Quand les forces de l'ombre frappent

Nous sommes au début de l'année 1968 à Aix-en-Provence. Sur le Cours Mirabeau ensoleillé, Jimmy GuieuGuieu, Jimmy rencontre son ami René Borricand qu'il n'avait pas revu depuis un certain temps. Les 2 amis allèrent dans une brasserie pour évoquer le passé, le présent et l'avenir. Très vite, la conversation tourne autour des sujets qui passionnent les deux hommes l'ufologie, les faits réputés paranormaux.

As-tu entendu parler du château de Montfort ?

questionne René Borricand.

Jimmy secoue négativement la tête tandis que son ami poursuit :

Il s'y passerait des choses étranges.

Comment le sais-tu ?

Je connais très bien le propriétaire. C'est de la que je tiens l'information.

Cela m'intéresse énormément, réplique Jimmy, car je suis justement en train de préparer un ouvrage sur le paranormal.

Tu n'es pas le seul a être intéressé. Si tu as le cœur bien accroché, je peux arranger quelquechose avec le propriétaire.

Ce "quelque chose" fut arrangé avec le propriétaire qui accepta de recevoir dans le château plusieurs personnes, dont Jimmy GuieuGuieu, Jimmy, qui consigna dans un livre l'aventure terrifiante que le groupe vécut a Montfort. Il y eut en fait plusieurs aventures terrifiantes suivies d'uné trange "choc en retour" pour Jimmy GuieuGuieu, Jimmy. Les investigations au château de Montfort durèrent 2 ans et, subitement, après bien des peurs et des péripéties, le propriétaire chassa les visiteurs sans fournir la moindre explication. Attitude ambiguë, car jusqu'alors le propriétaire avait été d'un commerce agréable. C'est alors qu'intervint toute une série de malheurs qui frappa durement Jimmy GuieuGuieu, Jimmy, notamment sur le plan financier escroqué plusieurs fois, injustement traduit en justice, il connut de très mauvais moments jusqu'au jour ou le "cycle infernal" prit fin. Voici comment Jimmy raconte ce bien curieux hasard :

Vers le milieu de l'année 1971, je reçus de diverses régions de France et des pays voisins des lettres d'inconnus et d'inconnues... qui me connaissaient, qui possédaient mon adresse personnelle, qui semblaient ne rien ignorer de ma détresse. Le texte de ces lettres était toujours le même, ne variant pas d'un mot d'un correspondant à un autre, m'encourageant, m'incitant à ne pas céder à des idées fausses et destructrices, et m'enjoignant fermement de continuer ma tâche (...) Quelques mois plus tot, j'avais reçus la visite d'un groupe appartenant à un Ordre Initiatique. Michel G., de Lyon, s'était lui aussi procuré mon adresse et, (...) il me déclara sans préambule - Nous savons quelles épreuves tu traverses, quelles injustices tu es victime. Diverses sociétés et fraternités initiatiques apprécient particulièrement ce que tu sais "faire passer" dans tes romans de Science-fiction. Nous-mêmes t'en savons gré, d'autant plus que tu n'appartiens pas à notre Ordre dont tu as, pourtant, parfaitement compris les buts éminemment bénéfiques. Sache que nous ne t'abandonnons pas notre longue chaîne dans l'Invisible, en France et ailleurs, oriente vers toi ses pensées, son égrégore. Tu en ressentiras bientôt les effets... Une aide analogue me fut accordée par d'autres frères et soeurs Rosicruciens, j'en fus d'autant plus touché que je n'appartenais pas davantage à cet Ordre auquel j'ai maintes fois rendu hommage dans mes livres.

Mon ami Jimmy est persuadé que le château de Montfort est "hanté", ce dont je suis moins sur que lui. Entendons-nous bien : des témoignages irréfutables accréditent ce qui s'est passé dans le chateau, mais de quelle nature, de quelle essence, sont les "fantômes" de Montfort qui empoignent un bras ou une cheville, qui laissent des empreintes de petites mains, qui déplacent des meubles lourds ? Ces "fantômes" sont-ils véritablement des fantômes ou voudraient-ils se faire passer pour tels afin de décourager certains chercheurs ?

