Les ovnis sont réels

Une approche sérieuse de la question des Objets Volants Non-Identifiés demande, avant tout, que nous faisions face à un changement fondamental du concept de notre monde environnant. Nous devons assouplir notre manière de penser, laisser nos imaginations voler au gré des vents, et, par-dessus tout, nous devons vouloir réfléchir !

Aucun être humain avec un esprit étroit n'a besoin de lire plus loin , car on lui demandera de penser comme s'il n'avait jamais pensé auparavant, d'admettre des possibilités qui bousculeront les fondations-mêmes de son être.

Pendant d'innombrables générations, l'humanité a été confrontée à une série sans fin d'événements, dont les causes ont été obscures, si ce n'est tout à fait hors de toute séquence courante que son esprit a été capable d'imaginer. A divers degrés, ces événements ont généralement été qualifiés de supernaturels : en terminologie plus moderne, paranormaux. Cette phraséologie pratique pourrait les nommer et, dans une moindre mesure, les classer ; cependant, cela n'explique pas les événements, pas plus que cela ne transmet de quelconque véritable connaissance à une humanité en recherche.

Pour gagner en compréhension, par conséquent, nous devons faire plus que classer ; nous devons analyser etthéoriser.

Pour faire ces choses nous devons courageusement envahir le domaine qui a tant effrayé la science normale qu'il a été omis de la connaissance professée et organisée par l'homme. Seuls quelques-uns ont osé admettre ces phénomènes et enquêter sur eux. Sur ces quelques-uns, une grande proportion sont devenus des parias du domaine d'étude qu'ils avaient choisi . Ils sont devenus des anti-conformistes, et quelques péchés sont considérés plus basiques. Pourtant la masse de notre connaissance qualitative est venue de l'anti-conformité .

Peu importe ces quelques-uns NE COMPTENT PAS. Il demande encore une fois trop d'une Humanité Fière et Vaine

Dans ce volume, nous allons confronter, pour la 1ère fois, un certain nombre de faits jusqu'ici incorrigibles. Nous relaterons, pour la 1ère fois, des données auparavant non relatées et en tireront des conclusions effarantes.

Pour entâmer un tel saut dans le maelstrom du "supernaturel," nous devons d'abord clarifier notre utilisation du mot "monde." Nous ne devons pas le limiter à un état ou à un continent. Et, en dépit du fait que cela pourrait déranger notre auto-satisfaction et éveiller de vagues craintes, nous ne pouvons plus longtemps nous limiter à une seule planète. La Terre n'est pas seule, pas plus qu'elle ne l'a été à aucun moment.

Ensuite, nous séparons les expériences paranormales en groupements ayant des similarités de famille. Ce n'est qu'en faisant cela que nous pouvons leur accorder l'examen minutieux impitoyable nécessaire à déterminer leur signification. S'il y a un éclaircissement à en tirer, nous l'aurons (si c'est être anti-conformiste, let us make the most of it; nos opposants orthodoxes pourront essayer de make the worst.)

Cette séparation des "erratiques" et "étrangetés" en groupes ayant des similarités à une utilité double. D'abord, elle simplifie notre problème d'analyse, parce qu'elle aide à apporter de l'ordre hors du chaos qui est le produit de siècles de données accumulées sans co-relation, sans autre but que celui de cataloguer les faits pour la postérité. Nous pouvons maintenant supposer, et avec une grande assurance, que nous sommes la postérité pour laquelle ces données ont été répertoriées. Le temps est venu où ces faits isolés et solitaires, si longtemps orphelins, doivent être amenés à la lumière, rassemblés, et instrumentés pour servir notre but. Cette masse hétérogène de données a sans doute été préservée dans un objectif donné, si la vie une une signification quelconque , et la solution du mystère des ovnis pourrait bien être cet objectif.

La 2nde utilisé du regroupement est d'établir emphasis et un pouvoir frappant, aucun de ces événements innombrables étant trop faible seul face à la raillerie scientifique. Peu importe, à l'évidence, que 1000, ou même 10 000 personnes observent et signalent des événements paranormaux. Un scientifique plein de confiance , autoritaire et arrogant, renforcé par le soutien tacite de sa profession ésotérique , peut contester l'événement, obfuscate its record , nullify its import, et come close de convaincre les 10 000 personnes qu'ils n'ont pas vu ce qu'ils avaient clairement vu. Ceci, bien sûr, n'est pas vraiment de la science. Cela se rapproche d'un type de dictature intellectuelle, et d'un imperialisme de l'intellect. Ainsi, en associant ce qui n'était pas associé auparavant, nous pouvons construire un mur inescaladable par ces conformistes.

