Mystère des "pluies rouges" au Japon

The Fresno Bee de Fresno (Californie, dimanche 11 octobre 1925
s1 RD B: Magonia Exchange, 16 juin 2007

La science s'efforce de percer le mystère des phénomènes signalés récemment au pays nippon, où les indigènes furent atterrés d'appréhension suite à pluie d'un fluide "plus de la nature du sang que de l'eau colorée"

Autres énigmes pour la science
La "pluie rouge" au Japon causa une grande consternation parmi les indigènes, qui furent frappés de terreur par l'étrange phénomène
La "pluie rouge" au Japon causa une grande consternation parmi les indigènes, qui furent frappés de terreur par    l'étrange phénomène

Lorsqu'un récent communiqué de Tokyo a amené la nouvelle d'une "pluie rouge" dans l'intérieur du Japon — une pluie qui apparaissait participer plus à la nature du sang que celle de l'eau — il y eut nombre de gens pour attribuer le phénomène soit à l'imagination everwrought des indigènes, soit prirent pour acquis que, d'une manière ou d'une autre, de la poussière volcanique rouge s'était mélangée avec l'humidité d'un nuage et que la "pluie rouge" en avait résulté.

Mais les enquêtes d'un certain nombre de météorologues et d'autres personnes intéressées in running down les phénomènes de ce type développèrent 2 faits très clairement. En 1er lieu, la "pluie rouge" était tombée. Il ne s'agissait pas du fruit de l'imagination. Secondement, la "pluie" n'était pas de la consistance ordinaire de l'eau, mais considérablement plus épaisse — un liquide épais et visqueux qui accrochait et collait, au lieu de courrir en flux solide.

Il y a eu nombre d'autres cas dans lesquels les "pluies rouges" sont tombées, et celles-ci ne sont en rien les seules précipitations inhabituelles venues du ciel, la liste des "énigmes" de ce type allant largement par centaines et comprenant des objets all the way de globules minuscules de matières gélatineuse en passant par des roches et pierres en taille considérable qui soit ont plu d'un ciel sans nuages, soit sont tombées au milieu de tempêtes violentes.

Strange pranks played by lightning have been photographed, as the accompanying etching of a fan-shaped display shows
Strange pranks played by lightning have been photographed, as the accompanying etching of a fan-shaped display shows

A la dernière variété appartient les "pierres de foudre," la base de l'une des croyances les plus profondément installées de races dont le folklore remonte à de nombreuses centaines d'années que des pierres sont projetées du ciel lors de certains types d'orages et que ces pierres doivent être trouvées là où ont frappé des bolts particularly heavy de foudre. Dans les langues des indigènes de Hollande, Belgique, France, Sumatra et Siberie ont les désigne sous le nom de "pierre de foudre." Dans la première littérature d'Angleterre et d'Ecosse elles sont appelées "hâches de tonnerre". Les espagnols et les portugais les appellent "pierre d'éclair," les brésiliens "éclairs de foudre," les natifs de Slavonie "flèches du ciel" et ceux d'Amboina "dent de tonnerre." Mais dans chaque cas la présupposition est la même — des signes projetés du ciel et accompagnés d'éclairs brillants de foudre.

Apparemment, des événements de ce type sont impossibles, puisque contredisant toutes les lois de la nature telles que nous les connaissons. Mais il ne peut y avoir le moindre doute qu'ils ont eu lieu en de nombreuses occasions, puisque, en plus de la légende que l'on peut trouver dans le folklore de presque tous les peuples primitifs, il existe un nombre de cas plus récents bien authentifiés où des "pierres de foudre" sont effectivement tombées.

Un des plus remarquables de ceux-ci fut observé près de Wolverhampton (Angleterre), à l'automne 1876, lorsque pour citer le rapport dans Nature et dans le London Times, une énorme boule de ce qui sembla être du feu vert tomba lors d'une violente tempête, autrement non accompagnée de foudre. Plusieurs personnes ayant observé la chute de la boule de feu vert visitèrent le point où elle avait frappé et trouvèrent une pierre hautement polie, totalement différente de tous dépôts minéraux du voisinage et tout aussi différente de toute météorite existante. Peut-être, arguèrent ceux qui maintenaient que les pierres ne pouvaient pas tomber du ciel, que cette pierre avait été là depuis toujours. Mais, si elle l'avait été, la coincidence de la foudre frappant directement au-dessus — sans parler du fait de l'avoir découverte devant les yeux de ceux qui ne l'avaient jamais vue auparavant — fut pratiquement aussi inexplicable que l'aurait été sa chute depuis les airs.

