Milieu ufologique

Le test du courage vient quand l'on est en minorité. Le test de la tolérance vient quand on est dans ma majorité s1Ralph W. Sockman

Au sein du microcosme des personnes intéressées par les ovnis se sont naturellement développés divers courants de pensée :

Il arrive parfois malheureusement que ces tendances s'érigent parfois en chapelles. Un courant ufologique, minoritaires dans la sphère partagée par tous, peut alors devenir majoritaires dans la sphère ufologique.

D'une manière générale, les partisans du phénomène inconnu tranchent la question du phénomène connu ou inconnu par le fait que, bien qu'une partie des observations soit effectivement explicable par divers de phénomènes connus (psychologiques ou physiques), une autre partie (entre 5 à 30 % selon les échantillons de cas) résiste à toute explication et aux études les plus sérieuses (voir les meilleures pistes physiques). En particulier, certains de ces cas ont des traces physiques : traces au sol, modification des végétaux (comme dans le cas de Trans-en-Provence), enregistrements radars, séquelles physiques (comme dans le cas du docteur X) ou guérisons inexpliquées, pannes de moteurs ou d'électricité. Certaines observations ne sont même parfois découvertes qu'à la consultation de l'enregistrement, et pas au moment même de l'observation (comme samedi 12 février 1944 À Kummersdorf) ce qui exclut tout cas d'hallucination collective, voire de fabrication physique et inconsciente du phénomène.

Etre dans l'impossibilité d'expliquer un pourcentage incompressible des cas n'est pas une preuve de phénomène inconnu, mais joue en la faveur de cette hypothèse. A partir de là, seules des études plus poussées peuvent trancher. Refuser de mener plus loin de telles études revient à :