Such contempt for those badly frightened or Strictly Orthodox Namby-Pamby Scientists, L'Ombre de Galilée Marche à nouveau au Nom d'une Science Meilleure. Eveillera-t-il & Eclairera-t-il comme avant ?

Non, mon jumeau, Il Marche à travers les nuages

Mais ne soyons pas trop ambitieux. Nous pouvons facilement overstep the bounds de nos capacités comme nous pouvons shirk our responsibilities. Certains phénomènes inexpliqués semblent bien résider dans ce que, par manque d'une meilleure terminologie, nous devons toujours appeler les domaines paranormaux ou psychiques. One must be on guard not to commit the prime fallacy de toute analyse, celle de développer une théorie puis de trouver les faits qui l'étayent. Par conséquent, nous devons trier nos observations en 2 groupes. Un groupe qui contiendra tout ce qui peut être attribué à une action physique d'êtres intelligents ou un statut non-déifié et non-spirituel. Le 2nd groupe est le résidu qui, autant qu'on puisse en juger après un examen attentif, doit rester associé avec le domaine psychique ou spirituel.

Même une étude cursory du domaine vast et scrambled d'événements étranges ? étrangetés, pouvons-nous les appeler ? nous montre au moins 3 zones principales. Une de celles-ci traite de choses tombant du ciel, certaines venant de l'espace et qui pourraient être grossièrement classées comme organiques et inorganiques. Nous utilisons "organique" au sens de quelque chose qui fait partie, ou est associé à, une entité vivante et pensante, et "inorganique" comme étant simplement les débris de l'espace. Une météorite ordinaire de fer-nickel venue de l'espace est inorganique ai sein de la sphère de notre définition présente ; mais si cette météorite arrive sur Terre avec la forme d'une divinité Malaise à 7 têtes, ou microscope compound, c'est organique.

Une 2nde catégorie majeure stands out in the bibliography of oddities. It is the great area of events which encompasses disappearing people, and ships; airplanes and airships crashing and disappearing without trace and without warning; instantaneous and mysterious transportations of people and things; inexplicable tracks and marks, such as the Devil's Footprints of Devonshire, and the "cup-marks" found in stone over much of the world; the organically shaped meteorites found in Tertiary rock and coal formations; evidences of levitation and flight from prehistoric antiquity; and many other phenomena which appear to us to be, or resemble, acts rather than things.

Tout ceci sont des événements terrestres ? des manifestations plus ou moins à la surface terrestre.

But there is a third great area of observational data. It is that vast conglomerate of purely astronomical observations which relates to things and phenomena in space or on planets and satellites other than earth. These are the unpopular, poor relatives of orthodox astronomy, the untouchable erratics. These have come to be regarded with such disfavor that there are few published records of them within the past fifty to seventy-five years.

Nous pourrions considérer que les sciences de la météorologie et de la météoritique, dont nous discuterons de la nature plus tard, speak almost eloquently in behalf of the case for space life and UFO's. It is within these fields that we have found the greatest volume of detailed observation and data. And it is just here that we have found the most difficulty in grouping and organizing. Even here, however, we can not a primitive pattern and by simple use of it as a guide, we begin to separate acts of intelligence from "natural" acts of statistical nature.

Whereas the actual groupings are given in Parts Two, Three, and Four, les problèmes involved in the initial research are of interest. The resolution of those problems is still another key to the fact that we are on the right track, that by relating the previously unrelated we have discovered pattern and form.

Tous les hommes de renom ont 2 choses, le Courage & la Conviction, souvent Tant qu'ils en furent ridiculisés. Cette Homme ouvre & invite la même chose simplement en Disant ce que ses observations, Archives & Données lui ont montré. Ce à quoi on ne peut échapper. Il y a, bien sûr, such Men who like the one that Would not permit himself to View the Planets Circling the sun Lest it interfere with his religious "Dogmas of the day."