Une étrange apparition de feu céleste, pas très différente de celle décrite par l'évêque John S. Michaud à Burlington (Vt.), est ici reproduite à partir d'une photographie
Une étrange apparition de feu céleste, pas très différente de celle décrite par l'évêque John S. Michaud à    Burlington (Vt.), est ici reproduite à partir d'une photographie

Blinkenburg dans son traité sur le sujet des "Pierres de foudre" livre de nombreux cas similaire, dont la découverte de stone axheads sous des arbres qui avaient été frappés par la foudre à Malacca, Sumatra et Java, alors qu'en Afrique centrale des objets en forme de cale, hautement polis décrits comme des "hâches" ont été trouvés frappant dans des arbres qui avaient été touchés par ce qui sembla être la foudre. Pas plus que ces cas n'ont été limités à l'Asie et l'Afrique, 2 cas officiellement authentifiés d'événements semblables ayant existé en Prusse dans la 1ère partie du siècle dernier, alors que Meunier parle d'une "axhead" en sa possession qui tomba lors d'une tempête en Sicile, alors qu'une pierre d'un poids de 8 livres tomba à Londres en 1876. Toutes ces "pierres de foudre" variaient largement des dépôts minéraux dans le voisinage, et la science n'est pas parvenue à expliquer l'apparence ou l'origine d'aucune d'entre elles.

Puis, en plus des "pierres de foudre", il y a les phénomènes regroupés sous le titre de "pierres vivantes", qui ont été notées en un certain nombre d'occasions — des missiles qui semblaient avoir une activité propre, tombant des airs tout à fait comme s'ils avaient été perdus d'un avion montant à une hauteur qui l'avait rendu invisible.

Peut-être le cas le mieux connu de ce type — et il y en a eu un certain nombre de signalés par des témoins de caractère inattaquable — est celui auquel fait référence le London Times du dimanche 28. De dimanche 28 16 h jeudi après-midi jusqu'à dimanche 28 23:30 jeudi soir, indique un récit de l'événement étrange, les maisons du 56 et 58 Reverdy road, à Dermondsey, furent assaillies de pierres et autres missiles venant d'un coin indéterminé. 2 enfants furent blessés, chaque fenêtre des 2 maisons brisée et plusieurs articles de fourniture détruits. Bien qu'il y eut un solide corps de policiers répartis dans les environs et un cordon d'entre eux jeté autour des maisons en question peu après 8 h, ils ne purent trouvé aucune trace de la course du bombardement et ne purent découvrir aucun indice qui apporterait la moindre lumière sur le mystère. Des témoins occulaires déclarèrent que les pierres semblaient presque vivantes.

D'autres événements semblables eurent lieu à Palestine (Texas), en 1888; à Hills-boro (Illinois), en 1883, et à Kingston (Jamaïque), en 1808. A Bismarck (Dakota du sud), le soir du jeudi 22, la ville fut effrayée par une "pluie" de pierres silicieuses qui semblèrent tomber des airs, et plus tard une autre pluie de pierres intervint dans la même ville, mais au-dessus d'une zone légèrement différente. En aucune de ces occasions il n'y eut d'explosion signalée à portée ou de quelconque autre explication naturelle avancée à l'apparition des pierres qui semblèrent être dotées de vie et d'une activité propre.

La fameuse "pierre de glace" de Tarbes est un autre des étranges phénomènes qui appartient pour beaucoup à la même catégorie. Cette pierre tomba au milieu d'une tempête énorme à Tarbes (France), l'après-midi du samedi 25 juin 1887, ou, du moins, il fut naturellement supposé qu'elle était tombée lors de la tempête, un passant l'ayant ramassée immediatement après, son attention ayant été attirée par le fait qu'elle était couverte de glace, malgré la chaleur du jour inhabituelle pour la saison.

Tout d'abord on pensa qu'il s'agissait d'un grand grêlon qui, à travers des conditions climatiques monstrueuses, était tombé de lui-même. Mais lorsque l'enveloppe de glace externe fondit on put voir qu'à l'intérieur il y avait une pierre ou caillou, décrit par M. Sudre, professeur de l'Ecole Normale de Tarbes, comme faisant 5 mm d'épaisseur et 13 mm de circonférence, avec un poids de 2 g. Mais la partie la plus stupéfiante du mystère ne fut pas la présence de la pierre couverte de glace, aussi inhabituelle que ce fut, mais le fait que la pierre elle-même avait été taillée et formée par des moyens au moins semblables à la mentalité humaine, tandis que sur le disque apparaissait un certain nombre de caractères, clairement mais non profondément gravés — des caratères ne correspondant à aucune écriture connu de l'histoire.

Des scientifiques s'interrogèrent sur le problème. Les membres de l'Académie Française discutèrent du sujet sous tous les angles. Il fut traité en longueur dans les annales de la Société des Météorologues, dans La Nature et dans L'Année Scientifique, mais sans produire la moindre explication qui tendrait à montrer comment la pierre aurait pu arriver à l'endroit où elle a été trouvée. Ses caractères déchiffrés, son origine untraced, la "pierre de glace de Tarbes" reste à ce jour une énigme qui a défié toutes les tentatives de solution.

Une énigme du ciel du même accabit est la "chose" qui tomba à Amberst (Massachussetts), le dimanche 8 août 1819. Cet objet, qui aurait été différent de toute ce qui avait été observé auparavant, fut décrit comme étant tombé accompagné d'une lumière brillante et fut examiné et discusté par un certain nombre d'hommes instruits, dont le professeur Graves, de la Faculté de Dartmouth.

