13 Décembre, la visite de retour

Adamski, GeorgeAdamski, GeorgeLeslie, Desmond, 1953

Parce que le visiteur avait promis de me rendre ma plaque n1NDT: de film photographique, je restais dans un état d'alerte constant. J'installais mon télescope de la propriété de Palomar Gardens dans un endroit où je pouvais avoir une vue sans obstacle au loin, y compris une longue étendue de l'océan, c'est-à-dire le type de paysage que ces pentes du Mont Palomar permettaient.

Le matin du samedi 13 je fus alerté par quelque chose dans les environs par des jets qui rugissaient au-dessus de moi. Au loin je vis un éclair, puis il disparut. Je fis remarquer aux autres présents que quelque chose était là et que ce pourrait être le vaisseau que j'avais rencontré dans le désert qui tentait de me rapporter mon support.

Je me demandais si les jets avaient réussi à le faire fuir, ou s'il allait attendre qu'ils partent, et réessayer.

Vers 21:00 je vis à nouveau un éclair dans le ciel et essayais d'orienter mon télescope dessus. Le ciel était maintenant dégagé de nos avions et j'espérais que la soucoupe que j'avais vue là-bas pourrait venir en tout sûreté, si c'était leur plan.

Bien sûr, en regardant continuellement pus l'observer planer silencieusement dans ma direction - un appareil iridescent semblant fait de verre émettant ses brillantes couleurs dans le soleil du matin ! Fasciné, je regardais. Avec un vide à la place de mon estomac et des frissons d'anticipation qui couraient le long de mon épine dorsale. Et il arriva ! C'était comme si le pilote de cet appareil savait que j'étais là et attendait ! Une chaude lueur d'espoir emplit mon être et je me disais C'est mon ami. Je vais le revoir ! Peut-être qu'il va atterrir ici. Peut-être...

Mais c'était espérer un peu trop. Alors qu'il survolait la vallée voisine, entre 2000 pieds et 3000 pieds de moi et environ 300 pieds à 500 pieds au-dessus de la vallée, il sembla s'arrêter et rester en survol stationnaire.

Avec la plus grande volonté je restreignait mon excitation dans un effort pour obtenir un très bonne photo cette fois. Je pris rapidement 2 clichés. Réalisant alors que le vaisseau était trop proche pour en avoir une vue d'ensemble sur le photo avec l'appareil photo dans cette position, je tournais sur l'oculaire et pris un autre cliché pendant qu'il était encore stationnaire. Je pris le 4ème cliché au moment où le vaisseau recommençait à bouger.

Par la suite, lorsque ce fut terminé, les 3 premières photos se révélèrent montrer de bons détails, tandis que la 4ème prise en mouvement se révéla floue, mais reste bonne.

Au moment où je changeais la position de l'appareil photo sur l'oculaire, je notais avec soin la taille de cette soucoupe en faisant des calculs mentaux et des comparisons avec des distances connues. Au lieu de faire 20 pieds de diamètre comme je l'avais supposé lorsque j'étais dans le désert, je trouvais qu'elle faisait à peu près 35 pieds à 36 pieds de diamètre n2Le lundi 9 février 1953 une petite flotte de "vaisseaux de reconnaissance", d'apparence identique à celui qui atterrit au Centre du Désert, fut observée au-dessus de Franklin (Virginie). On les décrivit comme faisant 35 pieds - 38 pieds de diamètre, faits d'un matériau argenté qui dégageait par moment une lueur rouge. Leurs cabines avaient des fenêtres rondes qui dégageaient une couleur bleuâtre. Ils furent pris en chasse par des avions à réaction qui furent rapidement distancés et réduits à chasser de l'air. . Autant que je puis en juger, elle faisait entre 15 pieds et 20 pieds de hauteur.

Alors qu'il approchait à probablement moins de 100 pieds de moi, et que sur un côté, un des hublots était légèrement ouvert, une main se tendit et le support-même que mon homme de l'espace avait emporté avec lui le 20 Novembre fut lâché sur le sol. Lorsque le support fut lâché, la main sembla faire un léger salut, juste avant que l'appareil me dépasse.