Un fait très important m'étonne : Jimmy GuieuGuieu, Jimmy n'est pas un débutant en ufologie, il possède sur ce sujet une documentation énorme, or, parmi les témoignages mondiaux les plus célèbres ou les moins connus, il manque dans ses dossiers le rapport anonyme que j'ai rapporté au chapitre précédent. Alors que ce cas est connu dans le monde de l'ufologie, comment est-il possible que Jimmy GuieuGuieu, Jimmy l'ignorat jusqu'à ces premiers jours de 1980 ? Pour qui connaît Jimmy GuieuGuieu, Jimmy, la chose est tout bonnement stupéfiante sinon incroyable : ce fouilleur, ce ratisseur, ce chercheur qui passe tout au peigne fin, aurait-il laissé passer une information aussi importante Les châteaux de Mauvezin et de Montfort cachent bien des secrets auxquels vous devriez vous intéresser. Si l'on croit l'auditeur de cette information, ce serait, soit un extraterrestre, soit un individu en relation avec ceux-ci qui aurait confié le message. Mais assurément, ce "message" n'était pas destiné a Jimmy GuieuGuieu, Jimmy, et des forces occultes ont tout fait pour le lui dissimuler. Et quand, par hasard, on met sur le chemin de JimmyGuieu, Jimmy un ami qui lui permet de pénétrer dans le "château maudit", de méchants fantômes joueront leur sarabande pour effrayer notre ufologue trop curieux, et comme celui-ci ne s'effraie pas facilement, " on " passera alors aux actes " on " chasse le trop audacieux enquêteur qui, pour rien au monde, ne refranchirait le seuil du château, et c'est très bien ainsi Mais au cas ou il changerait d'idée, "on" lui fait subir des déconvenues qui le dégoutteront a jamais de remettre le nez dans cette affaire. Pourquoi ? Pourquoi tout cela ? Parce que Jimmy Guieu n'a jamais été - ni dans ses livres, ni dans la vie — un serviteur des "Forces Noires". Lesquelles se déguisent en "fantômes" pour effrayer ou en paroles doucereuses pour séduire.) Et nous avons bien vu que des "représentants" des "Forces Blanches" aidèrent l'écrivain a se sortir de ce mauvais pas. Ceci est, bien entendu, encore une hypothése,quoi qu'il en soit, n'ayant pas participé aux faits,je vois peut-être mieux ceux-ci de l'extérieur. Et ne sont-ils pas liés au Plan d'Action que l'"on" tente de contrecarrer ? A l'instant ou je rédige ces lignes, Jimmy GuieuGuieu, Jimmy (qui est mon directeur de " collection ") ne les a pas encore lues. Sans doute sera-t-il étonné, voire désagréablement surpris. Mais je connais trop bien notre ami pour m'inquiéter de sa passagère inquiétude, ses structures mentales sont maintenant trop bien rodées pour grincer hors de toute vérité, et je lui dis publiquement, et sincèrement ceci :

Je ne suis qu'un homme et un chercheur sincère, comme toi, mais un homme seul ne peut rien et l'on a toujours besoin d'un autre, parfois un plus petit que soi, ne serais-je pas celui-là ? Le temps n'est-il pas venu ou le "parapsychologue" doit donner la main a l'"ufologue", non pour le "guider" mais pour fusionner avec lui, pour multiplier la recherche par 2 ?

Souviens-toi du Futur, Jimmy, toi qui sais si bien le ramener au présent... Et s'il te reste un doute à propos des "non-terriens" que tu gênais, que je gène, et que toi et moi gênerons encore, ce doute pourrait bien disparaître après lecture complète de ce manuscrit.

Un miroir aux alouettes ?

Le Livre du Paranormal, écrit par Jimmy GuieuGuieu, Jimmy, fourmille d'enquêtes aussi sérieuses que passionnantes, l'une d'elles a particulièrement retenu mon attention car elle est intimement liée a mon hypothèse : le Plan d'Action extraterrestre probablement contrecarré par une force obscure. L'enquête dont il est question vise a rapporter des faits absolument extraordinaires que la seule présence de Jean-Claude Pantel semblait provoquer. Celui-ci n'avait pas 19 ans (il en a plus de 30 aujourd'hui) quand les phénomènes se déclenchèrent, lesquels n'ont rien a envier à ceux que l'on peut voit dans le film l'Exorciste. Cela commença par des jets de pierres lancées de nulle part. Mon ami Jacques W. fut le premier a pensé que les moyens dont disposaient nos assaillants invisibles étaient d'un ordre surnaturel, raconte Jean-Claude Pantel.

