Carroll Herdus Bolender

Bolender naît le dimanche 2 novembre 1919.

Du jeudi 1 juin 1944 à dimanche 27 janvier 1946 le lieutenant-colonel Bolender commande le 414ème escadron de chasseurs de nuit. Le mercredi 9 mai 1956 le colonel Bolender prend le commandement de la 17ème escadrille d'entraînement.

La NASA

En 1967 Bolender travaille à la NASA, sur le projet Apollo. En l'année suivante, Bolender est responsable du module lunaire du Centre des Appareils Pilotés.

Le mémo

Le NICAP a toujours supecté le projet Blue Book d'être plus ou moins un voile de relations publiques, et qu'il y avait des preuves que certains types d'équipes de projets ovnis étaient actives même après que le projet Blue Book soit clôturé en décembre 1969. Mais ils savent qui sont ces personnes, et le savent depuis une source fiable.

Dans son Department of the Air Force Staff Summary Sheet du 20 octobre décembre 1969 (pages 1, 2), le brigadier-général Bolender écrit :

1 6 AFCC Coord
2 AFRDC Appr 7 SAFRD Coord
3 SAFOI Coord 8 SAFCS Sig
4 SAFLL Coord 9
5 AFCCS Appr 10

NOM ET GRADE DE L'OFFICIER ACTION
TYPISTS INIT.SUSP.DAT

Major Espey

SYMBOLE

AFRDDG

TELEPHONE

52181

vc

SUJET

Objets Volants Non Identifiés (OVNI)