L'objet lui-même avait la forme d'une cuvette, d'environ 8 pouces de diamètre et de 1 à 1,5 pouces d'épaisseur, portant sur lui une nap semblable à celle d'un vêtement finement tissé. En ôtant cette nap une substance pulpeuse couleur buff fut trouvée. Ceci dégagea une odeur offensive et à l'exposition à l'air tourna au rouge vif et se désintégra bientôt.

Dans l'American Journal of Science de dimanche 8 pourrait être trouvé le récit de ce phénomène par le professeur Graves, accompagné d'éléments corroborants de la part de scientifiques qui examinèrent la chose du ciel avant sa désintégration générale. Leur éléments peuvent être résumés comme suit : Le soir du 8 août une lumière brillante, relativement semblable à la frappe d'un éclair, mais non accompagnée de tonnerre ou même d'un nuage orageux, fut vue en divers endroits d'Amherst. A l'extérieur de la maison du professeur Dewey fut entendu un son comme si un objet assez énorme avait frappé le sol, suivi d'une légère explosion. Le matin suivant, dans le jardin devant la maison de Dewey, fut trouvée une substance différente de toute qui avait été observé auparavant pour quiconque la vit et contenant une substance pulpeuse couleur buff de la consistance d'un savon mou, qui exhalait une odeur aggressive et suffocante. Après une expositions de quelques moments à l'air cette substance changea vers une couleur livide ressemblant à du sang véneux, absorbant rapidement l'humidité de l'air et se liquéfiant. D'où elle était venue ou ce qu'elle était personne ne l'a jamais découvert.

Un certain nombre d'années plus tard, le matin du samedi 11 mars 1876, un événement eut lieu dans le comté de Rath (Kentucky), qui apparut être contraire à toutes les lois connues de la nature, mais qui fut observé et certifié par des centaines de personnes — la chute depuis un ciel clair sur une bande de terrain de 100 yards de long et quelques 50 yards de large d'un grand nombre de flocons d'une substance qui sembla être de la texture de viande crue. Les "flocons" étaient de taille variable, allant en général de 1 à 4 pouces2, bien que 1 flocon qui fut préservé et soumis par la suite à une analyse microscopique ait mesuré 5 pouces de long par 3 pouces de large.

En plus du fait que ces flocons étaient descendus d'un ciel sans nuages, les témoins du phénomène s'accordèrent sur le fait que rien d'autre que cette substance tombante n'était visible dans le ciel à ce moment. Il n'y avait aucun chasseur dans le voisinage et aucune grande floppée d'oiseaux au-dessus pour expliquer la pluie soudaine de cette substance semblable à de la chair — et, même s'il y en avait eu, il aurait été difficilement possible que la chair des oiseaux ait été découpée en de telles tranches de largeur uniforme. Egalement, il y avait la question de pourquoi cela aurait dû tomber sur une bande étroite de terrain seulement.

Naturellement, l'événément étrange attira une large attention scientifique et un certain nombre de théories furent avancées pour l'expliquer. Le professeur Lawrence Smith, du Kentucky, dit que cela ressemblait au frai d'un reptile, mais admit qu'il ne pouvait nommer les espèces en question.

Et là la science fut contrainte de permettre "le phénomène du Kentucky" à rester — un événement remarquable, qui défie l'explication par toute théorie connue.

Parmi les nombreux récits authentifiés de "pluies de poissons" qui intervirent à Singapour, dans les Straits Settlements, le samedi 13 avril 1861, est probablement le plus remarquable. Suite à un tremblement de terre qui devasta une portion considérable de la ville arriva là un déluge si extraordinaire, résultan en l'accumulation de tant d'eau qu'en aurait contenu un lac de taille considérable. Durant 3 jours et nuit cette pluie descendit en torrents, et dans les bassins qu'elle forma au sol de grands nombres de poissons furent trouvés.

Un autre phénomène de l'air d'un type totalement différent eut lieu à Farlington (Vermont) le jeudi 27 juin 1907, lorsqu'une terrible explosion fut entendue à travers la ville et qui sembla être une boule de lumière qui fut vue tomber soit du ciel soit d'un énorme objet en forme de torpille. La "boule de lumière" explosa en frappant la terre avec une détonation qui fut audible sur des miles entiers.

L'évêque John S. Michaud en donnant ses impressions de l'étrange événement dit : Je me tenais engagé en conversation avec l'ancien gouverneur Woodbury et A. A. Buell, lorsque, sans le moindre avertissement, nous fûmes effrayés par ce qui sembla être une terrible explosion, à l'évidence très près de nous. En regardant vers l'est le long de la rue de la Faculté j'observais un crops en forme de torpille, stationnaire dans les airs, à environ 50 pieds au-dessus du sommet des bâtiments. Il semblait faire 6 pieds de long, la coque ou la couverture ayant une apparence sombre, avec ici et là des langues de feu émanant de points à la surface qui avait l'apparence de cuivre dépoli rougi par la chaleur. Bien que stationnaire lorsque je le vis pour la 1ère fois, cet objet commença rapidement à se déplacer pour finalement descendre vers le sud. Alors qu'il se déplaçait la couverture sembla se rompre en plusieurs endroits et à travers ces ruptures émanaient intensément des flammes rouges.

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