Ce dernier poursuit:

Une journée d'Août, en plein midi, alors que nous venions de recevoir un projectile, il nous sembla entendre du bruit en provenance du garage situé sous l'immeuble de l'administration ou Jacques et moi travaillions nous descendimes la courte pente qui donnait accès au parking souterrain, quelle ne fut pas notre surprise de voir une roue de voiture (jante et enjoliveur) monter a notre rencontre, nous croiser, et poursuivre sa route vers Dieu sait quelle destination inconnue.

Les événements parurent prendre une dimension toujours plus importante au fur et a mesure qu'ils se développaient. A ce propos, J.C.P. fournit quelques détails significatifs :

Je fis la connaissance d'autres garçons de mon age : Paul P., Gilbert M., et Jean-Claude Pantel. Mes péripéties les laissaient sceptiques jusqu'au jour ou ils furent bel et bien obligés de me croire lors de nos sorties ensemble, des tubes de néon et des boules de "pétanque" ou de bowling tombèrent prés de nous. Fait nouveau, des lames de rasoir sifflaient au raz du sol avant de se planter dans le talon de nos chaussures,dans l'écorce des arbres et dans le bois des portes d'immeubles. Rien ne semblait arrêter le cour de ces choses inexplicables, ni l'heure ni l'endroit : à midi, dans un restaurant très fréquenté. Paul P. et moi reçûmes un tube de néon sur la tête alors que l'établissement en était dépourvu ! Le moins étrange n'était sûrement pas la réaction des témoins involontaires qui, l'effet de surprise passé, se comportaient comme si rien ne s'était passé. Le mois de décembre arriva avec son lot de projectiles : plaques de fonte, pères Noël miniaturisés et mus par une petite hélice. Tous ces objets produisaient un fracas terrible en percutant un obstacle, ils ne laissaient cependant pas la moindre trace d'impact. Vinrent alors de mystérieux messages - plus ou moins cohérents - qui arrivèrent pliés sur de petites cuillères ou à l'intérieur de fruits. Au cours de l'année 1968, l'un de ces messages, parvenu dans une pomme, me fixa rendez-vous à la gare Saint-Charles. Les circonstances voulurent que je sois obligé de m'y rendre seul, mes camarades ayant des obligations ce jour-là. Sur le quai de la gare, tout se passa assez vite, on me toucha l'épaule et, en me retournant, je vis un individu de taille moyenne tandis qu'un autre (caressant un chat qu'il tenait dans ses bras) apparut a ma droite ; un troisième - qui se tenait a ma gauche - me tendit sa main, et engagea la conversation. Mon émotion contenue disparut rapidement en remarquant la grande quiétude qui habitait ces hommes. J'eus droit a démonstration de lévitation d'un fruit qu'ils firent tourner devant les voyageurs accoudés aux fenêtres d'un train. Ils me dirent que je saurai, en temps opportun, la raison de leurs agissements et me confièrent qu'ils s'emploieraient - aux Jeux Olympiques d'hiver de Grenoble - a faire triompher 4 fois J.C.K. (3épreuves + combiné) aux dépens de K.S., lequel serait déclassé après avoir raté une porte de slalom. (Cela se réalisa et je suis enclin a croire a leur intervention directe plutôt qu'a un phénomène de voyance.) Avant de me quitter, ils insistèrent pour que j'accepte de l'argent et me donnèrent un billet de 50 F.

A la suite de cette rencontre, Jean-Claude Pantel accomplit un service militaire mouvementé mais très court : 4 mois et c'est la réforme ayant pour motif : Inadaptation en collectivité. Bel euphémisme pour éviter d'expliquer des phénomènes inexplicables et dont Jean-Claude Pantel fut toujours l'objet durant son incorporation. Rendu à la vie civile, il rencontre Chantal V. Qui est brusquement atteinte d'une tumeur maligne au sternum. Le professeur qui l'opère déclare après 1'intervention que l'impossible a été tenté mais qu'il faut se résoudre au pire. Voici comment Jean-Claude Pantel raconte la suite de l'aventure :

