L'armée de l'air péruvienne cache des informations sur les ovnis

El Chino, vendredi 27 mai 2005
n1D'après la traduction anglaise (c) 2005, Scott Corrales, Institute of Hispanic Ufology (IHU). Remerciements spéciaux à Alex Sender.

Qu'arriverait-il si l'existence d'une vie extraterrestre - et le fait qu'elle vive parmi nous - était confirmée ? La réponse est dans les mains des militaires, qui possèdent les documents et pièces concernant les observations d'ovnis, pris en charge par les Etats-Unis comme une information super-secrète. La révélation, dit Mario Zegarra, un [ufologue] prouverait que l'homme n'est qu'une créature primitive face à l'intelligence extraterrestre.

Mario Zegarra prétend que les Forces Armées péruviennes, en particulier sa Force Aérienne (FAP) dissimule des informations sur des ovnis vus en diverses parties du pays, qui sont portées à la connaissance non pas du gouvernement national, mais des U.S. et des agences menant des recherches dans les zones ou les étranges appareils ont été détectés.

Les forces armées et de hauts responsables de police dissimulent l'information, considérant qu'elle est top-secrète. Déclarer que la vie extraterrestre existe non seulement dans d'autres galaxies, mais sur la Terre elle-même, est un rejet des théories scientifiques sur l'évolution humaine ; en d'autres mots, les ancêtres de l'humanité ne sont pas les singes, mais les extraterrestres, explique l'ufologue Mario Zegarra. Etant une civilisation supérieure et possédant une connaissance avancée, elle démantèlerait la puissance U.S.. Les militaires eux-mêmes ont observé des ovnis depuis leurs appareils. Cependant ils doivent hold their peace, puisqu'il s'agit d'information classée qu'il vaut mieux ne pas communiquer au public.

Les vaisseaux spatiaux décrits par les militaires seraient fabriqués en utilisant un matériau solide différent des matériaux sur Terre. Zegarra ajoute que nous sommes au bord d'une autre vague d'ovnis aussi intense que celle qui eut lieu à intervalles périodiques durant ces 40 dernières années.

Un des documents top secret présentés par le Dr. Zegarra indique que le vendredi 9 mai 1980, alors qu'un groupe d'officiers militaires de la FAP, alors qu'il commençait sa formation quotidienne sur la base aérienne de Mariano Melgar du district de La Joya (Arequipa), détecta la présence d'un ovni au bout de la piste à une altitude de 1800 pieds au-dessus du sol. L'objet, qui ressemblait à un ballon météo utilisé pour la navigation maritime, se déplaçait au-dessus de la zone près de l'aéroport. Pour cette raison, Oscar Santa María, le pilote de l'un des chasseurs, reçut l'ordre de décoller et d'intercepter l'objet. Au bout d'un 3ᵉ passage, le pilote ouvrit le feu sur l'objet sans causer de dommage apparent, se déplaçant rapidement au loin.

La 2nde observation a une caractéristique spéciale, puisque décrite comme un objet brillant, selon une traduction du rapport officiel du Pentagone, un document rendu accessible au travers de l'Acte sur la Liberté à l'Information et comprenant le récit de la persécution d'un ovni par le témoin oculaire Maj. Santa Maria Huertas (ret.) à bord de son Sukhoi Su-22.

A Puerto Maldonado en 1952, le chef des douanes Domingo Troncoso parvint à photographier un ovni. L'objet se déplaçait tout du long en silence, laissant une longue et dense traînée dans son sillage. Sa vitesse fut estimée à 1500 miles/h.

En 1967 une autre soucoupe volante fut photographiée par Augusto Arranda à Yungay, alors qu'il crapahutait dans les hautes montagnes de la région. En l'année d'avant, un objet extraterrestre arriva pour atterrir à la base aérienne de Talara.

En 1979, un véhicule extraterrestre à 3 pieds atterrit à Chachapoyas. L'année suivante un intercepteur de la FAP poursuit un ovni mais ne parvient pas à l'atteindre à cause de sa vitesse. Cet incident eut lieu dans le voisinage de La Joya en Arequipa.

Mario Zegarra indique que les personnes détenant la preuve sont les militaires et les services de renseignement. Les récits fournis par le Dr. Zegarra coincident avec ceux livrés par le chercheur J. J. Benítez, qui déclare que le personnel militaire ayant accès à ces informations insiste sur le fait que le public n'est pas prêt à connaître la vérité.

Les chercheurs Zegarra et Benítez prétendent qu'il y a eu des centaines d'observations d'ovnis au-dessus ou près de bases militaires, silos atomiques, vaisseaux de guerre, appareils de transport et de combat, en raison du potentiel de destruction qu'ils peuvent causer. A cet égard, quiconque osant révéler des documents secrets conservés dans une armée, police ou base aérienne quelconque pourrait même être "terminé".