Un exemple de la manière dont de telles choses se développent est notre expérience de la classification d'objets qui tombent. Notre 1ère idée fut qu'il s'agissait d'un domaine mineur qui pouvait être disposed of with a casual perusal. Not so. It soon developed, as the pattern began to evolve, that we could not coordinate these onslaughts from the sky, nor interpret them, unless we gave consideration to their effect, their origins, and to concomitant phenomena. Not only that, but very shortly we were forced to acknowledge that falling objects and other phenomena in the sky must be considered in three categories if order was to ensue from chaos. In short, there seemed to be a class of objects which were merely physical debris cluttering up space and moving in orbits of varying shapes and which had little, if any, relationship to or association with intelligent being. A second group was obviously the product of thinking, if not, indeed, of higher mental characteristics such as purposefulness, determination, morality, and perhaps even humor. Then, especially in those instances where space phenomena appear to intermingle with our native meteorological condition, it became necessary to consider, as a third group, the less spectacular terrestrial events and to clarify our thinking by segregating these and getting them out of our way.

The upshot of this coercion was that we found more than half a dozen subcategories wherein we were allied with the sciences of meteorology which is the terrestrial science of the air, and meteoritics which is a branch of astronomy.

Let us, then, consider briefly these segments of our problem. To most of you who read this book, falling ice has been limited to hailstones, mostly small, perhaps the size of marbles. But in trying to organize data on ice which falls from the sky, we ran head-on into cases where chunks of ice weighing from a few pounds to some tons were known to fall, and without final proof we were forced to give thought to "spacebergs" which might weigh thousands of tons each, maybe hundreds of thousands, and which arrived from space in swarms of hundreds or even thousands, and left vast scars on the surface of the earth. We were compelled to consider some of these falling blocks of ice as having been produced by, or at least associated with intelligent entities. It was even necessary to consider various sources for the orbital ice, depending on whether it came from the exploded fifth planet, whether it was blasted off the earth by prehistoric atom scientists, whether it was detached from the earth by tidal action when the earth and moon were united, whether it fell off the moon, or just where did it come from? In sifting out these cases where intelligence seemed to be involved, we found the process to have certain resemblances to panning gold nuggets from alluvial gravel. At least if the nuggets were there, we had to do our own sifting.

Je ne suis Pas contre dir equ'un Champ de Force Peut Faire voler un Homme CAR JE L'AI VU REALISE & Je connais la cause de ce vol & Ne Suis Pas dérangé
A l'Exhibition de Paris, en 1951, un Scientifique de l'Université de Paris à Démontré cela. Un CLICHE AP A ETE ENVOYE AUX U.S. MONTRANT CETTE ACTION.

LES EXPERIENCES DE CHAMP DE FORCE DE LA MARINE U.S. D'OCT. 1943 PRODUISIRENT L'INVISIBILITE DE L'EQUIPAGE & DU NAVIRE. DES RESULTATS FEARSOM. SI TERRIFIANT AS TO, HEUREUSEMENT, STOPPER UNE RECHERCHE PLUS AVANCEE.

We went through similar compelling experiences with regard to falling stones, falling live animals, and falling animal or organic matter. We found that life arriving from the sky was almost universally of a low order, such as reptilian or aquatic, and we found that some of it involved such intellectual elements as functionality, localization of target and repetition in fixed areas. The only common denominator for all the observed conditions turned out to be ? of all things ? hydroponic tanks in space craft!

SUR LA TETE !

And if we are confronted with a falling object of crystalline rock obviously shaped as an optical aid, are we to cravenly call it an erratic, and discard or ignore it? And are we to cringe before the deposition of a few hundreds of dead birds from the heavens, all on one city, but of species completely scrambled and mostly unknown within hundreds of miles of that city?

What would you do with a piece of meteoric iron, unmistakably shaped by intelligent hands, but which was equally unmistakably removed from solid formations of geological Tertiary Age of 300,000 years ago? Wouldn't you perhaps reshuffle your conception of the antiquity of intelligence and wonder whether it was, for a fact, indigenous to this planet?

If you found raw meat, with hair attached, falling over a two-acre space, from a clear and undisturbed sky, wouldn't you struggle even harder to find some kind of category for it, and a common denominator of explanation relating it with other phenomena?

SPOILED FOOD, DROPPED.

If you found that water sometimes arrives from the sky in solid masses, flooding little brooks until they washed away villages, but neglecting the brooks a half mile away, wouldn't you look for a category outside routine meteorological storms?

These problems all had to be faced. Something had to be done about them ? and they all arose from objects falling from the sky. Also, they had to be distinguished from meteorological storms ? for some of the clouds which we studied just appeared , spat a stone or two and passed on. They were not thunderstorms, What were the?

Those were the problems which we faced in a welter of data on things coming from the sky, but they were, on the whole, less puzzling than events which directly involve people, or which were clearly current actions and not merely things which may have been operated in distant times and places. Among those phenomena involving people, the sudden disappearances are probably the most amazing. Some have disappeared instantly, while being watched by friends and close relatives. Crews have mysteriously disappeared from ships ? sometimes within sight of their home port ? without warning and without trace.

