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Bon, il y a Rhine. J'ai pass� une journ�e avec Rhine � l'Universit� de Duke � la conf�rence de la Soci�t�
Am�ricaine de Chimie, probablement vers 1934. Rhine a publi� un livre et je vous parlerai juste de quelques
choses. Avant otut, je suis entr� et ai parl� � Rhine de ces
choses. Je lui ai racont� toute l'histoire. J'ai dit que ces choses (tableau 1) sont
les caract�ristiques de ces choses qui n'existent pas. Elles sont toutes caract�ristiques de votre chose aussi (rires)
Il dit, J'aurai aim� que vous publiiez �a. J'aurai ador� que vous le publiiez. Ca susciterai vraiment beaucoup
d'int�r�t
. Il dit, J'ai plus d'�tudiants dipl�m�s. Nous devons avoir plus d'�tudiants dipl�m�s. Cette chose
est si importante que nous devrions faire en sorte que plus de gens r�alisent son importance. Ce devrait �tre l'un
des plus gros d�partements de l'universit�
.
Bon, je ne vous raconterai pas toute l'histoire avec Rhine, parce que j'ai parl� avec lui toute la journ�e. Il utilise des cartes que vous devinez en les retournant. Vous avez une perception extra-sensorielle. Vous avez 25 cartes et vous les traiter face retourn�e, ou une personne les regarde, et l'autre personne de l'autre c�t� de l'�cran les regarde et vous lisez dans son esprit. L'autre chose est que personne ne sait ce que sont les cartes, cas dans lequel elles sont retourn�es sans que quiconque ne les regarde. Vous les enregistrez et puis vous les regardez et voyez si elles correspondent et c'est de la t�l�pathie, ou de la clairvoyance plut�t. La t�l�pathie c'est quand vous pouvez lire l'esprit d'une autre personne.
Maintenant une forme ult�rieure de la chose serait que vous d�cidiez maintenant et �criviez ce que les cartes vont (p.9) �tre lorsqu'elle seront m�lang�es demain. Ca marche aussi (rires).
Toutes ces choses sont de bons exemples o� la magnitude de l'effet est enti�rement independante de la magnitude de la cause. C'est-�-dire que les exp�riences marchaient tout aussi bien quand le m�lange doit �tre fait demain et quand il a �t� fait depuis un moment. Ca ne fait aucune diff�rence dans les r�sultats. Il n'y a pas de diff�rence appr�ciable entre clairvoyance et t�l�pathie. Cependant, si vous essayez de penser aux m�canismes des 2, �a devrait �tre assez diff�rent. Pour que les cartes vous t�l�graphie toutes les informations qui sont en elles comme la mani�re dont elles sont arrang�es, et ainsi de suite, lorsqu'elles sont empil�es les unes sur les autres et pour que ce doit donn� dans le bon ordre, il est plut�t difficile d'imaginer un m�canisme. D'un autre c�t�, on peut imaginer qu'il pourrait y avoir une sorte de mecanisme dans le cerveau qui pourrait envoyer une sorte de messages inconnus qui pourraient �tre r�cup�r�s par un autre cerveau. C'est un ordre de magnitude diff�rent. Un ordre de difficult� diff�rent. Mais ils �taient les m�mes du point de vue de Rhine.
Bon, maintenant, les petites choses que j'ai sont celles-l�. ll y en a bien plus que je pourrais vous donner. Rhine dit, �tant d'humeur assez philosophe, C'est marrant comme
l'esprit essaie de vous tromper
. Il a dit, Les gens n'aiment pas ces exp�riences. J'ai eu des millions de ces
cas o� la moyenne est d'envion 7 sur 25
. Vous attendriez que 5 sur 25 soient bons par hasard et en grande moyenne
ils arrivent, oh, sur des millions, ou des centaines de millions de cas, ils arrivent � une moyenne autour de 7. Bon,
obtenir 7 sur 25 serait un �v�nement suffisamment courant mais si vous prenez un grand nombre et que vous obtenez 7,
eh bien vous doutez des statistiques ou de l'application statistique ou, par-dessus tout, ce � quoi je pense et je
veux vous donner les raisons de penser �a, c'est le rejet d'un petit pourcentage des donn�es.
