Gazette du rédacteur : -- L'article qui est apparu dans La Gazette du mardi 9 septembre, concernant le mystérieux monstre dans les airs, vu à Crawfordsville (Indiana), me rappelle un événement de caractère très semblable qui eut lieu à Chicago au printemps 1849. Bien qu'étant alors un petit garçon, je me souviens de l'incident très distinctement. La 1ʳᵉ apparition de ce "monstre" fut entre 1849 21 h à 1849 22 h la nuit. Les gens qui étaient dans les rues furent stupédaits et terrifiés par l'étrange et sublime observation et nuit là-bas au-dessus du lac n1Le Lac Michigan. Ce qui rencontra l'observation semblait être un cercueil lumineux de proportions gigantesques, tandis qu'en-dessous se trouvait la tête et face la plus diabolique imaginable. La bouche et les yeux semblaient émettre du feu, tandis que des lèvres déformées vinrent les pires cris perçants à vous faire glacer le sang. L'effet fut effrayant, et l'excitation dans de nombreux cas se fusionna en frénésie. Plusieurs femmes nerveuses défaillirent, et d'autres furent projetées en spasmes hystériques. On rapporta, je ne sais avec quelle exactitude, qu'un prêtre dévôt sortit son livre et sa clôche, et passa par le rite pour exorciser le diable, bien sûr sans succès. Une chose est certaine, il y eut le "diable à payer" à Chicago cette nuit-là et celui qui lui succéda. Les Millerites jubilaient, l'acceptant comme une preuve catégorique que la fin était proche. J'écoutais des sélections de Révélations [sic] et commentaires de la part de personnes excitées till my young life was nearly frightened out of me.
Il semble que la 2de manifestation était trop pour certains membres de familles dont les fils sans grâce avaient été intéressés par getting up the scenic display, et afin de restaurer leur équilibre mental, furent obligés de give the snap away. C'était assez simple une fois expliqué. Certains des jeunes hommes avaient fabriqué un énorme cerf-volant du type à 6 coins, le faisant très long ce qui lui donnait la forme exacte d'un couvercle de cercueil. Avant de l'envoyer en l'air, ce qu'ils firent depuis des bateaux sur le lac, le cerf-volant fut enduit de phosphoreux. La face diabolique était simplement un jack-o'-lantern fait d'une citrouille, et la musique (?) fut fournie par un malheureux chat qui avait été attaché par la queue à la queue du cerf-volant, et qui très naturellement était remonté contre l'ensemble des manœuvres de manière féline.
Maintenant, je n'ai pas de doute que l'horreur de Crawfordsville, if sifted, devrait se révéler être, comme ceci, l'œuvre de garçons aimant s'amuser. Lorsque Dieu ou ses anges paraissent proclamer la fin des temps ce ne sera pas confiné à une section quelconque, et c'est seulement pour mettre de côté les peurs superstitieuses que j'ai relaté cet incident qui est vrai sur tous ses points.
Shell Rock, Iowa. J. R. Martin.