HEH! IF HE ONLY KNEW WHY, HE'D DY OF SHOCK.

There are too many instances of planes and ships disappearing for us to ignore them. One plane is reported to have flown into a cloud from which it never emerged, while the crew of a blimp disappeared before the eyes of dozens of watchers. We are still wondering what happened to about fifty passengers from a plane whose wreckage was found recently on a mountainside in the Pacific Northwest.

These are several of the instances which have prompted some writers to postulate that UFO's were on the attack. My contention is that, at the very worst, such an attack is no more organized or malicious than that of a redcapped hunter stalking deer in the Pennsylvania mountains is an attack by the human race against the deer; and there may be elements of similarity.

It is almost an inseparable corollary to our thesis that we admit to an unfathomable antiquity for mankind, or at least intelligence, upon the earth, and its vicinity. This conclusion is made unavoidable by the antiquity of records of UFO's and wingless flight. It is apparent in the innumerable megalithic works of stone which involve masses too huge to be moved by means other than levitation and which have been standing for ages before any written record now available.

THE MAN IS CLOSE, TOO CLOSE.

As these pieces of the jigsaw puzzle make themselves known, and as we realize fully that this is an old, old problem, we can begin to take comfort. If UFO's have been here for 300,000 years and have not yet chosen to launch a mass attack on humanity, it is scarcely likely that they will do it now ? unless they are forced to do something to prevent the world's experimenting militarists and scientists from destroying the earth through ignition of its hydrogen, thus crating another nova or new star in the galaxy, a may well have been done when the fifth planet disintegrated at an incalculable time in the past.

So there are two elements of importance in our study of the antiquity of intelligence: the proof that superior beings have been here longer than mankind has been civilized, and the demonstration that forces were at work in those millennia, the magnitude and nature of which are only suspected today.

Is this, then, a hint that we are at this moment awakening and, like a chrysalis, emerging into a new and much more powerful state of existence and cognizance? Are, therefore, our current troubles, domestically and internationally, but the excruciating birth pains of such a renaissance, as we could no have imagined one short generation ago? Will we, then perhaps be welcomed rather than repelled by the intelligences which inhabit the UFO's or which may even be the UFO's?

La structure Emotionnelle de l'Homme est telle qu'il ne peut être éveillé aux Puissance de la 'Véritable Réflexion.'

Alright so it was not thougth that man would ever mature, Don't worry, Jemi.

Probablement les sources les plus anciennes, et presque sûrement les plus prolifiques faisant état de vols sans ailes, sont les registres des monastères Indiens et Tibétains. Ils sont en eux-même presque concluants. Des registres datant de 15 000 ans indiquent des vols dépourvus d'ailes au moins 70000 ans avant cette cdate. Ajoutez ceci au récit de la visite d'une flotte spatiale à la cour de Thutmose III, environ 1500 avant J.-C., et nous ne sommes pas loin des observations d'aujourd'hui. Des indices de l'intérêt continu d'habitants de l'espace viennent de la France médiévale où Adamski fut totalement soufflé par des éléments de la population française qui firent des voyages en ovnis.

n3ED: The following has no obvious reference or necessary position. No Not pals but the French are such of an general Pholosophic attitude Even in that Day that they were chosen to be contacted. Now, some L-M's live in france out of preference in field of Philosophical Study. They like it.

Si les premières visites en Asie, les contacts ultérieurs avec les égyptiens à l'apogée de leur culture, les associations prétendues entre des vols et la disparition d'Atlantis, et les visites de la France il y a des siècles de cela indiquent un mode, alors on pourrait se demander si les civilisations contemporaires, peut-être les plus spectaculaires de toutes, recoivent une attention.

Par bien des côtés, les données les plus intriguantes de toutes viennent des astronomes sceptiques. Leurs observations tendent effectivement à être quantitatives, datées, et documentées. Les données astronomiques sont plus que simplement qualitatives. En d'autres mots, les astronomes eux-mêmes, en bon chasseurs de données, ne se contentaient pas de simplement voir des choses se déplacer dans l'espace. Bien qu'inconscients de la véritable nature de ce qu'ils voyaient, ils répertoriaient autant que leur temps et leur équipement le leur permettait, et, au final, nous ont permi de localiser l'habitat des ovnis.

