Il faut savoir

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Aviateurs et gendarmes, conscients qu'il y a une recherche scientifique à mener, mais qu'elle ne leur incombe pas, adressent leurs renseignements à l'organisme dont c'est, semble-t-il, la vocation : le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales) s1Echange de lettres entre le Ministre de la Défense et le Ministre de l'Industrie et de la Recherche où ils sont exploités par le chercheur qui s'en est fait une spécialité : Claude Poher.

Or, cette collaboration avec la recherche est en définitive, pour la défense, un bon placement, car tout ce qui fera mieux connaître le phénomène est pour le bien de la défense.

Le risque ovni (il s'agit de risque et non de danger ou de menace) est, autant qu'on puisse en juger, très minime et paraît acceptable. Certains néanmoins préconisent une attitude dynamique et souhaitent qu'il soit mieux analysé, localisé, mesuré.

D'autres risques militaires font dans le silence des services spécialisés l'objet d'enquêtes, sans que les menaces correspondantes soient actuelles, certaines, chiffrées ... Alors pourquoi pas le risque ovni ? Evidemment, l'étude du phénomène dans cette optique n'a rien à gagner aux discussions sur la place publique.

Certes, on en est réduit aux hypothèses, mais si on était en présence d'un objet et que cet objet soit artificiel, fabriqué ? Alors, se poseraient des questions importantes : sur son origine, sur son action. Si l'on peut répondre que jusqu'ici il n'a rien fait de menaçant, il faut ajouter : il intrigue, il inquiète et cette incertitude constitue un danger pour lequel la parade serait "de savoir".

D'autres pensent qu'il vaut mieux laisser toute étude en attente dans la crainte de voir le sujet "encrassé" de concepts et de théories qui risquent de gêner les progrès ultérieurs. La parade serait alors de ne pas s'en préoccuper, car il faut éviter l'anxiété

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