Entre le village de Epoisses (Côte-d'Or, France) et Toutry,
Daniel Grapin et François Bolatre, topographes, voient 1
sphère lumineuse de 3,50 m de diamètre, posée près de la N454 s1Quincy.
À Quarouble (Nord, France), 2ᵉ atterrissage ici, vu par Marius Dewilde et son fils de 4 ans. Un disque de 6 m de diamètre, haut de 1 m
environ, se pose encore sur la voie du chemin de fer. 7 petits hommes en sortent et leur parlent dans un langage
inconnu. Puis l'engin disparaît sans bruit ni fumée. Des empreintes, plus larges que les précédentes, symmétriques,
sont observées. Dewilde refuse de déposer sur ce cas.
le À Charmes-la-Côte (Meurthe-et-Moselle, France), Roger Thiriet (gardien à la prison d'Ecouvres) roule en motocyclette quand il voit soudain
un objet couleur d'aluminium ayant la forme d'une assiette, avec une coupole et 2 hublots. Il a environ 2 m de
diamètre, 1 m de haut et s'éloigne immédiatement s2France-Soir, 21 octobre 1954.
le À Saint-Germain-de-Livets (France), M. Bon (professeur de mathématiques) observe un disque argenté d'environ 7 m de diamètre
s'élevant silencieusement d'un point situé à environ 250 m du bord de la route. Il plonge en tournoyant vers la
terre jusqu'à 800 m d'altitude à peu près. Il s'envole alors à l'horizontale à une vitesse vertigineuse s3France-Soir, Le Figaro, Libération, Le Parisien, 14 octobre 1954.
le À Apt (France), des témoins voient dans le ciel pendant
1 mn une énorme boule de feu passant du blanc à l'orange, laissant derrière elle une longue traînée
lumineuse, qui après une trajectoire horizontale monte vers le ciel s4"Un objet mystérieux dans le ciel aptésien", Le Provencal, 14 octobre 1954.
le A Saillat-sur-Vienne (Haute-Vienne, France), Roger Gayout et sa famille voient 1 objet très
brillant s'approcher très près du sol s5Le Figaro, 13 octobre 1954.
le Lors de la foire de Metz (...) l'armée avait installé
un système radar ainsi que des projecteurs de DCA. (...) un des puissants projecteurs, qui balayait le ciel pour la
grande joie des badauds, accrocha soudain dans son faisceau un mystérieux objet. C'était une sorte de globe
lumineux, immobile en plein ciel et qui, selon l'expression de certains témoins, scintillait comme une boule
d'arbre de Noël. L'officier présent estima que l'objet devait avoir au moins 50 m de diamètre, et qu'il
semblait se trouver à environ 10000 m d'altitude. Pour s'assurer qu'il s'agissait pas d'un phénomène ou d'une
illusion d'optique, on décida de procéder à un nettoyage complet du projecteur. On changea aussi les charbons et on
ralluma. L'objet était toujours là. Pendant 3 h, l'engin resta immobile. Il ressemblait à une sorte de cigare
vertical. Puis, comme rien ne se passait, ont finit par éteindre le projecteur. Le commandant Cotel, qui dirigeait
le détachement de la DCA, adressa un rapport au gouverneur militaire de Metz. Il n'y a pas lieu de prendre en
considération ces informations dans ce cas particulier. L'affaire fut classée. Pas un mot de l'observation
faite non seulement par les techniciens mais aussi par les visiteurs, et par les habitants de Metz jusqu'au
faubourgs de Sablon et de Queuleu. L'objet présentait la forme d'un petit cumulus immobile et de forme régulière.
Mais sa forme, ses dimensions et sa position restaient rigoureusement identiques, de plus le ciel était parfaitement
clair hormis ce cumulus supposé. Ce qui écarterait la possibilité d'un nuage. Or, un diamètre de 50 m fait beaucoup
pour un ballon... Fait curieux : le radar avait balayé sans cesse le ciel durant l'observation, sans rien accrocher.
Cela pouvait signifier 2 choses : soit l'objet n'était pas métallique, soit il se trouvait hors de portée utile des
radars du type de celui qui fonctionnait à Metzs6Sider, J. 1997.
le À Moncourt (64 km de Metz, 43 km de Nancy) des habitants
d'une ferme isolée, à quelques centaines de mètres de Moncourt, furent réveillés par un étrange sifflement. A
travers les persiennes ils distinguèrent une lueur aveuglante qui semblait située à flanc de coteau. Quelques
minutes plus tard, ils virent une sphère lumineuse s'élever verticalement et disparaître rapidement. Le lendemain,
dans l'aprés-midi, les gendarmes conduits par le fermier à l'endroit ou l'étrange lumière semblait s'être posée,
découvrirent des traces de calcination intense sur un chemin de terre. Des prélèvements de terre de pierres ont été
effectués (...) Les résultats des analyses n'ont jamais été connuss7Sider 1997 > LDLN.