Je vis le support tomber et toucher un rocher en atteignant le sol. En m'y rendant pour le ramasser, je remarquais qu'il avait été un peu abîmé sur le coin où il avait percuté le rocher. Je me ramassais avec soin avec un mouchoir que j'avais en poche, et l'emballais ainsi de sorte que, s'il y avait quelque chose à l'intérieur, ou s'il y avait des empreintes sur l'extérieur, je ne les déteriore pas.

La plaque identifiais l'appareil comme était le même que celui que j'avais vu dans le désert, et le salut de la main m'indiqua que celui qui avait lâché le support était l'homme que j'avais rencontré.

On peut imaginer ma joie. Encore une fois ma conscience s'était élevée et j'avais été obligé de prendre conscience de faire partie de deux mondes en même temps.

En me dépassant, l'appareil traversa un petit ravin sur la propriété alors qu'il se déplaçait vers la base des montagnes du nord. Tombant sous la cîme des arbres, sa trajectoire passa très près du puit et d'une cabane de la partie haute de la propriété, et c'est là qu'il fut vu et photographié par d'autres que j'avais prévenu.

Il ne me fallu que quelques secondes pour traverser le ravin pour voir dans quelle direction allait l'appareil, s'il était toujours visible. Il était déjà hors de notre propriété ; mais au-delà, bas au-dessus des cîmes des arbres et près de la base des montagnes au loin, je pouvais clairement voir la soucoupe qui se déplaçaut rapidement vers l'Est, disparaissant dans la brume du matin.

Ravi de réaliser que mon ami de l'espace était revenu me visiter, ma seule pensée était maintenant d'aller chez le photographe pour voir ce que j'avais pu réussir à capturer. Donc bien que l'on fut samedi, un jour normalement bien rempli pour nous, je demandais à ce qu'on m'emmène à Carlsbad, à 40 miles de là, pour faire développer la pellicule. Mais je ne pris pas le support qui avait été déposé. Je le mettais en lieu sûr. Je voulais le garder jusqu'à ce que je décide quoi en faire exactement.

Mon intense curiosité concernant les pellicules exposées ne fut pas satisfaite ce jour-là. Le photographe n'était pas là. Et il ne reviendrait pas avant des heures ! Mais sa femme promit qu'il développerait les photos cette nuit et que si elles étaient intéressantes, il les apporterait le lendemain.

Tenant cette promesse, M. et Mme D. J. Detwiler, le photographe et sa femme, vinrent vers midi dimanche pour nous montrer ce que j'avais pu obtenir. Toutes les photos étaient très bonnes, avec les meilleurs détails que j'aie jamais vus dans aucune photographie de soucoupe.

Pendant quelques jours je gardais le support tel que je l'avais ramassé. Je me demandais s'il fallait la donner aux journaux pour le développement, ou laisser M. Detwiler le faire. J'essayais aussi de prendre une décision sur le fait d'enlever ou non les empreintes digitales qu'il pouvait y avoir dessus, s'il y en avait. Finalement je décidais de ne pas les laisser parce qu'elles would have been as identifying as the photographs. Et comme le vénusien n'avait pas voulu que sa photo soit prise, je n'allais pas essayer de le trahir en donnant ses empreintes.

Après avoir pris cette décision, j'apportais le support, tel que je l'avais enveloppé après l'avoir ramassé, à mon photographe habituel. Aucun d'entre nous n'était sûr qu'il y avait quoi que ce soit sans le support, mais juste pour être sûr, il suggéra que nous l'ouvrions dans une chambre noire, et s'il y avait quelque chose, il le soumettrais au processus habituel de développement. Sa raison fut que si la pellicule avait été développée, ce processus ne lui nuirait pas. Mais si elle n'avait pas été développée, elle serait ainsi protégée.