Comme nos propres observations aujourd'hui, l'observation unique d'un astronome pouvait être une erreur ou une illusion. Mais des centaines d'observations sont concernées, ainsi que des douzaines d'astronomes sérieux et fiables.

BOY! SI SEULEMENT IL CONNAISSAIT LES MILLIERS.

De nombreuses choses rondes ont été vues traversant les disques du Soleil et de la Lune, et certaines dans l'espace sans arrière-plan. La rondeur implique des formes sphériques ou discoïdales. Des lumières ont été vues dans l'espace, certaines près de Mercure, Vénus, Mars et la Lune, et certaines entre nous et ces ronds, de sorte qu'ils pourraient être à leur surface. Dans le cas de la Lune, des lumières ont été observés à la surface. In the case of the moon, lights have been seen on the surface. Il y a eu des ombres sur la Lune et sur la Terre qui n'ont pu être formées que par des appareils spatiaux manipulés. L'apparition des grandes comètes et la tâche rouge sur Jupiter à la fin des années 1870s coincida avec l'apparition mystérieuse d'un nouveau cratère sur la Lune, précisément de la taille des ovnis observés par des astronomes entre la Terre et la Lune.

Les astronomes ont vu 2 classes distinctes d'objets : les sphériques, clairement dessinés, et les brumeux et nébuleux. Toutes 2 sont apparues être manipulées intelligemment et ont montré des mouvements erratiques. Tous possèdent des caractéristiques semblables aux observations de personnes sur le terrain depuis 1947. Des observations simultanées par 2 observateurs ou plus ont permi en certaines occasions d'établir les distances approximatives des ovnis à travers l'étude de parallaxe (la "parallaxe" est le déplacement, souvent mesurable, causé par l'observation d'un objet depuis 2 endroits différents ; e.g. placez un doigt devant vous et regardez-le avec le 1er ?il puis le 2nd. Le déplacement par rapport à un arrière-plan distinct est la parallaxe). En tout état de cause, les indices astronomiques de l'existence des ovnis, bien que moins volumineux que pour d'autres types d'indices, est mieux fondée sur des données factuelles et quantitative. On doit lui accorder un grand poids.

Si, en réalité, la profession astronomique doit être contrainte dans la position de principal témoin de la défense, dans le cas des ovnis ses membres vont souffrir d'un type d'embarras plus particulier, leur position non-enviable étant d'avoir été les principalement dogmatiques et humiliants.

Il semble malheureux que l'astronomie, à la pointe de la recherche pour la connaissance qualitative, dégénère apparemment dans une opposition aux découvertes. L'astronomie, bien que strictement une science d'observation et non une science expérimentale, tiens le front d'une dénégation face à des données d'observation authentiques qui menace au minimum de déranger son propre carré scientifique.

IL SEMBLE QUIOTICALLY RELIABLE OF HUMANS D'ATTENDRE TILL THEY THEMSELVES HAVE KNOWN FLIGHT & THINK NOW OF SPACE-FLIGHT AVANT D'ADMETTRE QUE D'AUTRES ONT AUSSI FLIGHT. NON PAS, BIEN SÛR, (HE!-HEH) QU'ILS SONT SURPASSES, NO NOT WHEN THEY NOW ARE CLUED TO AN EQUALING IDEA IN FORCE FIELDS. THEY NOW HOPE TO BECOME EQUALS. ALAS!

Dans une science d'observation comme l'astronomie, les lois doivent être élaborées sur la base d'observations répétées et innombrables et non pas, comme cela est vrai en partie pour la physique ou la chimie, sur la base d'expériences reproductibles en laboratoire. Dans de tels cas, l'astronome ne le sait que trop bien, les observations répétées doivent être acceptées comme équivalentes d'une preuve.

H-K A Suffisamment d'observations, comme il le dit, Ils les ignorent

Nombre des dogmes de l'astronomie sont dans cette catégorie. Pour prendre un seul exemple, l'histoire hypothétique de la vie des étoiles est entièrement basée sur ce qu'on appelle la séquence spectrale, déterminée uniquement à partir d'observations spectroscopiques de milliers d'étoiles et leur groupement et arrangement ultérieur en structure logique. Même dans cette lourde séquence il existe des irrégularités, ou des étoiles avec un spectre particulier, dont la nature réelle est matière à spéculation même après des centaines d'années de spectroscopie. Pourtant, l'astronome peut difficilement nier l'existence de l'étoile à l'évidence bien brillante, quel que soit l'aspect récalcitrant de ses ondes lumineuses.