Résumé

Suite à un témoignage précis d'un atterrissage d'"ovni", des échantillons d'une strain de luzerne sauvage ont été recueillis à l'épicentre et à diverses distances croissantes de la trace laissée au sol, 4 et 40 jours après l'observation. Un lot supplémentaire d'échantillons semblables recueilli 730 jours après l'observation a alors été utilisé comme contrôle a posteriori de la variabilité naturelle de la même zone. Les déterminations biochimiques ont inclu : pigments photosynthétiques, carbohydrates libres et acides aminés libres. Statistiquement, des résultats significatifs ont été observé en traçant les concentrations par rapport aux distances de l'épicentre, et divers sous-types caractéristiques de relations dose/effet ont été mis en évidence. Des relations fonctionnelles entre pigments photosynthétiques, acides aminés et carbohydrates étaient inversé à D + 40, par comparaison avec les échantillons D + 730 qui montraient une forme normale. Ainsi, les principes décrits de l'analyse biochimique accréditent :

1. que quelque chose s'est passé ;
2. que l'influence de la source non-identifiée a décru avec la distance croissante de l'épicentre ;
3. des symptômes précis qui peuvent par la suite être comparés avec ceux obtenus par des causes connues.

Remerciements. Ce travail a été en partie soutenu par le Centre National d'études Spatiales de Toulouse, en France (CNES). Des remerciements sont dûs au Dr. A. Esterle et à l'ingénieur J-J. Velasco (GEPAN) pour leur aide au recueil des échantillons, à M^me M. M. Daurade pour aide technique et à M^elle D. Fernandez pour avoir tapé le manuscript.