Une fois la photo développée, et avec les témoins présents, et qu'une épreuve fut tirée, il n'y avait plus trace de la photo d'origine - que je pris avant que le visiteur prenne le support - totalement effacée ; et elle était remplacée par un étrange photographie et un message symbolique, qui à ce jour n'a pas été complètement déchiffré. Plusieurs scientifiques travaillent dessus. Ils travaillent aussi toujours sur le déchiffrage des inscriptions sur les empreintes de pieds. Cela pourrait prendre du temps avant que tous considèrent que l'un de ces messages est décodé à un niveau satisfaisant.

À ma demande, des réprésentants de 2 agences gouvernementales vinrent me voir. Ces hommes écoutèrent attentivement ma description détaillée de tout ce qui était arrivé, mais ne montrèrent aucune surprise. Pas plus qu'il émirent de quelconques doutes concernant la véracité de mes déclarations. Ils ne me posèrent pas de questions. Ces hommes étaient très intelligent et well poised and it may be part of their jobs to display no reaction toward anything reported to them. But my reaction toward their attitude was that they realised I was giving them just another report of a type of happening not unfamiliar to them.

They did take a couple of my photographs of the craft, as well as a print from the dropped negative, which I gave to them.

And now as I conclude this earnest and serious recounting of what was truly the greatest experience that ever happened to me in my 62 years of Earthly life I realise that it may strain the credulity of many a reader, particularly those readers who have given little serious thought to the subject of flying saucers. I realise, too, that this whole subject has for certain oblique reasons not here discussed been beset by much ‘double talk‘ and because of this the subject has become, publicly speaking, a major mystery.

However, the truth about flying saucers does exist. There are space visitors in our midst. And they are here for a purpose. We may as well search out and acquaint ourselves with this truth and address ourselves to its challenges and ultimatums.

Surface-thinkers might like to conclude that I had had a very original dream. Or that I may be out to make money for myself in the field of science fiction. I can assure such persons that nothing is farther from the truth.

In the first place, consider that the sky is a tremendous expanse and those on the ground with minds also ‘grounded’ by earthly urgencies are necessarily little aware of what goes on up there. Visibility itself is short-ranged and fleeting. How much does the average person know of the comings and goings of even our Air Force, or of civilian air transportation ? Who, then, is to deny the reports of saucer sightings that over the years are piling up into the thousands ? Or who dares deny the authenticity of saucer photographs that are also piling up ? These sightings are world-wide.

But my word alone is not all that backs the foregoing story. There are those witnesses who solemnly stand to corroborate it. In addition, I have the tangible returned film bearing its strange message; and the cast of the footprints bearing also their enigmatical message. I relayed to my companions the promise of the spaceman that he would return the borrowed film and twenty-three days later one of them saw him return it and so keep that promise. And I have photographs to substantiate the fact that this promised return visit did take place. I cannot see where very much more substantiation can be needed nor expected unless it were merely numerical in nature. And by no stretch of the imagination can the craft in the photographs be called Earth craft

Now I am hoping that the spaceman will return again, and that then I will be granted more time to visit with him. Believe me, I am saving up questions. And many of my friends are also accumulating questions. Couldn’t it be possible that he might actually let me have a ride in his ship of the Great Ethers n3‘Ether’ in its metaphysical meaning rather than that connoted by modern physics. ? He would not have to invite me twice.


A deep analysis of events of the past makes me firmly believe that these people from other planets are our friends. I am convinced that their desire and their object is to help us and perhaps to protect us from even ourselves, as well as that they mean to ensure the safety and balance of the other planets in our system.

But if we continue on the path of hostility between nations of Earth, and if we continue to show an attitude of indifference, ridicule and even aggression toward our fellow-men in space, I am firmly convinced they could take powerful action against us, not with weapons of any kind, but by manipulation of the natural force of the universe which they understand and know how to use. I barely brushed against this force as it was being used in a subdued degree, yet I felt the effects of it for several weeks after the encounter.

I have but one sincere purpose in narrating the foregoing experience: my most urgent message and plea to every person who reads it is:

Let us be friendly. Let us recognise and welcome the men from other worlds ! THEY ARE HERE AMONG US. Let us be wise enough to learn from those who can teach us much — who will be our friends if we will but let them !