas inutilement. D'ailleurs, votre société n'est pas faite pour
comprendre et pour assimiler un phénomène de l'importance de celui que tu es en train de vivre actuellement.
Ecoute la voix de la sagesse et de la raison, n'insiste pas, retire-toi. Alors il obtempère et va se poster
sur une sorte de promontoire pour assister au départ des objets. Vers , la cloche lumineuse
redevient orangée, les toupies décollent l'une après l'autre, la formation retrouve son aspect initial et
s'évanouit dans le ciel. D. éprouve alors la sensation, surtout lorsqu'il se baisse, d'avoir un vide à la place du
cerveau. Sitôt rentré à son domicile, il raconte à son épouse ce qui vient de lui arriver. Le lendemain matin, sur
le conseil de cette dernière, il va voir le maire de son village pour lui relater son aventure et les 2 hommes se
rendent sur l'aire de stationnement où ils découvrent des filaments comparables à du papier argenté. Un peu plus
tard dans la journée, il s'avise qu'il a oublié de s'interroger sur le sort de son chien, qui se trouvait à ses
côtés juste avant l'observation. Il s'en inquiète, part à sa recherche et le retrouve dans la cour, en train de
courir après sa queue. L'aspect de l'animal à changé. Il est devenu bleu, son corps a gonflé, sa peau s'est
craquelée, laissant entrevoir des crevasses sanguinolentes. Dans la journée qui suit, la bête va littéralement se
décomposer. D. n'a pas même le temps de faire venir un vétérinaire. Le soir-même, il enterre dans un champ voisin la
carcasse sanguinolente de son compagnon de chasse. A partir de ce moment la vie de D. bascule. Sa santé se dégrade.
Il ira de médecin en médecin, souffrant de troubles mal définis, de nausées, de vomissements, de perturbations de
l'équilibre qui l'obligeront à prendre une retraite prématurée s2Méheust, B.: Science Fiction et Soucoupes Volantes
, Terre de Brume, 2007.
Observation dans le comté de Travis (Texas)s3Cas Blue Book n° 3517 non résolu.