Jacques W. et moi rendions visite à Chantal presque tous les jours, non sans essuyer dans la cour, le parc et les couloirs de l'hôpital et ce, à chacune de nos visites - des jets de pierres et de pièces de monnaie. Me remémorant tout ce à quoi j'avais assisté, et voyant de toute évidence qu'ils étaient là. Je ne désespérais pas de LES voir guérir Chantal. Je me disais que les moyens de ces mystérieux personnages ne se limitaient sûrement pas à déplacer ou faire disparaître des objets ! L'avenir allait me donner raison 3 mois après le miracle s'opéra. Chantal V. est aujourd'hui mariée et mère d'un beau petit garçon.

Les faits extraordinaires qui entourent Jean-Claude Pantel continuent au cours de l'année 1970 : un soir a 18:00 il est enlevé par les occupants d'une voiture qui l'emmènent dans un immeuble marseillais. Que subit-il alors ? A cet égard, on dirait que Jean-Claude Pantel a des "trous de mémoire" qui ne sont pas du tout feints :

Je crois me souvenir que l'on m'avisa des événements à venir, après m'avoir demandé mon avis sur ceux vécus jusqu'alors. Après étre retourné de mon plein gré dans cet appartement, il semble que ma mémoire soit défaillante sur beaucoup de points. Etais-je en état d'hypnose ou dans une autre dimension ?

Et les phénomènes continuent : dans une salle de cinéma, les spectateurs stupéfaits assistent a un ballet d'ampoules électriques éclairées ainsi qu'au vol bruyant d'une plaque d'évier qui percute quelques fauteuils avant d'atterrir entre Jacques W. et Jean-Claude Pantel. Un matin, Jean-Claude Pantel et son ami Michel A. "reçoivent" une orange surmontée d'un décapsuleur de bouteilles. Ils manipulent le fruit duquel ils retirent un article de journal mentionnant des sévices dont dont ont été victimes certains animaux du zoo de Marseille : nombre de dauphins, de singes, d'oiseaux, ont été trouvés morts après avoir avalé des lames de rasoirs et des épingles. Certains ont été tués par des jets de pierres ou des billes d'acier. Une réponse fut, parait-il, communiqué a Jean-Claude Pantel : il vaut mieux des animaux morts que des animaux en cage ! Jacques W. se rendit sur place ou un gardien lui confirma les faits sans trouver anormal que personne n'ait rien vu. Il attribuait la responsabilité de ces événements à des vandales. Nantis de ce témoignage, et de l'article du journal, Jacques W. et Jean-Claude Pantel se rendent aussitôt chez leur ami Paul P. Durant toute la nuit, les 3 garçons s'inquiètent, imaginant les bouleversements que pourrait subir le monde si de tels procédés étaient mis en application sur une grande échelle. Quelques jours plus tard, Paul P. trouvera la mort en se rendant a son travail, renversé par une voiture dont le conducteur ne daignera même pas s'arrêter...

A l'époque ou se produisent ces événements, Jimmy GuieuGuieu, Jimmy a abandonné ses recherches au château de Montfort, il se débat encore avec toutes sortes de tracas et occupe un poste de producteur à FR3, il produit notamment une émission intitulée Les carrefours de l'étrange. Heureux hasard :

A l'occasion d'une audition a la Maison de la Radio a Marseille, dit J.C.P. qui était alors auteur-compositeur, j'avais laissé toutes mes coordonnées à l'attention d'un producteur Jimmy GuieuGuieu, Jimmy. J'agis ainsi sur les conseils de Jacques W. qui avait entendu une émission particulièrement intéressante Les carrefours de l'Etrange.