DATE

20 OCT 1969

RESUME

  1. Depuis plus de 20 ans l'Air Force a eu la responsibilité au sein du Département de la Défense des enquêtes sur les objets volants non identifiés (OVNIs) (Atch 2). Comme indiqué dans le Projet Blue Book, ce programme d'investigations a 2 objectifs :
    1. Déterminer si les ovnis posent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; et
    2. Déterminer si les ovnis offrent une quelconque information scientifique unique ou technologie avancée qui pourrait contribuer à la recherche scientifique ou technique (Atch 3).
      Les procédures pour signaler au Projet Blue Book sont définies dans l'Air Force Regulation 80-17. Cette circulaire demande au Commandant d'une base de l'Air Force de fournir une capacité d'enquête sur les ovnis et à l'Air Force Systems Command de poursuivre le Projet Blue Book (Atch 4). En réponse à cette circulaire la plupart des Commandants ont nommé un officier chargé d'enquête sur les ovnis, habituellement en tant que tâche supplémentaire. Le Projet Blue Book a 2 officiers, sont NCO et sont civils affectés à plein temps. De plus, le Dr. A. J. Hynek a servi en tant que consultant scientifique jusqu'au lundi 1 juillet.
  2. En 1966 le Bureau de la Recherche Scientifique de l' Air Force a passé un contrat avec l'Université du Colorado pour mener une étude scientifique indépendante des objets volants non identifiés. Cette étude, dirigée par le Dr. Edward U. Condon et rendue disponible comme l'Etude Scientifique des Objets Volants Non Identifiés, sert de fondement à l'évaluation de l'effort d'enquête de l'Air Force (Atch 5). Après une étude étendue de ce rapport ainsi que de l'examen du rapport par une commission de l'Académie Nationale des Sciences, des études passées, des opérations du Projet Blue Book operations et d'autres éléments, le Bureau de Recherche Aérospatiale conclua, et nous l'approuvons, que la poursuite du Projet Blue Book ne peut se justifier, que ce soit sur la base de la sécurité nationale ou dans l'intérêt de la science (Atch 6).
  3. La conclusion générale de l'Etude Scientifique des Objets Volants Non Identifiés est que rien n'a débouché de l'étude des ovnis dans les 21 dernières années qui n'ait apporté à la connaissance scientifique. Concernant ce que le gouvernement fédéral devrait faire des signalements d'ovnis qu'il reçoit du grand public, les auteurs ajoutent qu'ils tendent à penser qu'ils ne peuvent être exploités dans l'idée d'une contribution à l'avancée de la science. Une commission de l'Académie Nationale des Sciences concourra à ces vues, et l'Air Force ne trouva pas de raison de remettre en cause cette conclusion. Par exemple, bien qu'une portion significative du programme de recherche environnementale de l'Air Force soit concernée par des phénomènes naturels qui pourraient être associés aux objets volants non identifiés (Atch 7), les rapports du Projet Blue Book n'ont apporté aucune donnée utile à ces efforts de recherche (Atch 6). Ainsi, nous concourront à la recommandation de l'Université du Colorado qu'une telle attention soit seulement apportée comme le considère nécessaire le Département de la Defense d'un point de vue de défense strictement.
  4. Dès 1953, la Commission Robertson conclut que les éléments présentés sur les Objets Volants Non Identifiés ne montrent aucune indication que ces phénomènes constituent une menace directe pour la sécurité nationale (Atch 9). Malgré cette conclusion, l'Air Force continua à maintenir un système de signalement spécial. Il n'y a toujours, cependant, aucune preuve que les rapports du projet Blue Book aient servi à une quelconque fonction de renseignement (Atch 8). De plus, les rapports d'objets volants non identifiés qui pourraient affecter la sécurité nationale sont fait en accord avec avec le JANAP 146 ou le Manuel de l'Air Force 55-11, et ne font pas partie du système Blue Book (Atch 10). L'expérience de l'Air Force conforme donc l'impression des chercheurs de l'Université du Colorado que la fonction de Défense pourrait être assurée via l'infrastructure établie d'opérations de renseignement et de surveillance sans la continuité d'une unité spéciale telle que le Projet Blue Book.
  5. La conclusion qui suit est que le Projet Blue Book ne mérite pas de futures extensions ou ressources. En conséquence, nous recommendons qu'il soit terminé et que les actions qui suivent cette décision, telles que l'annulation du Réglement de l'Air Force 80-17 et le non-renouvellement de contrat de consultant, soit initiées. La fin du Projet Blue Book n'aurait aucun effet adverse sur les opérations ou programmes de recherche de l'Air Force. Elle libèrera une main d'œuvre pour des objectifs utiles, éliminera le besoin de consultant scientifique et relèvera les commandants de base d'une responsabilité mineure et d'une charge administrative.
  6. La fin du Projet Blue Book ne laissera aucun bureau fédéral officiel recevoir des signalements d'ovnis. Cependant, comme indiqué précédemment, les signalements qui pourraient affecter la sécurité nationale pourront continuer à être pris en charge via les procédures standards de l'Air Force prévues à cet effet. A priori, les départements de police locale répondent aux rapports relevant de leurs responsabilités. De la même manière, comme pour la recherche scientifique, les chercheurs du Colorado concluent que, bien qu'ils ne voient aucunes lignes d'avancée fructueuse débouchant de l'étude des rapports d'ovnis, nous pensons que tout scientifique avec la formation et les accrédidations adéquates arrivant avec une proposition d'étude clairement définie et scientifique devrait être soutenue. Nous ne voyons pas de raison pour laquelle les canaux normaux et les critères de financement d'une recherche scientifique ne pourraient pas être adaptés à la recherche sur les ovnis.
  7. Certains considèrent qu'un centre de signalement centralisé pourrait être établi, et une proposition a été faire pour établir un Centre de Signalement des Phénomènes Atmospheriques Rares (Atch 11 et 12). Parce que le problème affecte nombre d'agences, ce centre pourrait être placé sous les auspices du Conseil Fédéral pour la Science et la Technologie. Cependant, à la lumière de la recommandation de l'Université du Colorado

La véritable responsabilité pour les rapports d'ovnis est localisée à Langley (Virginie) et non Dayton (Ohio). Cela explique également pourquoi certains dossiers de cas importants ne sont pas trouvés dans les archives de Blue Book.

Bolender décède le mercredi 3.