Je commencerai, avant de venir � ce que Rhine a dit, et dirai ceci : David Langmuir, un neveu � moi, qui �tait au Commissariat � l'Energie Atomique, lorsqu'il �tait avec la Radio Corporation of America il y a quelques ann�es de �a, lui et un groupe d'autres jeunes hommes se dirent qu'ils aimeraient v�rifier le travail de Rhine, et donc se procur�rent des cartes et pass�rent de nombreuses soir�es ensemble � voir comment ces cartes se r�v�laient et ils all�rent bien au-dessus de 5. Ca commen�a � bien les exciter et ils continu�rent, et ils continu�rent, et ils �taient juste sur le point d'�crire � Rhine � propos de la chose. Et ils continu�rent un petit peu plus longtemps et les choses commen��rent � retomber, et retomber un peu plus, et elles retromb�rent encore un peu plus. Et apr�s de nombre, nombre et nombre de jours, ils retomb�rent � une moyenne de 5 -- grande moyenne -- donc ils n'�crivirent pas � Rhine. Maintenant si Rhine a re�u cette information, que ce corps r�put� d'homme s'y �tait mis et avait eu une valeur de 8 ou 9 ou 10 apr�s tant de nombreux essais, pourquoi aurait-il mis dans son livre Combien de ce type de choses, lorsque vous �tes nourri d'informations de ce type par des gens qui sont int�ress�s -- comment allez-vous soupeser les choses qui sont publi�es dans le livre ?
Maintenant une illustration de comment ceci fonctionne. Il m'a dit �a, Les gens ne m'aiment pas
, dit-il. J'ai
pris beaucoup de cartes et les ai scell�es dans des envelopes et j'ai mis un n� de code sur l'ext�rieur, et je n'ai
fait confiance � personne pour conna�tre ce code. Personne !
(Une section du discours manque � cet endroit. Elle d�crit � l'�vidence certains tests qui ont donn� des scores
inf�rieurs � 5) ...l'id�e d'avoir cette chose scell�e dans les cartes comme si je ne leur faisait pas confiance, et
par cons�quent de spite me they made it purposely low
.
Eh bien
, dis-je, c'est int�ressant -- tr�s int�ressant, parce que vous avez dit que vous auriez publi� une
compilation de toutes les donn�s que vous aviez. Et il se trouve que �a donne 7. Il est maintenant en votre
pouvoir de prendre un plus grand pourcentage incluant ces cartes qui sont scell�es dans ces enveloppes qui pourraient
ramener l'ensemble de la chose � 5. Feriez-vous �a ?
Bien s�r que non
, dit-il. Ce ne serait pas honn�te
.
Pourquoi ne serait-ce pas honn�te ?
Les scores faibles sont juste aussi significatifs que les scores �lev�s, non ? Ils ont prouv� qu'il y a
l� quelque-chose de cet ordre, et par cons�quent ce ne serait pas honn�te.
J'ai dit, Allez-vous les compter, allez-vous inverser le signe et les compter, ou les compter comme des
cr�dits?
Non, No
n, a-t-il dit.
J'ai dit, Qu'allez-vous faire de ceux-l� ? Sont-ils dans votre livre ?
Non.
Pourquoi, je croyais que vous disiez que toutes vos donn�es �taient dans votre livre. Pourquoi ne les y avez-vous pas mises ?
Eh bien,
dit-il, je n'ai pas eu le temps de travailler dessus.
Ben, vous connaissez tous les r�sultats, vous m'avez dit les r�sultats.
Eh bien,
dit-il, je ne donne pas les r�sultats tant que je n'ai pas eu le temps de les dig�rer.
J'ai dit, Combien en avez-vous comme �a ?
Il m'a montr� les classeurs -- il y en avait toute une rang�e.
Peut-�tre des centaines de milliers de cartes. Il avait un classeur enti�rement consacr� � ces choses qui avaient
furent faites avec les enveloppes scell�es. Et c'�taient celles qui donnaient la moyenne de 5.
Bon, nous le laisserons l�. Un an plus tard � peu pr�s, il publia un nouveau volume de son livre. Dedans, il y avait un chapitre sur les cartes scell�es dans les (p.10) enveloppes et elles arrivaient toutes autour de 7. Et rien n'est dit sur le fait que pendant longtemps ils �taient descendues en-dessous de 5. Vous voyez, il sait si elles arrivent en-dessous de 5, il sait que ce n'est pas honn�te pour le public de mal pr�senter cette chose en incluant ces choses qui se r�v�lent simplement �tre un r�sultat tout aussi positif que penser arriver ci-dessus. C'est juste une tromperie de l'esprit que ces gens n'essaient pas de spite you et bien s�r ce ne serait pas honn�te de publier (12).
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