Bien entendu, Jimmy GuieuGuieu, Jimmy prendra immédiatement contact avec J.C.P. et vivra en compagnie de celui-ci les événements fantastiques - mais non moins réels - qu'il consignera dans son ouvrage le Livre du Paranormal. Il ira même jusqu'à signer des accords cinématographiques pour porter a l'écran cette fabuleuse histoire. Alors, je me pose certaines questions qui ne sont que des questions, je veux dire par là qu'elles ne sous-entendent rien de précis sinon des hypothèses. Ne cède pas a des idées fausses et destructrices et continue ta tache ! dit-on a Jimmy à peu prés a la même époque ou il rencontre J.C.P. Or, indubitablement, ce sage conseil n'émane pas d'une mauvaise force puisque celle-ci "redresse" notre ami spirituellement et financièrement. La Force qui agissait a Montfort n'est évidemment pas la même que celle qui aide l'ufologue. Reste à savoir de quelle essence est celle qui entoure J.C.P. De véritables contacts se sont produits après ceux de la gare Saint-Charles et de la rue X ; les accords passés entre la firme de production cinématographique et les "ayants droit" m'interdisent d'en révéler davantage. Je puis néanmoins signifier ceci la terminologie intra- ou extra-terrestre semble souvent prendre une origine germanique : les noms cités par J.C.P. (et bien d'autres contactés) sont significatifs a cet égard. Et il y a de quoi rester rêveur quand on connaît la véritable histoire secrète du nazisme, des sectes traditionnelles nées en Allemagne il y a fort longtemps et qui se réclamaient déja d'une "élite aryenne". Qui ou quoi "manipule" J.C.P. et dans quel sens doit œuvrer un ufologue aussi sincère et perspicace que Jimmy GuieuGuieu, Jimmy ? Insidieuse question, je sais, mais il m'était impossible de ne pas la poser. Bien que je ne puisse reproduire in extenso la teneur des messages que J.C.P. a reçus, on m'a néanmoins permis d'en citer quelques extraits :

Nous pensons qu'il convient de vivre en harmonie avec les choses vraies sans rechercher systématiquement un sentiment de perfection envers ces choses. Il convient de prendre le temps de s'apercevoir que l'on est heureux, et ce, au moment même ou se pose la question. Atteindre sans attendre, sans chercher, donc sans redouter. Vouloir conduit à exacerber vos sens et détruit, un peu par les difficultés rencontrées pour pour parvenir a ses fins, un peu par les satisfactions qui qui suivent : Vouloir, conduit a rechercher encore autre chose, entre autre la perfection. L'insatiabilité en conduit pas à la perfection, elle en enfante un état profond d'insatisfaction permanente qui entrave la véritable progression de l'individu dans l'absolue recherche de la vérité. Annihilez votre notion de temps et vous libérerez, en grande partie, votre vérité cette part de vous qui ne vous appartient pas. La chance, a notre avis, n'est qu 'un état passif. Elle tend a expliquer la réussite qui couronne une ou des entreprises. Chez nous, ne revendiquant pas de hiérarchies dans les choses que nous vivons, nous n'avons pas recours à un "comparatisme" dirigé. La chance reste donc a sa place de symbole. Nous l'assimilons a ce que vous appelez : "hasard".

Quand J.C.P. demande s'il peut divulger les messages qu'il reçoit, on lui répond :

Les fleurs et les fruits se donnent a ceux qui passent et les veulent. Il faut simplement s'élever pour y accéder.

Et l'on ajoute:

Nous tenons à vous laisser maîtres de vos déductions, la progression ne s'instaure que dans la conscience par soi du chemin à parcourir. La conscience du chemin parcouru est de tout autre nature.

Qu'en termes choisis ces choses-la sont dite. Elles ne manquent pas de Beauté Pure ni de Science. Elles laissent même apparaître une espèce d'immobilisme que l'on pourrait qualifier de "Sagesse Originale". Certes, je n'engage ici que mon seul avis sujet à caution, et je me pose encore d'autres questionsourquoi ces " phénomènes " parfois tragiques, souvent brutaux, en tout cas effrayants ? Est-ce du au hasard si deux hommes sont morts ? Est-ce que ces êtres (qui, selon J.C.P., sont des extra-terrestres) ont dépassé nos notions de "bien et de mal" ? Ayant percé le mystère de la mort et prouvé, scientifiquement, la survie infinie, se donnent-ils le droit de tuer sans qu'il y ait "vraiment" crime ? Si les moralistes traditionnels sont choqués, les croyants ne le seront pas moins : ces êtres nient la divinité du Christ (qu'ils auraient initié ainsi que Moise) et se demandent si le Père ne nous a pas oubliés ? Quant à moi, je me demande - et ce sera ma dernière question - Si tout ceci n'est pas un immense miroir aux alouettes pour détourner notre attention de QUELQUECHOSE QUI SERAIT ENCORE PLUS IMPORTANT ?