La vue en plan des contours de l'objet révèle qu'il est symmétrique par rapport à l'axe x-y (figure 3.16). L'angle A est de 90 ° ; il en va de même des 2 angles BED et CDE.
Le côté incliné AB a la même longueur que le côté AC. Chacun de ces 2 côtés présente un rapport de 0,70 par rapport à la base DE. Cette stabilité dans les dimensions comme cette correspondance dans les angles milite fortement en faveur d'un engin construit intentionnellement, par opposition à celle d'un phénomène de caractère naturel, encore que cette dernière ne puisse toujours pas être écartée de manière certaine. Ces extrémités aux angles très accusés ne sont pas sans rappeler celles du bombardier "furtif" américain B-2, qui possède une mince section transversale verticale ainsi que de nombreuses intersections fuselage-aile à 90 °? Mais, dans l'hypothèse où "l'aile" qui a survolé la Belgique était un nouveau type d'avion "furtif", pourquoi devait-il être resté au-dessus de régions aussi peuplées, pendant une période aussi prolongée, et être muni de phares aussi puissants et visibles ? Si, par contre, cet engin est de nature extraterrestre, il est possible que nos visiteurs ne se préoccupent vraiment pas de ce que nous les voyions ou non. Je suis, pour ma part, d'accord avec de nombreux enquêteurs pour dire qu'il ne s'agissait pas d'un chasseur américain "furtif" F-117, et cela pour moult raisons que je n'évoquerai pas ici.
Dans la discussion qui va suivre, les 4 points lumineux seront identifiés selon les symboles correspondants repris sur la figure 3.16.
Les lumières situées aux extrémités :
Le point P (à la pointe de l'objet) s'est révélé être composé d'un ensemble d'arcs (lumineux) parallèles et séparés, de rayon à peu près constant et couvrant
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