Dorothy Kilgallen

Kilgallen
Kilgallen

Kilgallen naît en 1913. Elle devient journaliste américaine pour l'International New Service.

Un crash (1955)

Le dimanche 22, Kilgallen publie le rapport suivant :

Des scientifiques et aviateurs britanniques, après avoir examiné l'épave d'un vaisseau volant mystérieux, sont convaincus que ces objets aériens étranges ne sont pas des illusions d'optique ou des inventions soviétiques, mais sont des soucoupes volantes venant d'une autre planète.

La source de mon information est un responsable britannique au niveau du Cabinet préférant rester anonyme. "Nous pensons, sur la base de notre enquête à ce jour, que les soucoupes étaient pilotées par de petits hommes - probablement de moins de 4 pieds de haut. C'est effrayant, mais on ne peut nier que les soucoupes volantes viennent d'une autre planète."

Les scientifiques officiels cités disent qu'un vaisseau volant de ce type ne pourrait pas avoir été construit sur Terre. Le gouvernement britannique, ai-je appris, conserve un rapport officiel sur l'examen de la "soucoupe volante" en ce moment, peut-être parce qu'il ne souhaite pas effrayer le public.

Kilgallen au jeu télévisé "What's My Line"
Kilgallen au jeu télévisé "What's My Line"

Après avoir supposé que cette note faisait référence au crash de Spitzenberg, il sera conclu que cette histoire était en fait un cas de désinformation.

Kilgallen, bien qu'elle soit peut-être aujourd'hui plus connue pour avoir été panelist sur le jeux télévisé "What's My Line?" dans les années 1950s et 1960s, était une journaliste bien connue qui non seulement écrivait une "rubrique gossip", mais couvrit aussi des histoires d'actualité hard. Elle couvrit l'enlèvement Lindbergh et dans les années 1950s la tentative de meurtre de Sam Sheppard.

Son item sur un crash d'ovni est décrit comme étant paru dans le Los Angeles Examiner. Les réputation et notoriété de Kilgallen étaient la seule chose maintenant en vie la faiblarde histoire du crash de Spitzbergen de 1946. Le dernier espoir d'autre recherche sur le crash norvégien mourrut avec elle, ses sources n'ayant jamais été vérifiées.

Kilgallen
Kilgallen

En 1965 elle interviewe Jack Ruby, l'assassin de Lee Harvey Oswald, dans le cadre de l'assassinat de John Fitzgerald KennedyKennedy, John Fitzgerald. Cette interview fut publiée par le Los Angeles Examiner. Elle dit à des amis avoir des informations qui would "break the case wide open."

Le lundi 8, Kilgallen est trouvée morte dans son appartement de New York, entièrement habillée et assise dans son lit. La police rapporte qu'elle est morte d'avoir pris un cocktail d'alcool et de barbituriques.

Le propre journal de Kilgallen, le Journal-American, rapporte la nouvelle :.

Dorothy Kilgallen, famed columnist du Journal-American, est morte aujourd'hui chez elle, 45 E. 68ᵉ Rue. Elle avait 52 ans.

Miss Kilgallen est morte dans son sommeil. Elle a été trouvée par une bonne et un coiffeur qui étaient venus chez elle pour un rendez-vous de 12:15. Au côté de son lit se trouvait un livre qu'elle lisait apparemment avant de s'endormir.

Elle avait écrit sa dernière rubrique, qui apparaît dans l'édition d'aujourd'hui, tôt dans la matinée et l'avait envoyée aux bureaux du Journal-American par coursier à 2 h 30 (...)

L'acteur et producteur Richard Kollmar, mari de Kilgallen, ainsi que leur plus jeune enfant, Kerry, dormaient dans d'autres pièces lorsqu'elle mourut.

Les notes de son interview avec Ruby et l'article qu'elle écrivait sur le cas ont disparu. Heureusement, elle avait confié à un ami un brouillon de son interview. Kilgallen avait probablement peur pour sa vie, plusieurs autres auteurs ayant travaillé sur le cas Oswald / Ruby étant morts dans des "circonstances inhabituelles".

Références :